Natsu a écrit :En effet, tu parles des causes à l'absence d'attirance sexuelle, mais la définition de l'asexualité est aussi "l'absence d'attirance sexuelle". Difficile de distinguer "absence d'attirance sexuelle" et "absence d'attirance sexuelle".
c'est pour ça qu'il est important de distinguer l'absence d'attirance sexuel maladive de l'orientation. Mais bon, en lisant la FAQ d'AVEN, c'est quelque chose dont tu aurai du te rendre compte rapidement, la FAQ précise bien qu'il est conseillé de voir un médecin quand il y a souffrance ou que ça se manifeste du jour au lendemain. C'est une base à savoir quand on parle d'asexualité. la définition "courte", simpliste de l'asexualité est l'absence d'attirance sexuelle. la définition, un peu plus complété (mais qui reste encore simple) est l'absence d'attirance sexuel pour les autres, non provoqué par une maladie (c'est logique, une personne qui prend des anti dépresseur à qui ça retire la libido n'est pas asexuel, elle est avant tout dépressive -> c'est un cas de suppression d'attirance sexuel du jour au lendemain suite à la prise de médicaments et qui aura comme je l'ai indiqué surement d'autre symptômes)
Natsu a écrit :Les médecins se foutent de savoir qui est homo et qui ne l'est pas.
Ils s'en foutent. Ce qu'ils veulent, c'est savoir si leur patient est malade ou pas. sauf que si ils savent qu'ils est homosexuel, alors c'est qu'il n'est pas malade (l'homosexualité n'est plus listé en tant que maladie depuis un moment). Il peut alors le dirigé vers une solution pour accepter ce que le patient est, et non tenter de le changer ou de le guérir (ce dont on sait ne sert à rien) C'est exactement la même chose pour l'asexualité, si un médecin peut voir que son patient est asexuel, il n'a pas besoin d'essayer de le changer ou le guérir (ce qui servira à rien, comme l'homosexualité l'asexualité n'est pas un choix donc ne se change pas) et peut l'orienter vers l'acceptation de ce qu'il est.
Natsu a écrit :Pourquoi penses-tu que cette étudiante t'a demandé des informations directement sans aller sur le forum ? Pour gagner du temps. Parcourir un forum en quête d'informations, c'est une perte de temps. La plupart des forums sont mal écrits, peu intéressants. C'est une scientifique, mais elle n'est pas entrain de faire une étude sur l'asexualité, elle cherchait juste des informations rapides. Elle a demandé "les revendications de la communauté asexuelle". Il n'était donc pas honnête que tu répondes seul de ton côté sans avoir consulté la communauté asexuelle, du moins le maximum de membres avant de lui répondre. Je ne comprends pas non plus ta logique lorsque tu dis que tu vas consulter la communauté asexuelle, et ce, alors que tu avais déjà envoyé ton pavé à cette étudiante.
Je l'ai déjà dit mais je le répète : le but du post ici n'est pas pour elle mais principalement pour les médecins qui viendront s'informer ici. Je peux aussi lui envoyer une rectification si c'est nécessaire, mais c'est pas du tout le but premier de ce post, j'ai dit que je lui avait répondu pour introduire le sujet, pour expliquer pourquoi l'idée de ce post m'est venu à l'esprit et pourquoi je pense qu'il sera utile, dire d’où vient ce que j'ai écrit.
Natsu a écrit :Quoiqu'il en soit, peu importe que tu dises que tu n'es que "Julien", lorsque tu réponds à quelqu'un sur l'asexualité dans le cadre professionnel (en dehors de ton cercle intime ou amical), tu véhicules une image des asexuels. C'est pourquoi toutes les entreprises délèguent cette fonction à quelqu'un ayant des capacités d'expression soignées et efficaces. Je ne sais pas à combien de personnes cette étudiante à fait lire ton message, mais pour de nombreux futurs médecins, c'est sans doute la première fois (et peut-être la dernière pour certains) qu'ils entendent parler de l'asexualité, et ils ont appris ce mot au milieu d'un texte mal écrit, confus, répétitif, moche et triste.
