Trop mathématique et scientifique tout cela à mon avis pour parler de quelque chose qu'on sent en soi : la non attirance.Perceval a écrit :En fait, il y a deux questions qui sont soulevées ici :
1- Faut-il adopter une approche catégorielle ou au contraire dimensionnelle de l'asexualité ?
2- Si l'on retient un modèle de type dimensionnel, comment fixer le seuil en deça duquel on serait dans le registre de l'asexualité ?
C'est pas parce qu'on a parfois "pratiqué le sexe" qu'on n'est pas un vrai A... Et ce n'est pas parce qu'on est vierge qu'on est A...
Sinon je dirais, "on en a gros"...