En perdition...
En perdition...
Parce que je suis un peu perdu...
Parce que je ne sais plus...
L'histoire de ma petite vie du haut de mes 23 ans...
Une histoire familiale chaotique. Un père absent. Une mère prof délaissée?
Le petit garçon s'efforcera de rendre heureux sa mère au travers de ses résultats scolaires.
Concentration sur les études.
Les années lycées, les premiers émois amoureux... Des sentiments éprouvés, jamais avoués... trop timide, trop pudique, trop réservé.
Après le lycée, les bancs de la faculté. Nouvelle occasion donnée. Premier apprentissage d'une autonomie. Le brassage des étudiants dans une grande ville. Formidable lieu d'échanges et de rencontres. Rendez-vous manqué. La timidité restera de mise.
Les soirées étudiantes, les sorties en discothèque où au final je ne m'amuse pas... les décibels dans les oreilles, les déhanchements sur des musiques endiablées, l'alcool... tout cela ne me dit rien. Je ne suis sans doute pas comme les autres. Grands espaces, nature et paysages... bref, le lieu idéal des rencontres du troisième âge et encore...
Après la faculté, l'obtention d'un concours de la fonction publique. L'entrée dans la vie active à 20 ans tout juste. Une chance m'était donnée de tout changer. Un nouveau départ dans la vie qui s'ouvre à moi. L'éloignement du cocon familial, la perte de tout repère. Tout à construire. L'apprentissage de l'autonomie. Et pourtant... imperceptiblement, j'ai reproduit les mêmes erreurs.
Premier poste dans une ville moyenne. Une rencontre au hasard d'un forum. Une relation amoureuse marquée par la distance de nos deux êtres.
Première relation pour elle également. Le rapprochement et la découverte en douceur de nos corps. Les caresses. Les jeux amoureux.
Et puis rien. Ou peu. Pas d'érection.
Consultations répétées chez le généraliste. La honte. La difficulté d'en parler. 22 ans à peine. C'est psychologique. Nécessairement. L'histoire familiale en plus. Du pain béni. Recours à la voie médicamenteuse. Le Dieu Cialis produira ses effets. Mais à quoi bon...
A côté de la découverte de la "sexualité", et en beaucoup mieux la découverte de la relation à deux et de ses petits instants partagés. Trop courts malheureusement à raison de la distance, de nos obligations professionnelles respectives. Instants volés mais si agréables à partager. Se sentir exister dans le regard de l'autre. Les petites attentions apportées à l'autre, les baisers volés dans le cou, les calins, sentir sa princesse se lover dans ses bras ou le creux de son épaule, le contact charnel même sans effusion "sexuelle". Instants de tendresse et de complicité.
Mutation professionnelle dans une plus petite ville au relief difficile de la Savoie, loin des grands centres urbains, des bassins d'emplois. Notre relation n'y résistera pas.
Les soirées à pleurer. Seul. Personne à qui vraiment me confier.
Aujourd'hui je ne sais plus. Se faire une raison au célibat forcé serait sans doute la meilleure des solutions. Pour ne plus souffrir. Pour ne plus penser. Vivre pour soi. Egoïstement. Mais je ne parviens pas à m'y résoudre. Comment être heureux tout seul. Je n'arrive même pas à trouver le courage de partir en vacances en solitaire. A quoi bon.
Sentiment d'être inintéressant, transparent. Tout semble glisser sur moi et sur mon sourire affiché pour masquer mes angoisses et mes doutes.
Un sourire qui masque la timidité, qui donne l'illusion d'un relatif bonheur. Mais il n'en ait rien. Le malaise est profond.
J'aimerais tant pouvoir prendre soin de quelqu'un, lui offrir mon affection, partager un petit déjeuner, une soirée en amoureux, bref, ces petits instants de vie tout simples mais si chaleureux à l'être humain. Le temps m'échappe et s'écoule inexorablement sans prise aucune. Sans libido véritable aucune.
Dans cette société où le sexe s'est plus que banalisé, je ne me sens pas à l'aise...
Cette impression de ne pas avancer. Face au temps qui défile j'ai plus que jamais cette envie de construire une relation durable, basée sur la complicité, la confiance et le partage...
Peut-être trouverai-je quelque réconfort ici...
Parce que je ne sais plus...
L'histoire de ma petite vie du haut de mes 23 ans...
Une histoire familiale chaotique. Un père absent. Une mère prof délaissée?
Le petit garçon s'efforcera de rendre heureux sa mère au travers de ses résultats scolaires.
Concentration sur les études.
Les années lycées, les premiers émois amoureux... Des sentiments éprouvés, jamais avoués... trop timide, trop pudique, trop réservé.