Cette étudiante ne fera pas lire ma réponse à qui que ce soit. elle va utiliser les éléments de ma réponse pour son travail. je ne sais pas quel élément elle va reprendre ni ce qu'elle va dire, mais surement pas avec de simple copier/coller, elle va surement réutiliser ce que je lui ai dit à sa sauce, comme pour n'importe quel témoignage que ce soit pour un journaliste ou autre. jamais aucun témoignage est livré tel quel, il y a tout au plus quelques citations.
Natsu a écrit :Tu veux que je te souligne toutes tes répétitions ? Voilà :
en rouge : mal écrit, confus ou faux
en violet : répétitions
Ok, je regarde ça, réfléchi aux suggestions, corrige si nécessaire et commente ce que tu as mis en avant :
Bonjour,
La réponse la plus simple que je pourrai faire serait :
les médecins devraient réagir de la même façon qu'avec un homosexuel, c'est à dire de ne pas catégoriser la personne comme malade si il n'y a pas d'autre raison de le penser. Le rôle du médecin est important, car c'est une autorité en matière de santé et il est normal qu'il soit écouté par leur patient plus que n'importe qui d'autre (plus que de pseudo-medecins, ou plus que les personnes échangeant sur un forum que nous sommes sur AVEN qui n'avons dans l'ensemble pas de compétences médicale). Mais le médecin à la délicate tache de ne pas le guider vers des solutions qui le rendront plus mal
*supprimé*, et concernant l'asexualité ça peut être délicat. La revendication principale de la communauté est dans un premier temps de ne pas
catégoriser systématiquement (je vois pas ce qui est confus ici, la plupart médecins catégorise les asexuels comme malade systématiquement) une personne qui n'a pas d'attirance sexuelle comme malade,
car il arrive dans ces cas que le médecin oriente son patient asexuel vers une solution qui le rendra plus mal (c'est destructeur d’être jugé malade par son médecin ou de croire qu'on est malade ou anormal lorsqu'on ne l'est pas, qu'on a juste une orientation différente et encore peu connue). C'est de moins en moins le cas, mais beaucoup de médecins le font encore, nous avons parfois de nouveaux membres qui viennent sur le forum en nous disant qu'ils sont passés par X spécialistes pour comprendre leur absence d'attirance et qu'aucun ne lui à jamais parlé d'asexualité, ces personnes ont parfois beaucoup souffert d'avoir passé des années en thérapie pour rien, seulement parce qu'ils sont asexuels. -> je ne vois qu'une répétition de "oriente son patient asexuel vers une solution qui le rendra plus mal", mais je vois pas comment supprimer l'une ou l'autre des répétitions, l'un illustre ce que le médecin ne devrait pas faire et l'autre ce qu'il arrive que le médecin fasse, ce sont 2 choses differentes
Ensuite, lorsqu'une personne n'a pas d'attirance sexuelle, il faut en savoir un peu plus pour savoir comment réagir et guider cette personne :
- l'attirance sexuelle est partie du jour au lendemain et ça cause des souffrances au patient. Dans ce cas, il est probable qu'il se soit produit quelque chose qui bloque l'attirance sexuelle,
une cause physique ou psychologique et il est plus sage de l'orienter vers un spécialiste pour en trouver la cause. Sans totalement exclure que cette personne soit asexuelle, car l'orientation sexuelle est quelque chose de fluide et il est possible que la personne devienne asexuelle avec le temps,
tout comme il peut y avoir une personne hétéro qui devient homo ou homo qui devient hétéro (je vois pas ce qui n'est pas confus, j'explique quelques mots avant que la sexualité est quelque chose de fluide et je précise que ça veut dire qu'un homo peut devenir avec le temps hétéro et qu'un hétéro peut devenir homo. un asexuel peut aussi de la même façon devenir S et un S devenir A même si dans tous les cas ça reste rare) , mais ça ne se passe normalement pas du jour au lendemain et ça reste plutôt rare,
le plus probable reste tout de même un problème physique et/ou psychologique -> Ce n'est pas une répétition mais une confirmation de ce que j'ai dit précédemment : il est probable qu'il y ait un problème. la sexualité est fluide et s'en est pas obligatoirement un, mais il y a plus de chance qu'il y ai quand même un problème . Ces problèmes ne s'accompagne généralement pas d'une simple absence d'attirance sexuel (il faut questionner le patient pour connaitre tous les changements, si des douleurs durant l'acte sont apparu, ou un dégout pour la sexualité qui n'existait pas avant par exemple).
