Des liens, des articles, des témoignages...

[galaad]

Oui, mais pour lui il y a eut envie avant xD Loin très loin, dans la toute petite enfance quand on n'avait pas encore de souvenir

[Syd]

Il devrait être aux anges, au contraire, il y a toujours quelqu'un qui tombe dans ses pièges et qui lui répond.

[galaad]

c'est mieux que de le laisser poiroter 15 ans, remarque, peut-être qu'il lira le forum ainsi...

[Syd]

Peut-être qu'il neigera cet été aussi.

[galaad]

parle pas de malheur (quoique) à saumur, ya 1 centimetre de neige et pouf plus personne ne sort. Pas même pour aller bosser.

[Verne]

Ici, il pleut la plupart du temps. C’est moche…

[Nastasia]

c'est mieux que de le laisser poiroter 15 ainsi

ah bon ? moi, elle me plaît bien cette solution

[brigadoon]

http://www.vincentabry.com/le-forum-des-asexuels-674 ?
Il y a dans ce blog un nouveau message très violent contre les personnes qui pratiquent la sexualité.
L'article parlant de l'asexualité, cela donne une idée erronée et dégradante de ce que nous sommes.
J'ai pensé répondre, mais je préfère en parler sur Aven.
Quelqu'un a une idée ?

[galaad]

euh... mouis... il a rien d'autre a foutre, sortir son chien, s'occuper de ces gosses ou autre au lieu de dire de tels connerie ?

[ingénue]

Ils sont très interessants ces sites, merci Guito (j'ose moi aussi ). Psychologie est toujours plein de bons éléments quand on est en recherche sur soi.
Je suis restée vierge très longtemps en passant être anormale et c'est pourquoi j'ai "pratiqué": pour faire comme les copines.
La virginité est souvent un critère important dans les familles croyantes: cathos, juives, musulmanes .... un peu toutes en somme.
Pour nous, ce n'est pas une virginité choisie mais un état de fait.

Oui en effet, perplexe a sévi une fois de plus ....

[Bknight]

Oui en effet, perplexe a sévi une fois de plus ....

Et un copié-collé sur le blog de Naibed... Navrant

http://naibed.blogspot.com/2005/11/lase ... velle.html

Et là:
http://maelko.typepad.com/cad/2004/12/l ... ls_mi.html

[reverine]

je vais essayer de vous dénicher l'article de presse qui m'a amené ici :

(le l'ai ! )

Vie sexuelle des Belges - Ce qui change
Le 6e ciel leur suffit

Ils éprouvent de l'attirance, mais jamais du désir. Parfois, ils aiment et sont aimés, qu'ils vivent seuls ou en couple. Mais la bagatelle ne leur dit rien. Voici venus les asexuels, et plutôt fiers de l'être.

Ils disent juste : « Nous sommes différents. Mais nous sommes heureux. Qu'on nous laisse tranquilles. » Ils sont hommes, femmes, hétérosexuels, bisexuels ou homosexuels. Certains sont mariés, d'autres sont célibataires. Multiples dans leurs parcours et leurs histoires, ils n'en forment pas moins une tribu : celle des asexuels. Jamais, disent-ils, le désir ne les frôle. Ils aiment, certes, ou peuvent aimer. Mais le sexe les laisse de marbre.

Convaincus qu'ils étaient seuls dans le cas, ils ont longtemps tu leur singularité. Jusqu'à ce qu'au détour du siècle David Jay, un Américain de 25 ans, dise tout haut ce qu'ils pensaient, chacun, dans leur for intérieur. Désormais, les « A » pour « asexuels », comme ils s'appellent eux-mêmes, s'affichent. Ils revendiquent même ce statut particulier.

Une association, Aven (Asexual Visibility and Education Network - Réseau pour l'entraide et la visibilité asexuelle), a vu le jour, aux Etats-Unis d'abord. Depuis lors, des sites frères ont bourgeonné, en France, aux Pays-Bas, en Allemagne... Créé en 2001, le site coupole est abondamment visité et alimenté par les adeptes de ce choix de vie. On y trouve 1 001 informations sur l'asexualité, des forums de discussion, des sondages et l'inévitable boutique en ligne. Les tee-shirts à vendre portent des messages explicites : « No sex please », « Voilà à quoi ressemble un asexuel » ou « Les asexuels ont autre chose en tête ». En 2006, le site américain comptait 10 000 membres.

« Est-ce pour autant un mouvement sociologiquement représentatif ? s'interroge le Pr Armand Lequeux, gynécologue et président de l'Institut d'études de la famille et de la sexualité à l'Université catholique de Louvain. Ou est-ce seulement l'impact médiatique de ceux qui s'en réclament qui frappe davantage les esprits ? »

Combien sont-ils, d'ailleurs, à se revendiquer asexuels ? La seule étude disponible à ce jour sur ce sujet date de 2004. Publiée dans le Journal of Sex Research, elle confirme que 1 % des Britanniques affirment n'avoir jamais éprouvé d'attirance sexuelle pour qui que ce soit. Parmi eux, une majorité de femmes.

