Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

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Macarose
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Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par Macarose »

Pas de panique quand au titre, c'était une touche d'humour pour m'aider à tenir le temps de ma cohabitation avec mon ex très sexualisé. (:

Je voulais témoigner un peu de ma situation pour expliquer un peu mieux mon background, qui explique ma présence sur ce forum.

Je n'ai jamais été attiré par le sexe, c'est un fait. J'étais rouge pivoine quand bizarrement mes amis ados, chatouillés par leurs hormones, commençaient à zapper sur des chaînes pornos pour "rigouler". Je me suis masturbée très tardivement, n'y ayant jamais pensé avant qu'on m'en parle et que tous le monde avait déjà pratiqué. Maintenant que j'y repense, ça aurait dû me mettre sur la voie.
Mais il y a une autre facette de ma personnalité qui, je pense, a eu tendance à passer pour la coupable pour tout et pousser les gens à m'inciter à faire des trucs : la phobie sociale (éreutophobie même, pour les connaisseurs).
Persuadés que j'étais timide d'abord, angoissée socialement ensuite (ce qui là était vrai), les gens ont toujours eu tendance à penser bien faire en me poussant à faire comme "tout le monde". Je me suis sans doute aussi voilée la face, et j'ai essayé comme j'ai pu.
J'ai jamais vraiment eu d'affection étant jeune, et j'ai été emporté de bonheur et réconfort quand quelqu'un un jour m'a pris dans ses bras juste pour un calin, comme ça sans prévenir. Même si le sexe ne m'intéressait pas, j'ai découvert que j'ai une grande soif d'affection. ^^
J'ai eu de relations sérieuses, d'environ 4 ans, avec deux hommes très différents. A chaque fois même scénario : d'abord une passion décuplée, jusqu'à avoir du désir pour l'autre (au début du moins), puis... bien je dois l'avouer, je les laissais faire ensuite, de moins en moins, ne trouvant plus d'intérêt. Comme il y avait des périodes où je ne les voyais pas, je tenais plus ou moins le rythme. Je prenais surtout du plaisir à être câliner et les câliner, moins le sexe durait, mieux je me portais. Et tout ça sans me rendre compte que je m'en sortais encore bien.

Parce qu'ensuite j'ai rencontré mon ex actuel, il y a 6 ou 7 ans (je n'ai pas la mémoire des dates ou des périodes).
J'étais un peu perturbée au fil du temps... Grande différence, nous nous sommes connus à distance. On a construis une très grande complicité que je n'ai pas eu avec mes précédents ex. Ensuite, il est venu vivre chez moi dès le début de notre relation réelle et physique donc. Je n'avais pas de pause possible, il ne sortait jamais et n'entreprenait jamais rien, la seule chose qu'il faisait était me désirer tous les jours.
Bien sûr, il a rapidement commencé à être frustré, je ne pouvais plus tenir le rythme même pour faire plaisir. Plus le temps à passé, plus j'étais moi frustrée de ne rien recevoir en dehors de ses attentes sexuelles. :/
Je ne sais pas pourquoi, ni comment j'ai tenu aussi longtemps avant d'admettre que j'en pouvais plus, que c'était pas pour moi...
Peut-être justement parce qu'on étais d'accord sur un point : on avait jamais été aussi proches de nos ex sur d'autres plans, on avait cette complicité en dehors du lit conjugal.

Ce que je faisais pour faire plaisir à commencer à devenir écoeurant, m'agacer, me fatiguer.
Je commençais à me faire à l'idée qu'effectivement, mon désintérêt pour tout ça et comment je le vivais, devaient êtres des drapeaux rouges sur mon orientation sexuelle.
Je me suis aussi rendu compte que malgré ma grande affection et notre lien particuliers, je ne devais sans doute plus être amoureuse. Je faisais des efforts pour donner, mais je ne recevais rien. Quelques fois, j'ai pleuré à la fin de nos rapports discrètement, je ne voulais pas qu'il se sentent encore plus coupable.

Je n'osais plus être affectieuse, je n'avais même pas besoin de le regarder ou le toucher pour qu'il me désire, alors ce n'était plus question pour moi.

Aujour'dhui on a enfin mis au clair nos sentiments respectifs et ça me soulage énormément. J'avais développé des symptômes psychosomatiques qui ont presque disparus entièrement depuis.