Après le lycée, les bancs de la faculté. Nouvelle occasion donnée. Premier apprentissage d'une autonomie. Le brassage des étudiants dans une grande ville. Formidable lieu d'échanges et de rencontres. Rendez-vous manqué. La timidité restera de mise.
Les soirées étudiantes, les sorties en discothèque où au final je ne m'amuse pas... les décibels dans les oreilles, les déhanchements sur des musiques endiablées, l'alcool... tout cela ne me dit rien. Je ne suis sans doute pas comme les autres. Grands espaces, nature et paysages... bref, le lieu idéal des rencontres du troisième âge et encore...
Après la faculté, l'obtention d'un concours de la fonction publique. L'entrée dans la vie active à 20 ans tout juste. Une chance m'était donnée de tout changer. Un nouveau départ dans la vie qui s'ouvre à moi. L'éloignement du cocon familial, la perte de tout repère. Tout à construire. L'apprentissage de l'autonomie. Et pourtant... imperceptiblement, j'ai reproduit les mêmes erreurs.
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Première relation pour elle également. Le rapprochement et la découverte en douceur de nos corps. Les caresses. Les jeux amoureux.
Et puis rien. Ou peu. Pas d'érection.
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A côté de la découverte de la "sexualité", et en beaucoup mieux la découverte de la relation à deux et de ses petits instants partagés. Trop courts malheureusement à raison de la distance, de nos obligations professionnelles respectives. Instants volés mais si agréables à partager. Se sentir exister dans le regard de l'autre. Les petites attentions apportées à l'autre, les baisers volés dans le cou, les calins, sentir sa princesse se lover dans ses bras ou le creux de son épaule, le contact charnel même sans effusion "sexuelle". Instants de tendresse et de complicité.
Mutation professionnelle dans une plus petite ville au relief difficile de la Savoie, loin des grands centres urbains, des bassins d'emplois. Notre relation n'y résistera pas.
Les soirées à pleurer. Seul. Personne à qui vraiment me confier.
Aujourd'hui je ne sais plus. Se faire une raison au célibat forcé serait sans doute la meilleure des solutions. Pour ne plus souffrir. Pour ne plus penser. Vivre pour soi. Egoïstement. Mais je ne parviens pas à m'y résoudre. Comment être heureux tout seul. Je n'arrive même pas à trouver le courage de partir en vacances en solitaire. A quoi bon.
Sentiment d'être inintéressant, transparent. Tout semble glisser sur moi et sur mon sourire affiché pour masquer mes angoisses et mes doutes.
Un sourire qui masque la timidité, qui donne l'illusion d'un relatif bonheur. Mais il n'en ait rien. Le malaise est profond.
J'aimerais tant pouvoir prendre soin de quelqu'un, lui offrir mon affection, partager un petit déjeuner, une soirée en amoureux, bref, ces petits instants de vie tout simples mais si chaleureux à l'être humain. Le temps m'échappe et s'écoule inexorablement sans prise aucune. Sans libido véritable aucune.
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Peut-être trouverai-je quelque réconfort ici...
- Gianni
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Quel poignant témoignage !
Sois le bienvenu dans notre petite famille ! Puisses-tu y trouver le réconfort dont tu as tant besoin ! J’espère que nous arriverons à te redonner confiance en l’avenir !:D
Apprendre à aimer sa vie, même si elle est hors normes, n’est pas toujours une chose aisée… Et même si l’on y arrive, ce n’est pas chose facile de l’enseigner aux autres ! Ce que je regrette beaucoup d’ailleurs…
Félicitations pour ton style !:woke:
Sois le bienvenu dans notre petite famille ! Puisses-tu y trouver le réconfort dont tu as tant besoin ! J’espère que nous arriverons à te redonner confiance en l’avenir !:D
Apprendre à aimer sa vie, même si elle est hors normes, n’est pas toujours une chose aisée… Et même si l’on y arrive, ce n’est pas chose facile de l’enseigner aux autres ! Ce que je regrette beaucoup d’ailleurs…
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Le sexe, c'est la rencontre de deux corps. Le bonheur, c'est la rencontre de deux personnes. [Hervé Desbois]
Notre ville: http://asexuellecity.miniville.fr/env
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- cyclodocus
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bienvenue parmi nous
puisses tu y retrouver un peu de joie
et un petit gateau savoyard pour te faire oublier tes déboires.
mais faut pas désespérer : j'ai attendu 35 ans pour avoir en vrai les érections que j'avais la nuit.
et ce n'est pas pour autant que j'aime copuler (ça tombe bien, on est deux à ne pas aimer ça!)
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et un petit gateau savoyard pour te faire oublier tes déboires.
mais faut pas désespérer : j'ai attendu 35 ans pour avoir en vrai les érections que j'avais la nuit.
et ce n'est pas pour autant que j'aime copuler (ça tombe bien, on est deux à ne pas aimer ça!)
