Natsu a écrit :Non, le début le plus tardif de la puberté chez les hommes est à 14 ans, donc les étapes de la puberté sont achevées au plus tard à 17 ans (généralement pas plus tard que 16 ans), 15 ans chez les filles, source :
http://acces.ens-lyon.fr/biotic/procrea ... berNor.htm.
Tu dis bien que c'est une moyenne. donc 17 ans c'est en moyenne l'age minimum, selon toi, ou il est possible de se définir définitivement asexuel. mais qu'en est il des personnes qui sont hors de cette moyenne, pour qui c'est plus tard? car si il y a 2% de la populations qui est hors de cette moyenne, ce qui représente vraiment très peu, ça représente quand même 50% des personnes qui n'ont pas d'attirance, seul les 50% d'entre eux sont vraiment asexuel (enfin ne le sont pas comme le sera un enfant, car entre un enfant et un ado qui n'a pas terminé sa puberté, la différence est proche : les 2 ne sont pas encore développé en totalité et changerons encore).
d'ailleurs, en faisant quelques recherche, je découvre que
Par exemple, une étude américaine de 2005 indique que parmi un groupe d'adolescents ayant tous déclaré n'avoir qu'une attirance exclusive envers les personnes de même sexe, seuls 11% d'entre eux déclaraient la même chose un an plus tard
source : (en) Ritch C. Savin-Williams, « Who’s Gay? Does It Matter? », Cornell University
donc c'est carrément pas aberrant de donner cette information à un jeune qui se définit A. et c'est pour ça que je dit qu'on peut se définir A qu’
après l'adolescence, car pendant, ça change (bien plus que je le pensais d'ailleurs)
Natsu a écrit :Je n'ai pas envie de répondre au pavé, puisque tu répètes toujours la même chose, que les jeunes ne savent rien, qu'il faut fouiller s'il n'y a pas de pathologie sous-jacente expliquant l'asexualité, etc. et je ne suis pas d'accord.
Je répète la même chose car tu te contente dire que tu n'es pas d'accord sans démonter aucun de mes arguments. ceux ci sont donc toujours valable et en effet, le débat ne peut pas avancer. me contredire en disant "je suis pas d'accord" n'est pas un argument.
Natsu a écrit :Je ne suis pas d'accord non plus sur tes définitions de l'asexualité. Moi aussi, je répète que lorsque l'on ne ressent pas d'attirance sexuelle pour d'autres personnes, alors que les hormones fonctionnent c'est-à-dire que l'on a des seins, des cycles menstruels, des poils pubiens, des organes génitaux développés, donc passé 15-16 ans (17 ans au plus), on est asexuel, point barre.
Tu progresse un peu, maintenant tu dis qu'on est asexuel si on correspond à la définition, mais il faut passer un premier "test" dont tu parle, à savoir s'assurer que les hormones fonctionne, qu'on a des seins, des cycle menstruels, des poils pubiens, des organes génitaux développés, donc passé 15-16 ans (17 ans au plus). Je répondrai à ça que ce ne sont pas des argument pour dire qu'on est pas asexuel. on peu ne pas avoir de poitrine, être imberbe, avoir des problème de cycle menstruels, etc... et être quand même asexuel. mais je suis d'accord, ce sont aussi des facteur qui peuvent faire qu'on a pas d'attirance sexuel (quoi que l'absence de poitrine... pas vraiment), et comme je l'ai expliqué, il faut chercher, comprendre ce qui peut faire qu'on a pas d'attirance sexuel, et savoir si ça bloque ou non cette attirance, si sans ce facteur, on aurai de l'attirance ou pas.
Natsu a écrit :Si tu demandes à chaque personne de fouiller dans sa mémoire et son passé, on peut tous trouver des problèmes
justement! il faut les chercher, les trouver et savoir si ce souvenir ne créer pas de blocage. l'asexualité n'est pas un blocage! et ce n'est pas non plus un repaire pour ceux qui ont des blocage mais ne souhaite préfère se voiler la face plutôt que de résoudre leur problème. Je répond non pour cette raison lorsqu'on me dit que l'asexualité n'est qu'un repaire de personne malade qui ont des blocages qui veulent être rassuré en s'entendant dire que son blocage est normal pour les rassurer et les complaire dans leurs problèmes, qu'ils n'aient pas à chercher de solution et qu'ils peuvent baisser les bras. si on te pose la question, toi tu serais incapable de répondre "non", et donc de prouver que les asexuels ne sont pas des gens qui ont des problèmes, qui peuvent être soigné, et que ça n'a rien d'une orientation, seulement d'une maladie.
