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(me, myself and I -> fan de Metallica? )
me myself and I
- Hassan
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Re: me myself and I
J'aime beaucoup Waylander. Mais Gemmel reste dans un même schéma dans tous ses bouquins. Au final il devient facile de comprendre comment va fonctionner le roman. Le plus long? Plus que Feist? Plus de pages que Martin?Maëlle a écrit :Bienvenue à toi
De Gemell, j'ai bien aimé Legende et donc forcément druss la légende. Pas encore pu découvrir le reste du cycle drenaï. il faut dire que je me suis lancé dans ce qui est peut-être le plus long cycle de la Fantasy/SF : la compagnie des glaces de G.J. Arnaud !
Non c'est plutôt en référence à un film que j'ai vu il y a longtemps un dimanche pluvieux.
Merci à tous/toutes sinon
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Re: me myself and I
Salut et bienvenu!
Quelles choses dans l asexualité se rapprochent de ce que tu es et quelles autres t en éloignent par ex?Hassan a écrit : Donc je suis un jeune homme qui commence gentiment à vieillir. Je suis presque en train de devenir chercheur (les initié-e-s connaissent les difficultés du milieu) en histoire contemporaine. Je me considère féministe avec un grand intérêt pour les théories anarchistes. Est-ce que je suis asexuel? En fait je ne le sais pas vraiment. On va dire que certaines choses semblent plutôt se rapprocher de ce que je suis tandis que d'autres non. Il faut dire que ce n'est pas facile de se retrouver dans les nombreux termes au début (mais après avoir subi Bourdieu on peut vaincre absolument tout).
Tu te situes où dans le débat sur la prostitution?Mmm non je suis plutôt dans l'examen des institutions et de leurs relations avec des groupes sociaux discriminés. Donc les prostituées, les homosexuels et lesbiennes, les étrangers, etc.
- Hassan
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Re: me myself and I
Eh bien d'un coté j'ai des comportements qui se rapprochent de ce que j'ai compris de l'asexualité. De l'autre je ne suis pas certains d'être véritablement asexuel. Par exemple je n'ai jamais eu de véritables envies mais je n'ai pas peur du sexe ni d'en parler (je trouve ça plutôt comique qu'autre chose).
Euh le débat sur la prostitution. Je me situe en dehors car je ne suis convaincu par aucune positions féministes classiques. Je suis résolument contre le prohibitionnisme et je pense que l'abolitionnisme risque de mettre en danger les travailleurs/euses du sexe. Cependant, la posture pro-prostitution qui considère celle-ci comme un travail, ce que je pense être logique, me pose problème quant à mes positions de gauche. C'est encore une manière d'être enfoncé-e-s par le capitalisme. De plus, les choix qui mènent à la prostitution peuvent être conscients mais forcés par un contexte de pauvreté. Ou est le choix dans ce cas? Ensuite, je pense qu'il faudrait différencier la rue et les escorts qui sont dans le luxe et le gain important d'argent. On n'est pas dans le même travail ni dans les même milieux sociaux. C'est très résumé bien entendu.
Euh le débat sur la prostitution. Je me situe en dehors car je ne suis convaincu par aucune positions féministes classiques. Je suis résolument contre le prohibitionnisme et je pense que l'abolitionnisme risque de mettre en danger les travailleurs/euses du sexe. Cependant, la posture pro-prostitution qui considère celle-ci comme un travail, ce que je pense être logique, me pose problème quant à mes positions de gauche. C'est encore une manière d'être enfoncé-e-s par le capitalisme. De plus, les choix qui mènent à la prostitution peuvent être conscients mais forcés par un contexte de pauvreté. Ou est le choix dans ce cas? Ensuite, je pense qu'il faudrait différencier la rue et les escorts qui sont dans le luxe et le gain important d'argent. On n'est pas dans le même travail ni dans les même milieux sociaux. C'est très résumé bien entendu.