Merci pour ce chaleureux accueil.Gianni a écrit : Quel poignant témoignage !
Sois le bienvenu dans notre petite famille ! Puisses-tu y trouver le réconfort dont tu as tant besoin ! J’espère que nous arriverons à te redonner confiance en l’avenir !:D
Apprendre à aimer sa vie, même si elle est hors normes, n’est pas toujours une chose aisée… Et même si l’on y arrive, ce n’est pas chose facile de l’enseigner aux autres ! Ce que je regrette beaucoup d’ailleurs…
Félicitations pour ton style !:woke:
Je ne pense arriver à aimer ma vie en restant tout seul.
J'ai connu les joies d'une vie à deux, de ces petits instants de tendresse partagés à deux... et aujourd'hui il m'est extrêmement difficile d'en faire abstraction et me contenter de mon célibat forcé...
Merci pour le réconfort savoyardcyclodocus a écrit : et un petit gateau savoyard pour te faire oublier tes déboires.
Encore de longues années devant moi alors...cyclodocus a écrit : mais faut pas désespérer : j'ai attendu 35 ans pour avoir en vrai les érections que j'avais la nuit.
Tu as bien de la chance d'avoir ainsi trouvé l'élue de ton coeur. Si seulement il pouvait m'arriver la même chose.cyclodocus a écrit : et ce n'est pas pour autant que j'aime copuler (ça tombe bien, on est deux à ne pas aimer ça!)
- Gianni
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Re: En perdition...
Tu n'es pas le seul !!!!Marmotte a écrit :Les soirées étudiantes, les sorties en discothèque où au final je ne m'amuse pas... les décibels dans les oreilles, les déhanchements sur des musiques endiablées, l'alcool... tout cela ne me dit rien.
Je connais quand même beaucoup de personnes dans ce cas... Mais il semble aussi que beaucoup aiment la solitude dans ce cas...Marmotte a écrit :Je ne suis sans doute pas comme les autres. Grands espaces, nature et paysages... bref, le lieu idéal des rencontres du troisième âge et encore...
Mais ? Est-ce un choix réel (solitude) ou suite à une déception (lorsque je dis une....!!!!) de la société ?
L'impuissance de la première fois n'est pas rare... Et lorsqu'il n'y a effectivement pas de problème physique, le moral joue, la peur d'être à nouveau impuissant, même si cette peur est non perceptible... (j'ai aidé un ami dans ce cas... première fois que je jouais les sexologues, moi qui était encore puceau ! et qui avais pu l'aider... Un comble pour les sexologues : de la concurence déloyale (car gratis) d'un puceau... et A convaincu !Marmotte a écrit :La honte. La difficulté d'en parler. 22 ans à peine. C'est psychologique. Nécessairement.
Marmotte a écrit :Mais à quoi bon...
Très révélateur ! Mais tellement compréhensible pour nous, les A !
Marmotte a écrit :
Aujourd'hui je ne sais plus. Se faire une raison au célibat forcé serait sans doute la meilleure des solutions. Pour ne plus souffrir. Pour ne plus penser. Vivre pour soi. Egoïstement.
Ce n'est pas égoïste ! C'est tirer partie de la meilleure solution à défaut d'une autre...
Et tu n'as que 23 ans ! Toute la vie devant toi ! Garde ton optimisme intact !
Marmotte a écrit : Je n'arrive même pas à trouver le courage de partir en vacances en solitaire. A quoi bon.
J'ai connu ce sentiment... pendant des années, j'ai voyagé en solitaire. Puis, en duo, avec certain(e)s de mes ami(e)s... Là j'avais savouré le fait de partager quelque chose avec des personnes qui ont des goûts similaires... Et je me suis retouvé seul une fois encore... Perte de l'envie de partir, de découvrir le monde... Jusqu'au jour où un ami m'accompagna... Je passe les détails, mais le voyage tournait au cauchemar avec ses gérémiades, son manque d'enthousiasme pour tout (et ses discussions interminables sur... le sexe, bien qu'il me sâche A et m'accepte comme tel ! mais lui, c'est un S frustré, personne ne voulant de lui, alors, il en parle) Enfin, bref ! passons ! revenons au sujet : un jour, lors de ces vacances, il décréta ne plus voloir sortir... et je fus livré à moi-même... redécouverte du voyage en solitaire, et surtout, des plaisirs qui vont avec ! (je proposerai bien de présenter cet ami, comme thérapie, mais vous risqueriez de m'en vouloir à mort !)
Marmotte a écrit :
Sentiment d'être inintéressant, transparent. Tout semble glisser sur moi et sur mon sourire affiché pour masquer mes angoisses et mes doutes.
