l'orgasme
l'orgasme
bon, je suis petite nouvelle, et non A. je voudrais savoir (c'est toutjours par rapport à mon copain, qui n'a jamais réussi à atteindre l'orgasme, qui a de grandes théories sur la construction socio culturelle tyrannique de ce que doit être un orgasme et qu'il dénonce) comment vous êtes par rapport à ça? l'avez vous déjà connu, pensez vous que ca n'existe pas (je parle à ceux qui sont devenus A) ?
-
- Affable
- Messages : 113
- Inscription : 17 juin 2005, 14:07
- Localisation : Grenoble
- A aimé : 0
- A été aimé : 0
Ca n'est pas indiscret mais il n'y a pas de définition universelle de l'orgasme, on peux synthétiser en disant que c'est un plaisir difficilement controlable. J'ai eu qques orgasmes (du moins je penses) ds ma vie, a chaque fois je pensais que ca ne pouvait pas etre plus fort, sauf quand je decouvrais que ca pouvait l'être plus
-
- Affranchi(e)
- Messages : 467
- Inscription : 01 mai 2005, 08:36
- Localisation : Louvain-La-Neuve, en Belgique
- A aimé : 0
- A été aimé : 1 fois
- Contact :
Ou bien, en bonus, c'est dans un moment pareil qu'on se sent le plus vulnérable, le plus à nu, psychologiquement parlant.léna122 a écrit :pourquoi est ce honteux de donner du plaisir à qq ou d'en prendre grâce à qq? je ne comprends pas... à moins que ce soit une séquelle de notre héritage judéo chrétien... le culte du péché.. on l'a tous plus ou moins, croyants, ou non.
Et très peu de gens aiment savoir que les autres ont un moyen de pression éventuel sur eux; à la base, je crois que c'est la cause.
C'est sans doute aussi pour ça que le sexe peut être un moyen pour cimenter un couple. On partage le plaisir, ok, c'est bien, mais le plus souvent, les gens se sentent plus liés quand ils ont partagé des épreuves (d'où les mots compassion et sympathie, qui veulent tout les deux "souffir avec"). Laisser l'autre avoir une telle intimité avec soi, et partager des moments de faiblesse avec, c'est un peu dans le même ordre d'idée, non?
Ensuite, bien sûr, on a institutionnalisé une certaine forme de pudeur, et c'est là que la morale judéo chrétienne entre en scène, sur ça, je n'ai rien à rajouter, on en a fait une sorte de tradition, dont on a oublié la raison.
Ce genre de chose peut avoir la vie dure.
Y'en a qui ne doute de rienRêve a écrit :l'Orgasme.. ha beh --" je sais pas ce que sait je n'ais jamais rien ressenti même pas une vague sentation de plaisir minime.
Et surtout, ne le jamais dire à un homme sinon on se coltine un '' viens je vais te montrer ce que c'est "
plutot drole --"
J'imagine la scène suivante :
- Machoman : "Viens avec moi, ma cocotte, je vais te montrer ce que c'est, moa!"
- Fille pas convaincue : "d'accord"
Après
Machoman : "Alors? Heureuse?"
- Fille toujours pas convaincue : "Ben non, je sais toujours pas ce que c'est"
- Machoman :
Je sens que je vais être
ok je
evguenia a écrit :depuis ce 28 juillet, jour de mon post, les choses ont considérablement changées... (comme quoi !) c'est fou comme les choses peuvent bouger à vitesse grand V... une rencontre et tout bascule... alors je dirai maintenant que l'écoeurement et le malaise ne sont plus d'actualité... que l'envie prédomine (sans la pénétration), que le rejet a fait place à la serenité. Alors du coup, j'arrive à comprendre bcp de choses : le gout pour le toucher, le contact, les baisers, les câlins... j'en reviens pas... par contre, la pénétration ça reste bel et bien du domaine de l'inconcevable, y'a trop de souffrances personnelles et de désintérêt derrière ça pour que ça passe.evguenia a écrit :des orgasmes oui par la masturbation, sur le moment c'est pas mal, mais ensuite je suis écoeurée et honteuse de moi meme... alors accepter de faire ça avec quelqu'un, quelle horreur... j'arrive toujours pas à comprendre ça... surtout qd on sait que derrière, la pénétration menace...