Natsu a écrit :conseilles-tu à chaque asexuel d'aller chez le psy ? Et crois-tu qu'un psy est un magicien qui peut effacer les problèmes comme avec une ardoise magique ? ben non, les psy ne sont pas magiciens, la meilleure chose à faire est d'apprendre à s'accepter tel que l'on est (et ceci provient d'une personne ayant côtoyé des psy)
mais accepter ce qu'on est, si on a un blocage, n’enlève rien au fait que c'est un blocage, et que ça n'a rien d'une orientation, que c'est un état qui ne permettra que d'accepter qu'on est bloqué et de dire aux autre "laisse moi tranquille, j'ai un blocage, je suis comme ça et ça changera pas" chose impossible à dire, contrairement à l'orientation qui a bien plus de légitimité pour dire ça. j'irai pas conseiller à un asexuel de consulter, je ne l'ai jamais fait moi même pour ces raisons. si on estime qu'on est capable soit même de savoir si on a eu des problèmes et savoir si ils sont générateur de blocage ou pas, je pense que c'est suffisant. bien que me concernant, mais c'est mon avis personnel, j'aimerai beaucoup voir un psy, ça me conforterais encore plus dans l'idée que je suis A si lui non plus de me trouve aucun problème ou aucun lien avec ces éventuel problème qui m'aurait retiré l'attirance sexuel. Si il trouve que j'ai un problème qui bloque assurément mon attirance sexuel, j'aurai aussi avancé dans la découverte de moi même, et j'en serais tout aussi satisfait. il n'y a rien de mal à voir un psy ça ne peut être que bénéfique dans les 2 cas (qu'il démontre que je suis A par l'absence de blocage ou qu'il démontre que je suis S par la présence d'un blocage qu'on pourra peut être lever, ou peut être pas mais ça restera un blocage et que je donc A par "choix", enfin à cause d'autre circonstance).
et enfin, je pense pas qu'un psy est un magicien qui peut effacer les problèmes comme avec une ardoise magique. un psy est un médecin qui a fait des année d'étude, qui détecte des maladies et qui peut mettre des années à les soigner. c'est pas de la magie, c'est du travail et de la science. selon toi (ou ta définition de l'asexualité), etre atteins du trouble désir hypoactif c'est être asexuel. pourtant non, c'est une maladie qui se soigne. et si quelqu'un qui est atteint de ce trouble se croit asexuel, il va pensé qu'il est normal, que tout va bien et ne doit pas se faire soigner. apres, libre à chacun de ne pas se faire soigner si ça maladie ne lui pose aucun soucis. mais il ne faut pas se cacher derrière l'asexualité pour se dire qu'il est normal et sans problème. c'est dommageable pour ceux qui sont vraiment asexuel, normaux et n'ont pas de problème.
Natsu a écrit :un forum d'écoute et d'entre-aide doit aussi accepter ses membres tels qu'ils sont et non pas tels que tu aimerais qu'ils soient c'est-à-dire l'asexuel parfait ayant plus de 21 ans et sans aucun problème dans son passé.
il n'y a pas d'asexuel "parfait" encore une fois. je sais je le répète encore, mais c'est encore quelque chose ou tu dis "je suis pas d'accord, il faut accepter les asexuel tel qu'ils sont" sans démonter le moindre argument. donc je le redit, il n'y a pas d'asexuel "parfait", soit on est asexuel, soit on l'est pas. et si c'est causé par quelque chose (l'age pour les moins de 10 ans, la douleurs pour ceux qui ont des douleurs ou problèmes physique et qui ont donc peur de la sexualité, ou psychologique pour ceux qui ont subit certaine choses qui cause des blocages) ce n'est pas de l'asexualité. ce n'est même pas un asexuel "imparfait", ce n'est juste pas un asexuel. pour le cas délicat des ado, je l'ai dit aussi à plusieurs reprise, je ne dit pas qu'ils ne sont pas A, je dit juste qu'il y a une probabilité pour que ça change. probabilité élevé quand on se définit A à 12 ans, et plus faible à 18 ans, qui ne disparait jamais totalement mais réduit de façon suffisamment significative pour avoir très peu de chance de se tromper à partir de 20 ans. et comme je l'ai dit, j'étais moi même convaincu à 19 ans d’être hétérosexuel, même si on m'avais soumis l’hypothèse du contraire (alors que je confirme aujourd'hui, avec l'expérience et la maturité, que je n'étais pas hétérosexuel), il n'est pas insensé de penser que je suis pas le seul au monde dans ce cas et qu'il est susceptible que ça arrive à pas mal d'autre personne.
Natsu a écrit :Pourquoi dis-tu "décourager à être asexuel" ? L'asexualité est un état, comme le fait d'être droitier ou gaucher.
je ne décourage pas a "être" asexuel, je vais décourager quelqu'un qui se définit trop rapidement asexuel à garder sa définition fixe. je vais l'incité à se remettre en cause et à bien réfléchir sur ce qu'il est. si après ça il se définit toujours asexuel, alors il sera qu'un peu plus sur de l’être. et si après ça il se définit S, ou qu'il découvre qu'il a un blocage sur lequel il doit réfléchir ou travailler, et la aussi c'est quelque chose de positif, même si ça l'oblige à réfléchir et ne lui permet pas le "repos" que procure l'asexualité (à savoir d'être sur qu'on est normal et que tout va bien, qu'on est pas malade ou bloqué).