- l'attirance sexuel est partie du jour au lendemain et ça ne cause aucune souffrance au patient. On est dans le même cas que le précédent,
si c'est du jour au lendemain, il y a probablement une cause à ce changement. Mais s'il n'y a pas de souffrance, il n'est peut-être pas nécessaire d'agir. S'il y a des inquiétudes sur cette disparition d'attirance sexuelle, il peut être bon d'orienter cette personne vers un spécialiste pour comprendre la cause de ce changement s'il y en a une. Sinon il faut la laisser évoluer, soit son attirance reviendra d'elle-même, soit son absence ne lui pose aucun souci et elle peut rester comme elle est, en s'assurant seulement qu'elle est en bonne santé (que sa disparition d'attirance n'est pas causée par une maladie qui lui causera d'autre symptôme plus grave). -> il y a pas vraiment de répétition, en dehors de la 1ere phrase que je reprend comme résumé du paragraphe précédent, tout le reste je ne le dit pas ailleurs (ça ressemble peut être un peu mais ce que je dis est tout de même bien différent du paragraphe précédent, tu ne remarque peut être simplement pas les nuances)
- le patient n'a jamais eu d'attirance sexuelle ou n'en a plus depuis longtemps (sans changement brut, du jour au lendemain) et en souffre. Dans ce cas, il serait important de déterminer la cause de la souffrance. L'asexualité en elle-même ne fait pas souffrir, la cause de cette souffrance est située ailleurs, mais peut être lié à l'asexualité. Par exemple, la souffrance peut venir de l'incapacité à satisfaire son/sa conjoint.e, ou du conjoint.e du patient.e lui-même en le/la faisant culpabiliser.
Le problème n'est pas l'asexualité (ni la sexualité du conjoint.e) mais la différence d'attirance entre l'un et l'autre. -> je fais une répétition dans le paragraphe suivant mais on est encore ici dans un autre cas de figure, qui doit donc aussi être développé séparément pour pas tout mélanger : on est dans un cas similaire au prochain paragraphe mais totalement différent du précédent. C'est un problème qui existe chez n'importe quel couple, même non-asexuel, à partir du moment où il y a une mésentente sur la fréquence des rapports sexuels (quand l'un a plus d'attirance et/ou de désir que l'autre, donc plus souvent envie d'avoir des relations sexuelles).
Un autre exemple, la souffrance du patient peut provenir de son entourage qui considère l'absence d'attirance sexuelle comme anormale, maladive, voir pire et que le mal-être soit causé par le sentiment d’être anormal (ça arrive très fréquemment chez une personne asexuelle qui ne connaît pas l'asexualité).
Le problème ne sera pas l'asexualité, le problème sera l'entourage qui n'est pas informé que l'absence d'attirance sexuelle n'est pas anormale, maladive ou pire (c'est aussi l'une des raisons de l’existence d'AVEN et d'AVA, rendre l'asexualité visible et informer un maximum de gens pour ne pas juger incorrectement une personne asexuelle). Dans ces exemples, le médecin ou les patients eux même peuvent penser que l'asexualité est la cause de la souffrance. Or les causes sont liées à l'asexualité, mais ne sont pas l'asexualité. Pour ces personnes, l’idéal serait de les orienter vers un spécialiste pour les aider à accepter leur asexualité, leur faire comprendre que ce n'est pas anormal, maladif ou autre (comme l'homosexualité) et que leur différence n'est pas en elle-même un problème. Pour ces personnes, l’idéal serait de les orienter vers un spécialiste pour les aider à accepter leur asexualité, leur faire comprendre que ce n'est pas anormal, maladif ou autre (comme l'homosexualité) et que leur différence n'est pas en elle-même un problème (Mais que ça peut être mal accepté, ou causer des problèmes de couples si on est avec une personne d'une orientation trop différente... Comme l'homosexualité aussi). Comme l'homosexualité aussi). Les orienter vers un spécialiste qui tentera de "guérir" leur asexualité pour résoudre leur problème sera destructeur pour le patient, car comme n'importe quelles orientations l'asexualité n'est pas un choix et ne peut pas se changer ou se guérir. Les problèmes de cette personne ne se résoudront pas en plus de lui faire croire que c'est sa faute et qu'elle est malade (ce qui aggravera donc les problèmes). Cependant, l'absence d'attirance peut être causée par un problème qui existe depuis longtemps, depuis avant la puberté du patient (qui n'aura donc jamais eu d'attirance sexuelle), voir depuis toujours.
