Clark Kent dans Smallville
Dans Smallville les scénaristes ont réussi l'exploit de faire passer Superman pour une fiotte maquillée (le rouge à lèvres). Trop gentil, trop honnête, trop lisse, Clark Kent ado s'impose comme le super héros le plus relou de tous les temps. Et passe plus de temps à se demander s'il arrivera à pécho Lana qu'à utiliser ses super-pouvoirs pour sauver le monde d'une fin tragique. Bienvenue dans l'âge ingrat.
Dawson Leery dans Dawson
Dawson arrive dans l'Histoire télévisuelle française, après Beverly Hills et Melrose Place. Fini les brushing impeccables, les hystériques à la vie sexuelle débridée, les résidences avec piscine, Dawson substitue à tout ça des jeunes gens niais dans une bourgade sinistre dont la seule folie revient à pénétrer dans la chambre de l'autre par la fenêtre. Parmi cette troupe de neuneus égocentriques, Dawson Leery s'impose comme le plus gros relou de tous les temps. Coiffé d'un caniche mort sur la tête, il passe le plus clair de son temps à chouiner, ne pas coucher avec ses copines, s'interroger sur ses problèmes stupides, faire des fourberies à son meilleur pote et parler de son idole, Steven Spielberg (ça en dit long).
j'adore, c'est tellement bien vu