Un sourire qui masque la timidité, qui donne l'illusion d'un relatif bonheur. Mais il n'en ait rien. Le malaise est profond.
Rien qu'en lisant ton premier témoignage, je suis certain d'une chose : tu es une personne de valeur, mais, malheureusement, tu ne t'en rends pas compte ! Il va falloir apprendre à t'aimer !
Marmotte a écrit : J'aimerais tant pouvoir prendre soin de quelqu'un, lui offrir mon affection, partager un petit déjeuner, une soirée en amoureux, bref, ces petits instants de vie tout simples mais si chaleureux à l'être humain. Le temps m'échappe et s'écoule inexorablement sans prise aucune. Sans libido véritable aucune.
Garde espoir !
Marmotte a écrit : Dans cette société où le sexe s'est plus que banalisé, je ne me sens pas à l'aise...
Nous te comprenons si bien !
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On dit souvent qu'il faut s'aimer soi-même pour que les autres nous aiment...
J'étais sceptique, mais je dois avouer l'avoir souvent constaté
J'étais sceptique, mais je dois avouer l'avoir souvent constaté
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Sois le bienvenue sur ce forum, jolie présentation. Je me retrouve dans ton récit. Moi aussi dans ma jeunesse, j'ai 52 ans, je me trouvais seul, mes études terminées. J'ai fait toutes mes études loin de chez moi en internat, dans un monde clos et assez protégé. Donc quand je suis arrivé chez moi à 21 ans avec un maigre CAP en poche, j'avais peur du monde extérieure, je ne connaissais personne, aucun amis(es). J'avais trouvé du boulot dans une usine de 1 200 personnes et c'est ça qui en parti m'a développé. En internat, je faisais du ping pong, alors une fois chez moi, je me suis inscrit à un club de ping pong, pour voir d'autres gens qu'au boulot, et ça m'a beaucoup aidé. Tu devrais chercher un truc qui te plaises, et t'inscrire à des club, pour voir des gens qui ont la même passion que toi, et tout arrivera sans t'en rendre compte. Tu as fait le bon choix en t'inscrivant au forum, si tu as un problème, parles en car ça soulage, et tu trouveras toujours quelqu'un pour t'aider. Je te souhaite de réussir ta vie, mais je suis sûre tu y arriveras, tu as fait le premier pas en t'inscrivant, et nous nous sommes de bon conseil Au plaisir de te lire
Je suis sûre que t'y arrivera,
- cyclodocus
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Popeye a raison
s'il y a une activité que tu aimes, pratiques-la en association.
tu connaitras du monde hors du périmètre estudiantin ou professionnel et ça ne peut que t'être profitable.
quant à trouver l'âme soeur, il ne faut pas la chercher ni faire une fixation sur ce à quoi elle doir resssembler ou pas afin de ne pas LA rater.
mais il faut y croire. ne plus y croire m'a "couté" 8 ans de ma vie et pas mal de chose (mais y avoir cru m'aurait fait faire un tout autre chemin que celui que j'ai suivi, l'aurais-je alors connue ? éternelle question de l'écriture du destin...)
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mais il faut y croire. ne plus y croire m'a "couté" 8 ans de ma vie et pas mal de chose (mais y avoir cru m'aurait fait faire un tout autre chemin que celui que j'ai suivi, l'aurais-je alors connue ? éternelle question de l'écriture du destin...)
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Evidemment, c'est plus facile à dire qu'à faire.
C'est assez logique, la confiance en soi est attractive. Et c'est ce qu'on éprouve quand on a besoin de personne pour sentir sa valeur.Gianni a écrit :On dit souvent qu'il faut s'aimer soi-même pour que les autres nous aiment...
J'étais sceptique, mais je dois avouer l'avoir souvent constaté
Evidemment, c'est plus facile à dire qu'à faire.
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Superbe témoignage
Bonjour,
J'ai été très touché de lire ton témoignage qui me réconforte: le plus simple est d'aller vers l'avant et de vouloir le bonheur. Sinon, tu n'arriveras jamais à l'atteindre. Imagine qu'il est presque à la portée de ta main... et oublie rapidement le reste!
Courage.
Si je puis t'être d'une quelconque utilité, fait le moi savoir, ok?
Jean-Bernard
J'ai été très touché de lire ton témoignage qui me réconforte: le plus simple est d'aller vers l'avant et de vouloir le bonheur. Sinon, tu n'arriveras jamais à l'atteindre. Imagine qu'il est presque à la portée de ta main... et oublie rapidement le reste!
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Je serai très heureux de rencontrer des 'A' pour échanger mes états d'âme et positiver! N'hésitez pas à me contacter: Jean-Bernard Condat, B.P. 59, 93402 Saint-Ouen Cedex, France, tél.: 0149450924, GSM: 0679399170
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