Cependant, l'absence d'attirance peut être causée par un problème qui existe depuis longtemps, depuis avant la puberté du patient (qui n'aura donc jamais eu d'attirance sexuelle), voir depuis toujours. Dans ce cas-là, il sera mieux de rediriger la personne vers un spécialiste non pas pour accepter son absence d'attirance sexuelle, mais pour résoudre les problèmes qu'il a subis dans son enfance plutôt que de lui dire que cette personne est simplement asexuelle, car accepter son absence d'attirance sexuelle ne résoudra pas son problème (qui se situe ailleurs).
Dans ce cas-là, il sera mieux de rediriger la personne vers un spécialiste non pas pour accepter son absence d'attirance sexuelle, mais pour résoudre les problèmes qu'il a subis dans son enfance plutôt que de lui dire que cette personne est simplement asexuelle, car accepter son absence d'attirance sexuelle ne résoudra pas son problème (qui se situe ailleurs). Enfin si elle n'est pas asexuelle, car attention le fait qu'il y ai un blocage ne veut pas dire que cette personne n'est pas aussi asexuelle et que la débloquer lui fera avoir de l'attirance, mais ça lui permettra de s'assurer qu'elle ne peut rien faire contre son absence d'attirance et qu'il lui faudra simplement l'accepter, que ce n'est pas causé par un problème. Être asexuel n’empêche pas d'avoir un blocage, et avoir un blocage n’empêche pas d’être asexuel (ce sont bien 2 choses bien indépendantes).
- le patient n'a jamais eu d'attirance sexuel ou n'en a plus depuis longtemps (sans changement brut, du jour au lendemain) et n'en souffre pas. Il y a de très fortes probabilités pour que cette personne soit simplement asexuelle. Il peut être bénéfique de s'assurer que ce n'est pas causé par un trouble physique ou psychologique, mais s'il n'y a aucune souffrance, que ça ne pose aucun problème au patient,
il y a peu de chance que ce soit causé par un trouble (si c'était le cas, il est très probable que d'autre symptôme apparaissent, l'absence d'attirance n'est pas l'unique symptôme d'aucunes maladies il me semble, sauf erreur de ma part vu que je ne suis pas médecin). Il peut être bénéfique de s'assurer que ce n'est pas causé par un trouble physique ou psychologique, mais s'il n'y a aucune souffrance, que ça ne pose aucun problème au patient, il y a peu de chance que ce soit causé par un trouble (si c'était le cas, il est très probable que d'autre symptôme apparaissent, l'absence d'attirance n'est pas l'unique symptôme d'aucunes maladies il me semble, sauf erreur de ma part vu que je ne suis pas médecin).[/quote]
Le texte entier est mal écrit, mais si tu es satisfait de ta façon de t'exprimer, à quoi cela sert-il de te le dire ? As-tu une seule fois remis en cause tes mots, pensées, opinions, croyances, méthodologie ? C'est comme d'hab, parler à un mur.