Je continues à l'aider à se soulager si je puis dire, et il y a un moment déjà où je lui dis qu'il pouvait voir ailleurs, même s'il ne le fera pas parce que c'est pas son truc malgré ses frustrations. Ce n'est pas possible bien sûr de le garder si je ne le satisfait pas à ce niveau. Si on ne peut pas apporter ce que l'autre à le plus besoin, il est normal qu'on sépare tout doucement nos chemins.

Il y a quand même quelque chose qui me chagrinait parfois. Je trouvais qu'il pouvait avoir un discours très auto-centré pour me convaincre de faire certaines pratiques au lit parfois. Je n'ai jamais cédé, mais il a eu des discours qui m'ont bléssé et donné l'impression d'être la fautive qui ne veut même pas essayer, alors qu'il était hors de question qu'il y pense lui même si je lui retournais la demande.

Est-ce que je suis la seule à penser que parfois, ceux qui "rentrent dedans" sont plus égoistes et ne pensent pas assez à ceux qui se font "rentrer dedans" ? :/

Je veux dire, avoir un bout qui dépasse et le mettre dans un endroit chaud j'imagine que ça doit être très agréable. Mais être le réceptacle et se faire gigoter de l'intérieur, ça n'a rien à voir, n'est-ce pas ?? :lol:

Je suis hypersensible, et je suis souvent mal à l'aise avec mon ventre ou mon bas ventre à cause de mes intolérances à beaucoup de choses et mes émotions. Du coup, me faire triffouiller de l'intérieur, ça peut facilement être désagréable et dérangeant même si ça n'est pas douloureux. ><

J'ai l'impression d'avoir du mal à faire comprendre ça.

D'où l'idée du balai...

Ca pourrait même être le manche d'une poele...

Je veux dire, faire des concessions dans un couple oui c'est normal.

Mais si mon homme n'aime pas cuisiner, je me vois mal lui demander de me faire un dîner et de supporter en plus le manche de la poele, inconfortablement logé dans son derrière pendant qu'il me prépare tout ça ! Ca n'a quand même rien à voir ! :mrgreen:

BREF ! XD

Désolée je me suis lâchée sans faire attention de ne pas dépasser les limites du bien parlé, je pense que ça m'a fait du bien de pouvoir sortir tout ça maladroitement quelque part, juste pour lâcher la pression ! Merci beaucoup pour votre compréhension à l'avance ! Je n'ai personne de mon entourage à qui j'oserais raconter ça, ils ne me comprendraientt pas et ils me jugent déjà assez comme ça à cause de mes difficultés sociales.

J'arrête mon pavé, j'ajouterais juste merci de vos interventions et différents témoignages. J'ai déjà lu pas mal de sujets, et il y a beaucoup de choses intéressantes qui m'ont interpellé.
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par NotABadGuy »

Rien à voir, ou presque, mais le sujet me rappelle une chanson :

Un balai dans le Q,
Ils ont un balai dans le Q.
Il est tellement bien enfoncé
Qu'il restera toujours coincé.
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par Guadiana »

Macarose a écrit : 03 mars 2021, 10:14 Pas de panique quand au titre, c'était une touche d'humour pour m'aider à tenir le temps de ma cohabitation avec mon ex très sexualisé. (:

Je voulais témoigner un peu de ma situation pour expliquer un peu mieux mon background, qui explique ma présence sur ce forum.

