comment faire rire ses potes au lieux de les impresionner !
- galaad
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Oui, il y a un siècle de ça, maintenant les parents donnent l'éducation totale de leur enfant à l'école... (j'en ai quelques cas dans mon quartier, de vrai sauvageons à 8 ans ils se croient déjà tout permis)
Méfiez vous des seraphins, leur fureur peut être destructrice, si vous croisez l'un d'entre eux, il pourra vous sauver la vie ou vous tuer d'un revert de main...
"on ne peut guère vivre sans amour, mais on peut vivre sans sexe"
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- Syd
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Le problème étant qu'il y a toujours quelqu'un qui finance le Rmi (et non ce n'est pas l'Etat).galaad a écrit :(D'ailleur ça me rapelle que j'ai entendu aux infos un étudiant qui disait : "Je reste à la fac jusqu'à 25 ans puis je demande le RMI, c'est le meilleur moyen de rester chez soi et d'avoir un salaire." (pas au mot près, mais pas loin)
Le logement connait une crise importante, qui s'exprime aussi dans le problème que tu mentionnes.Gemini_Saga a écrit :Oui mais c'est pas les gens logés qui sont coupables dans ce cas, ce sont les hoteliers qui se font du blé et l'état qui les y encourage parce que trouver une solution couterait plus cher (croient ils)
- galaad
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Certe ce sont les contribuable, en langage famillier : les vaches à lait i.e : les pauvres travailleurs.Syd a écrit :Le problème étant qu'il y a toujours quelqu'un qui finance le Rmi (et non ce n'est pas l'Etat)..
Méfiez vous des seraphins, leur fureur peut être destructrice, si vous croisez l'un d'entre eux, il pourra vous sauver la vie ou vous tuer d'un revert de main...
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Les plus modestes sont chassés du coeur des grandes villes. Ces coeurs sont trustés par les fonds immobiliers "de haut de gamme" qui font de la vente à la découpe. Les petites boutiques y meurent vu le loyer demandé la plupart du temps, et vu la fréquentation qui baisse car les gens qui partent ne retournent pas forcément à leurs anciennes boutiques. Et les nouveaux ont un train de vie supérieur...Syd a écrit :Le logement connait une crise importante, qui s'exprime aussi dans le problème que tu mentionnes.
Du coup les "pauvres" dépensent encore plus pour aller à leur travail (ils sont plus loin), ils passent plus de temps dans les transports (de la banlieue lointaine au centre ça peut faire du trois heures par jour), augmentation du stress...
La société a oublié de prévoir les structures pour accompagner son développement...