Pour autant, les asexuels ne sont pas des amibes : ils peuvent parfaitement tomber amoureux ou être émus par l'autre, mais, dans ce cas, ils développeront des formes d'intimité dénuées de toute dimension sexuelle. Certains peuvent néanmoins éprouver de l'excitation, connaître une érection ou se masturber, mais sans désir aucun. « Ce n'est pas associé à une attirance. C'est juste quelque chose qui arrive à votre corps, tente d'expliquer David Jay dans les nombreuses interviews qu'il a accordées. Tous, nous essayons de trouver comment naviguer dans la société sans être " sexuels ". Nous n'avons aucun problème avec l'idée de sexe : si quelqu'un aime le sexe, qu'il en profite. Mais nous pensons que le sexe n'est pas indispensable. Sans lui, la vie ne perd pas son sens. (...) D'ailleurs, moi, je n'ai jamais eu de relations sexuelles. Je n'ai jamais senti que cela valait le coup d'essayer, ni avec des filles, ni avec des garçons. »
On y trouve un peu de tout...

Cette définition de l'asexualité laisse toutefois perplexe. Sans doute, depuis que le monde est monde, tous ne carburent pas au désir. Mais comment distinguer, parmi eux, les hommes et les femmes dont le désir est très faible de ceux qui n'en éprouvent aucun ? De ceux dont les expériences sexuelles n'ont pas été satisfaisantes ? De ceux qui, par « facilité », y ont renoncé ? De ceux qui, traumatisés pour une raison ou une autre, ne sont pas à même de vivre leur sexualité ? De ceux qui disent ne pas avoir de désir mais qui en sont frustrés ? Le groupe des asexuels fait un peu fourre-tout. Les critères pour s'y reconnaître sont si flous...

« Franchement, j'ai essayé et je ne comprends pas pourquoi on en fait tout un plat », peut-on lire sur le forum de Aven-France. Ça ne casse pas trois pattes à un canard. » Plus loin, un autre témoignage : « Je suis beaucoup mieux quand je vis seule. Je suis tranquille. Et je ne rends de comptes à personne. » Et enfin : « Je n'éprouve plus aucun désir depuis que mon amoureux m'a quittée. Suis-je devenue asexuelle ? »

Le choix des « A » provoque évidemment le débat, parmi les médecins, les psychologues, et dans la société. Le désir sexuel hypoactif figure bien dans le très sérieux Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders, sorte de manuel des désordres mentaux, qui fait office de bible dans le milieu comportementaliste. Mais pour autant, ne peut-on pas être asexuel et heureux ? Souffre-t-on forcément d'un dysfonctionnement si l'on ne désire personne ? « Il n'est pas normal de faire une croix sur sa sexualité, affirme le Dr Esther Hirch, sexologue. La sexualité appartient à la vie. L'asexualité devrait plutôt se concevoir comme un comportement souvent réactionnel, face à l'extrême permissivité de la société en matière sexuelle. »

« Peut-être cette société sans interdits, notamment sexuels, génère-t-elle paradoxalement une baisse du désir », suggère le Pr Susann Hennen-Wolff, psychanalyste. Dans un tel cadre, il ne se trouverait plus rien pour favoriser et stimuler la libido. Toutes ces explications font sourire les asexuels. Ceux-ci affirment qu'ils ont, simplement, une orientation sexuelle différente de la majorité des gens. Et qu'ils la conserveront jusqu'à la fin de leur vie.

Du fait de cette différence revendiquée, certains considèrent que l'appel à la reconnaissance publique lancé par le mouvement des asexuels s'apparente au combat mené par la communauté homosexuelle, voici quarante ans. A une grosse nuance près : l'asexualité n'effarouche ni ne scandalise personne. D'ailleurs, il n'y a pas, à l'égard de ses pratiquants, de réaction comparable à l'homophobie.

Le mouvement des A fera-t-il des vagues ? Rien n'est moins sûr. D'autant que nombre d'entre eux préfèrent rester discrets sur leur choix de sexualité. « Je n'en parle pas autour de moi, témoigne une asexuelle. Dans une société hyper-sexualisée, les gens ne comprendraient pas. Et les rares fois où je m'y suis risquée face à des hommes, ceux-ci ont entrepris de me séduire, persuadés que je n'avais pas eu de chance jusque-là et qu'eux seuls me donneraient le goût du désir, après m'avoir emmenée au 7e ciel. »

Attentifs au développement de ce phénomène de société, certains experts sont sceptiques. L'émergence de ce mouvement correspondrait, selon eux, à ce réflexe largement répandu qui consiste à inventer une nouvelle identité dès lors qu'une tendance se dessine en dehors de la norme. « On confond avoir une place dans la société et être dans la norme », résume le psychiatre et psychothérapeute suisse Dominique Chatton. Du coup, certains asexuels se considèrent comme biologiquement programmés pour échapper au désir. Ce qui peut être rassurant. Mais l'asexualité n'est pas, pour autant, une fatalité. Quiconque voudrait regagner le monde des S, pour sexuels, le pourrait parfaitement...

L.v. R.



Le Vif - 04-07-2008


article avec ses vérités et ses préjugés, comme tous les articles de presse...

[galaad]

me demande vraiment à quoi ça peut avancer de dire de tels absurdité...

[reverine]

A faire connaître AVEN

ben quoi, l'avantage c'est que je n'ai pas cru les bêtises dites, et pioché les bonnes infos

[Nastasia]

Oui en effet, perplexe a sévi une fois de plus ....

Et un copié-collé sur le blog de Naibed... Navrant

http://naibed.blogspot.com/2005/11/lase ... velle.html

Et là:
http://maelko.typepad.com/cad/2004/12/l ... ls_mi.html

hallucinant

à croire qu'il n'a que ça à faire, chercher toutes les pages web qui parle d'asexualité pour poster le même commentaire partout

il n'y a guère que dans les changements de pseudo qu'il essaie de faire preuve d'originalité, et encore.....