1) Je n'ai jamais été attiré par le sexe, c'est un fait. J'étais rouge pivoine quand bizarrement mes amis ados, chatouillés par leurs hormones, commençaient à zapper sur des chaînes pornos pour "rigouler". 2) Je me suis masturbée très tardivement, n'y ayant jamais pensé avant qu'on m'en parle et que tous le monde avait déjà pratiqué. Maintenant que j'y repense, ça aurait dû me mettre sur la voie.
3) Mais il y a une autre facette de ma personnalité qui, je pense, a eu tendance à passer pour la coupable pour tout et pousser les gens à m'inciter à faire des trucs : la phobie sociale (éreutophobie même, pour les connaisseurs).
Persuadés que j'étais timide d'abord, angoissée socialement ensuite (ce qui là était vrai), 4) les gens ont toujours eu tendance à penser bien faire en me poussant à faire comme "tout le monde". Je me suis sans doute aussi voilée la face, et j'ai essayé comme j'ai pu.
5) J'ai jamais vraiment eu d'affection étant jeune, et j'ai été emporté de bonheur et réconfort quand quelqu'un un jour m'a pris dans ses bras juste pour un calin, comme ça sans prévenir. Même si le sexe ne m'intéressait pas, j'ai découvert que j'ai une grande soif d'affection. ^^
6) J'ai eu de relations sérieuses, d'environ 4 ans, avec deux hommes très différents. 7) A chaque fois même scénario : d'abord une passion décuplée, jusqu'à avoir du désir pour l'autre (au début du moins), puis... bien je dois l'avouer, je les laissais faire ensuite, de moins en moins, ne trouvant plus d'intérêt. Comme il y avait des périodes où je ne les voyais pas, je tenais plus ou moins le rythme. 8) Je prenais surtout du plaisir à être câliner et les câliner, moins le sexe durait, mieux je me portais. Et tout ça sans me rendre compte que je m'en sortais encore bien.

Parce qu'ensuite j'ai rencontré mon ex actuel, il y a 6 ou 7 ans (je n'ai pas la mémoire des dates ou des périodes).
J'étais un peu perturbée au fil du temps... Grande différence, nous nous sommes connus à distance. On a construis une très grande complicité que je n'ai pas eu avec mes précédents ex. Ensuite, il est venu vivre chez moi dès le début de notre relation réelle et physique donc. Je n'avais pas de pause possible, 9) il ne sortait jamais et n'entreprenait jamais rien, la seule chose qu'il faisait était me désirer tous les jours.
10 Bien sûr, il a rapidement commencé à être frustré, je ne pouvais plus tenir le rythme même pour faire plaisir. Plus le temps à passé, plus j'étais moi frustrée de ne rien recevoir en dehors de ses attentes sexuelles. :/
Je ne sais pas pourquoi, ni comment j'ai tenu aussi longtemps avant d'admettre que j'en pouvais plus, que c'était pas pour moi...
Peut-être justement parce qu'on étais d'accord sur un point : on avait jamais été aussi proches de nos ex sur d'autres plans, on avait cette complicité en dehors du lit conjugal.

11) Ce que je faisais pour faire plaisir à commencer à devenir écoeurant, m'agacer, me fatiguer.
Je commençais à me faire à l'idée qu'effectivement, mon désintérêt pour tout ça et comment je le vivais, devaient êtres des drapeaux rouges sur mon orientation sexuelle.

12) Je me suis aussi rendu compte que malgré ma grande affection et notre lien particuliers, je ne devais sans doute plus être amoureuse. Je faisais des efforts pour donner, mais je ne recevais rien. Quelques fois, j'ai pleuré à la fin de nos rapports discrètement, je ne voulais pas qu'il se sentent encore plus coupable.

Je n'osais plus être affectieuse, je n'avais même pas besoin de le regarder ou le toucher pour qu'il me désire, alors ce n'était plus question pour moi.

Aujour'dhui on a enfin mis au clair nos sentiments respectifs et ça me soulage énormément. J'avais développé des symptômes psychosomatiques qui ont presque disparus entièrement depuis.

13) Je continues à l'aider à se soulager si je puis dire, et il y a un moment déjà où je lui dis qu'il pouvait voir ailleurs, même s'il ne le fera pas parce que c'est pas son truc malgré ses frustrations. Ce n'est pas possible bien sûr de le garder si je ne le satisfait pas à ce niveau. Si on ne peut pas apporter ce que l'autre à le plus besoin, il est normal qu'on sépare tout doucement nos chemins.

14) Il y a quand même quelque chose qui me chagrinait parfois. Je trouvais qu'il pouvait avoir un discours très auto-centré pour me convaincre de faire certaines pratiques au lit parfois. Je n'ai jamais cédé, mais il a eu des discours qui m'ont bléssé et donné l'impression d'être la fautive qui ne veut même pas essayer, alors qu'il était hors de question qu'il y pense lui même si je lui retournais la demande.