En faite au fur et à mesure que j'écris j'ai l'impression que tu as mal compris comment est construite ma réponse : tu met des répétitions partout alors que je parle de cas totalement différent qui ont des points commun (point qui sont donc répété). J'explique 4 situation totalement différents, tout comme un médecin peut recevoir 4 patients différent, avec une description de ce que peut ressentir chaque patient et comment devrait réagir le médecin dans chaque cas. donc oui, il y a des éléments dans le 1er cas qui doivent être repris dans le 2eme, des éléments du 3eme qui sont reprit dans le 4eme, et des éléments commun aux 4 cas (par exemple dans chacun de ces cas, il y a toujours un possibilité que la personne soit simplement asexuelle, il faut donc le préciser à chaque fois que le médecin ne pense pas qu'il y ai un cas ou il est impossible que la personne soit asexuelle et la catégorise systématiquement comme malade alors que ce n'est pas forcement le cas).
Natsu a écrit :Je n'aime pas non plus ta mauvaise foi lorsque tu reconnais que tu écris mal, mais tu ne fais rien pour t'aider, comme la relecture, la correction automatique, ouvrir un Bescherelle, dico, etc. Je ne suis pas ton assistante ou ta mère, prends tes responsabilités et aide-toi toi-même !
Je l'ai déjà dit mais je fais de mon mieux. j'écris "mal". C'est pas du tout objectif, j’écris mal pour une personne qui communique différemment de moi et qui a une meilleur orthographe et je communique bien pour quelqu'un qui communique comme moi et qui a le même niveau d'orthographe voir pire, car oui on fait bien pire que moi. Il m'a fallu un moment pour comprendre en quoi ce que je disais était une répétition pour toi, je peux juger aussi bien que tu t'exprime mal, je suis simplement conscient qu'on s'exprime juste différemment et fait l'effort d'essayer de comprendre sans critique non objective. Maintenant, c'est facile de dire que je suis de mauvaise fois et ne fait aucun effort, si je suis pas capable de monter à la corde à plus de 3m, je peux faire tout l'effort que je veux j'irai pas plus haut, avec ou sans bonne fois. maintenant si toi t'es capable de faire mieux, c'est exactement le but de ce sujet : permettre aux autres de proposer mieux. ce qui est assez ironique avec un "Je ne suis pas ton assistante ou ta mère" après dire des choses comme "Pourquoi ne déléguerais-tu pas cette tâche à une personne pouvant écrire d'une façon plus soignée et plus efficace ?". Personne n'est mon assistante ou ma mère, toi pas plus que les autres, ça n’intéresse personne de corriger mes fautes et tu es visiblement bien placé pour le savoir. Sauf qu'ici le but n'est pas de corriger mes faute mais de construire tous ensemble un "discourt" destiné aux médecins de la part de la communauté. ma réponse sert de base, elle me convient, maintenant si elle ne convient pas à d'autre je le met ici justement pour que chacun puissent le modifier à sa guise. Si quelqu'un le souhaite, il peut même reprendre de 0 et refaire une réponse, tout ce que je demande c'est qu'elle soit suffisamment complète et détaillé. ainsi on pourra fait un mélange de toute les bonne chose apporté dans les réponse/modifications/corrections de chacun. Donc si tu peux faire mieux, j'ai envie de dire : te gène pas, au contraire!
Leonie a écrit :En effet, pour le coup je trouve Natsu un peu dure. C'est vrai que le texte est trop long (j'ai dû prendre mon courage à 2 mains pour le terminer), mais il est plutôt bien organisé avec 4 points distincts et dit des choses vraies.
Après, je ne pense pas qu'une étudiante en médecine qui se renseigne ainsi s'attende à tomber sur le parfait orateur qui a fait des études de communication avant de répondre, tant qu'elle y a trouvé sa réponse je ne vois pas où est le mal. Zimou a été clair, il ne donne qu'un point de vue parmi d'autres (et plutôt bon je pense, même si j'avoue que c'est trop long d'après moi)
Merci. Je suis ouvert à toutes propositions pour réduire la réponse et la rendre moins lourde. c'est une critique que j'ai parfois et que j'accepte très bien, je fais parfois des pavés un peu indigeste (mais c'est généralement dans un soucis d’être bien compris, je met donc pas mal de détails, parfois trop). Si il y a des détails que tu juge inutile, ou qu'on peut exprimer de façon plus simple, n'hésite pas