15) Est-ce que je suis la seule à penser que parfois, ceux qui "rentrent dedans" sont plus égoistes et ne pensent pas assez à ceux qui se font "rentrer dedans" ? :/


Je veux dire, avoir un bout qui dépasse et le mettre dans un endroit chaud j'imagine que ça doit être très agréable. Mais être le réceptacle et se faire gigoter de l'intérieur, ça n'a rien à voir, n'est-ce pas ?? :lol:

Je suis hypersensible, et je suis souvent mal à l'aise avec mon ventre ou mon bas ventre 16) à cause de mes intolérances à beaucoup de choses et mes émotions. Du coup, me faire triffouiller de l'intérieur, ça peut facilement être désagréable et dérangeant même si ça n'est pas douloureux. ><

J'ai l'impression d'avoir du mal à faire comprendre ça.

D'où l'idée du balai...

Ca pourrait même être le manche d'une poele...

Je veux dire, 17) faire des concessions dans un couple oui c'est normal.

Mais si mon homme n'aime pas cuisiner, je me vois mal lui demander de me faire un dîner et de supporter en plus le manche de la poele, inconfortablement logé dans son derrière pendant qu'il me prépare tout ça ! Ca n'a quand même rien à voir ! :mrgreen:

BREF ! XD

Désolée je me suis lâchée sans faire attention de ne pas dépasser les limites du bien parlé, je pense que ça m'a fait du bien de pouvoir sortir tout ça maladroitement quelque part, juste pour lâcher la pression ! Merci beaucoup pour votre compréhension à l'avance ! Je n'ai personne de mon entourage à qui j'oserais raconter ça, ils ne me comprendraientt pas et ils me jugent déjà assez comme ça à cause de mes difficultés sociales.

J'arrête mon pavé, j'ajouterais juste merci de vos interventions et différents témoignages. J'ai déjà lu pas mal de sujets, et il y a beaucoup de choses intéressantes qui m'ont interpellé.
Bonjour,

1) Pas attirée par la pratique du sexe mais pas rouge ni gênée quand mes amies me montraient des films X. Juste indifférente. Ces temps-ci assez curieuse de savoir ce que ça fait car tout le monde aime ça.

2) Je ne me masturbe pas. La seule pratique bizarre que je fais est le peegasm. Je n'ai pas chercher à faire comme les autres.

3) Ne laisse pas les gens te pousser à quoi que ce soit.

4) Tu les laisses te pousser. Tu dois les ignorer.

5) On est pareil, je suis en gros manque d'affection, ce qui a fait que dans mon enfance, j'ai été une cible de profiteurs (mes cousins qui m'ont fait des attouchements notamment)

6) Je n'ai jamais eu de relation.

7) La passion des débuts qui s'estompe très classique même chez sexuels. La passion est un feu qui se consume. En terme d'asexualité, ça se rapproche de la fraysexualité.

8) :( Un mot d'ordre est de ne pas se forcer. Le sexe n'est pas un gage pour avoir de l'affection.

9) Une relation trop centrée sur le sexe de sa part.

10) Normal si ces choses ne te plaisaient pas.

11) Même une sexuelle peut-être dégoûtée par le sexe à cause des pratiques sexuelles que lui propose son partenaire.

12) Tu donnais quelque chose que tu n'aimais pas pour recevoir quelque chose qu'il ne veut pas te donner sans sexe. Était-ce vraiment de l'amour?

13) :?

14) Un peu manipulateur ton copain

15) Vu ta situation, je comprends ton point de vue mais l'égoïste peut être des deux côtés. Combien de femmes obligent des hommes a faire des cunni alors que ça les dégoûtent.

16) Tu n'es pas intolérante!!! tu as le droit de ne pas apprécier telle ou telle pratique.

17) Non pas de concessions sur nos valeurs et nos envies!!! Pour moi le couple c'est complémentaire et pas annihiliste!!! Cette histoire de concessions a détruit beaucoup de monde. Le but c'est de se mettre avec une personne qui nous corresponde pour ne pas se faire du mal.
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par NotABadGuy »

Guadiana a écrit : 04 mars 2021, 18:52 ...
2) Je ne me masturbe pas. La seule pratique bizarre que je fais est le peegasm. Je n'ai pas chercher à faire comme les autres.

3) Les gens ne te poussent à rien. Tu te forces à rentrer dans le moule. Tu n'as pas à raconter ta vie aux gens.

...
"Tu n'as pas à raconter ta vie aux gens."

N'est-ce pas ce que tu fais Guadiana, en rebondissant sur le sujet du cher Macarose ? :lol: :lol: :wink:
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par Guadiana »

NotABadGuy a écrit : 04 mars 2021, 19:10
Guadiana a écrit : 04 mars 2021, 18:52 ...
2) Je ne me masturbe pas. La seule pratique bizarre que je fais est le peegasm. Je n'ai pas chercher à faire comme les autres.

3) Les gens ne te poussent à rien. Tu te forces à rentrer dans le moule. Tu n'as pas à raconter ta vie aux gens.

...
"Tu n'as pas à raconter ta vie aux gens."

N'est-ce pas ce que tu fais Guadiana, en rebondissant sur le sujet du cher Macarose ? :lol: :lol: :wink:
Je raconte une partie de ma vie que l'on a en commun (asexualité) mais je ne raconte pas ma vie d'asexuelle aux sexuels. C'est comme parler chinois à un arabe.
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par Grignoteuse de bouquins »

Je pense que l'on est libre de raconter sa vie aux gens ou pas sans avoir a se prendre des réflexions blessantes. Elle raconte sa vie aux gens si elle veut et dans tous les cas y'a pas a la blâmer pour ça. Moi je dirais plutôt que les gens n'ont qu'à pas répondre n'importe quoi aux sujet qu'ils ne connaissent pas. "Tu n'as qu'à pas"... Bien facile a dire. Il y a des situations où ca peut faire du bien d'en parler et ou tout ce qu'on attend, c'est juste de l'écoute, et pas des réflexions stupides. Puis pour ton parallèle entre le chinois et l'arabe, désolée mais je ne suis pas d'accord. Il y a des moyens transversaux de se faire comprendre. Dans le sens où ce n'est pas grave que quelqu'un ne te comprends pas, tant qu'il t'acceptes. Toi tu ne racontes pas ta vie d'asexuelle aux sexuels ? Et bien tant mieux si c'est le choix que tu as fait pour ne pas avoir a te confronter a des réflexions blessantes, mais ce n'est pas le cas de tout le monde. Les sexuels racontent leur vie sexuelle h24, pourquoi on ne pourrait pas répondre en disant que ça n'est pas notre tasse de thé ? Chacun réagit a sa manière.
♠ Why frick frack when you can snick snack ? ♠ :cake:
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par Guadiana »

Grignoteuse de bouquins a écrit : 04 mars 2021, 21:12 Je pense que l'on est libre de raconter sa vie aux gens ou pas sans avoir a se prendre des réflexions blessantes. Elle raconte sa vie aux gens si elle veut et dans tous les cas y'a pas a la blâmer pour ça. Moi je dirais plutôt que les gens n'ont qu'à pas répondre n'importe quoi aux sujet qu'ils ne connaissent pas. "Tu n'as qu'à pas"... Bien facile a dire. Il y a des situations où ca peut faire du bien d'en parler et ou tout ce qu'on attend, c'est juste de l'écoute, et pas des réflexions stupides. Puis pour ton parallèle entre le chinois et l'arabe, désolée mais je ne suis pas d'accord. Il y a des moyens transversaux de se faire comprendre. Dans le sens où ce n'est pas grave que quelqu'un ne te comprends pas, tant qu'il t'acceptes. Toi tu ne racontes pas ta vie d'asexuelle aux sexuels ? Et bien tant mieux si c'est le choix que tu as fait pour ne pas avoir a te confronter a des réflexions blessantes, mais ce n'est pas le cas de tout le monde. Les sexuels racontent leur vie sexuelle h24, pourquoi on ne pourrait pas répondre en disant que ça n'est pas notre tasse de thé ? Chacun réagit a sa manière.
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par Grignoteuse de bouquins »

Faudrait pas s'interdire de parler juste pour deux trois personnes stupides qui vont avoir des réflexions blessantes...
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par Guadiana »

Grignoteuse de bouquins a écrit : 04 mars 2021, 21:48 Faudrait pas s'interdire de parler juste pour deux trois personnes stupides qui vont avoir des réflexions blessantes...
Faut se protéger quand même. Même ceux qui vont sourire devant toi peuvent baver derrière.
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par Orchis »

Guadiana a écrit : 04 mars 2021, 21:58
Grignoteuse de bouquins a écrit : 04 mars 2021, 21:48 Faudrait pas s'interdire de parler juste pour deux trois personnes stupides qui vont avoir des réflexions blessantes...
Faut se protéger quand même. Même ceux qui vont sourire devant toi peuvent baver derrière.
Je dirais que ça dépends des gens...
Perso, je ne parle pas de grand chose pour éviter les coups de couteau dans le dos. Parce que je peux me le permettre.
Il y a des gens qui vont exploser façon cocotte minute s'ils ne parlent pas. Eux, il gèreront mieux les coups de couteau dans le dos que le silence.
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par Guadiana »

Orchis a écrit : 04 mars 2021, 22:01
Guadiana a écrit : 04 mars 2021, 21:58
Grignoteuse de bouquins a écrit : 04 mars 2021, 21:48 Faudrait pas s'interdire de parler juste pour deux trois personnes stupides qui vont avoir des réflexions blessantes...
Faut se protéger quand même. Même ceux qui vont sourire devant toi peuvent baver derrière.
Je dirais que ça dépends des gens...
Perso, je ne parle pas de grand chose pour éviter les coups de couteau dans le dos. Parce que je peux me le permettre.
Il y a des gens qui vont exploser façon cocotte minute s'ils ne parlent pas. Eux, il gèreront mieux les coups de couteau dans le dos que le silence.
Il y a des psy pour ça.
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par Orchis »

Guadiana a écrit : 04 mars 2021, 22:07 Il y a des psy pour ça.
50 € la séance, il vaut mieux trouver du gratuit. :mrgreen:
Surtout que les mauvais psys sont tout à fait capables de te planter un couteau dans le dos. Alors, si c'est pour débourser 50 € et se prendre quand même un coup de couteau. Autant prendre la version gratuite. :lol:
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par Guadiana »

Orchis a écrit : 04 mars 2021, 22:18
Guadiana a écrit : 04 mars 2021, 22:07 Il y a des psy pour ça.
50 € la séance, il vaut mieux trouver du gratuit. :mrgreen:
Surtout que les mauvais psys sont tout à fait capables de te planter un couteau dans le dos. Alors, si c'est pour débourser 50 € et se prendre quand même un coup de couteau. Autant prendre la version gratuite. :lol:
Si c'est un parfait inconnu beaucoup moins de risques.
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par NotABadGuy »

Orchis a écrit : 04 mars 2021, 22:18
Guadiana a écrit : 04 mars 2021, 22:07 Il y a des psy pour ça.
50 € la séance, il vaut mieux trouver du gratuit. :mrgreen:
Surtout que les mauvais psys sont tout à fait capables de te planter un couteau dans le dos. Alors, si c'est pour débourser 50 € et se prendre quand même un coup de couteau. Autant prendre la version gratuite. :lol:
Il y a des psys gratuits très efficaces. Il faut se renseigner auprès du CMP de sa ville ou environs.
J'ai eu une psy géniale il y a quelques années par ce biais.
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Re: Et si je lui mettais un balais dans l'*** ?

Message par Grignoteuse de bouquins »

Dans tout les cas, ce qui me choque c'est que tu shames une personne qui cherche juste de l'écoute et qui a été baffouée. Elle avait bien le droit d'en parler non ? Tu sais que ce genre de discours c'est ce qu'on retrouve dans

TW viol
Afficher
Ce n'est jamais de la faute de quelqu'un si il se fait agresser, mal parler, insulter. C'est la faute de la personne en face, point. Et c'est son choix si elle décide de se "protéger" comme toi tu le fais, c'est a dire en ne parlant pas de son asexualité, ou si elle décide de ne pas laisser 2/3 cons l'atteindre et de passer au dessus de ça.

Je trouve que sortir "tu n'avais qu'à pas en parler" a quelqu'un est quelque chose d'assez violent.

Parce que déjà que tu te fais bâcher une fois par une personne qui a eu des réflexions pas très sympa a ton égard , tu viens sur le fofo, tu racontes ce qui t'es arrivé, et il y a quelqu'un qui te lance "bah il fallait pas le dire" ? Est ce que tu te rends compte à quel point ca peut être violent ? En tout cas, comme je l'ai dit chacun l'aurais pris comme il veut, mais personnellement je ne l'aurais pas du tout bien pris.
♠ Why frick frack when you can snick snack ? ♠ :cake:
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