Natsu a écrit :Il n'y a pas de test, on sait bien si on a des envies sexuelles ou pas, et si à 18 ans, on n'en a jamais éprouvé, c'est qu'on est asexuel, c'est aussi simple que cela.
et pourtant, tu en as énuméré quelque un de ces "test" un peu plus haut. et même la, il y a un "test", il faut se demander si on a plus de 18 ans ou pas. ton test es facile à analyser, ce n'est pas le cas de toute les questions qu'on est susceptible de se poser. c'est justement pour ça qu'on se définit pas A du jour au lendemain sans réfléchir, car si il suffisait de savoir si tu as 18 ans, on pourrait se définir ainsi asexuel en seulement quelques seconde. la FAQ contient justement certain de ces "test" qui poussent à se poser des questions.
Natsu a écrit :Sur ce forum, il y a plusieurs membres qui se sont inscrits en disant qu'ils/elles avaient eu de l'attirance sexuelle dans le passé et plus aujourd'hui (c'est aussi mon cas, grey-A dans le passé, asexuelle aujourd'hui). Par contre, je n'en ai pas vu beaucoup dire qu'ils étaient asexuels et avaient changé pour devenir sexuels (un seul membre qui a dit que c'était dû à des médicaments).
nous sommes sur un forum qui parle d'asexualité. sur le forum, il n'y a que des personne qui se pensait S et qui ont découvert l'asexualité et se sont reconnu A. la plupart ne dit pas qu'ils avaient de l'attirance sexuel, avant, il disent qu'ils avait une vision de l'asexualité différente. beaucoup disent de leurs mots qu'ils sont A depuis toujours, les autre le sous entendent souvent et c'est normal, l'orientation sexuel change rarement, contrairement à notre interprétation surtout quand on découvre l'asexualité (il est bien plus fréquent que ce soit une prise de conscience qu'un changement d'orientation). sachant qu'il n'y a que 1% des membres du forum qui se connecte chaque jour (on est 5000 inscrit, 50 visiteurs inscrit par jour), ne pense tu pas que sur les 99% qui ne se connecte plus les choses sont susceptible d'avoir changé? De plus, bien que loin d’être le plus ancien du forum, j'ai connu des A qui se sont ensuite définit S, ce qui fut même le cas pour un ancien membre de l'ancienne association AVA -pas l'actuel- (qui était plutôt jeune aussi, un peu moins de 20 ans quand il s'est définit A je crois de mémoire d'ailleurs. enfin je suis plus certain de son age mais il me semble). ceux ci, quand ils se définissent S ne viennent pas sur le forum l'annoncer. contrairement au fait de se définir A, s'affirmer S sur ce forum n'a aucun intérêt. on a aucun moyen de quantifier le nombre de A qui deviennent S vu que les A déserte généralement le forum après avoir eu leurs réponse. mais en tant qu'ancien membre ayant suivis l'histoire de certain membre du forum, je confirme qu'il y en a qui se définissent A ici mais qui après quelques mois ou années de réflexion et d'expérience changent d'opinion sur eux même. et ce n'est pas un reproche, au contraire je suis très content pour eux qu'ils se soit fixé et qu'ils sachent ce qu'ils sont de façon définitive, ce que j'incite tous à faire!
Natsu a écrit :L'indication de l'asexualité est l'absence d'attirance, de désir, donc l'absence de frustration sexuelle. Le reste ne concerne pas l'asexualité.
La définition exacte est l'absence d'attirance
sexuelle pour les autres. donc pour ce qui est du désir ou la frustration, leurs présence ou absence ne concerne pas l'asexualité. et ce que ne dit pas la définition c'est que l'asexualité n'est pas une anomalie, que ce n'est pas une maladie ni la conséquence d'une anomalie ou d'une maladie. et c'est pour ces raisons que les asexuel se battent pour leur légitimité et leur visibilité. si c’était une maladie ou une anomalie, ou causé par une maladie ou une anomalie, les gens qui dise en parlant de nous "vous n'avez qu'à allez vous faire soigner" serait parfaitement légitime. et on aurai aucun droit à utiliser le terme "orientation" pour définir l'asexualité, le mot orientation impliquant que ce soit causé par rien (enfin par quelque chose non déterminable, ni modifiable, ni évaluable, vu qu'on ne sait pas ce qui cause exactement l'orientation sexuel, que rien n'a été trouvé pour le moment, la réponse actuel est donc : rien. qui n'a pas de cause identifiable.).
Divine a écrit :Je like tout ce que tu viens de dire, mais surtout concernant la puberté. Marre de voir des gens de 16-21 ans se faire rembarrer parce qu'ils sont «trop petits» pour savoir. La sexualité ca peut être tardif dans certains cas mais faut pas déconner, la plus part des gens connaissent leur orientation sexuel à un jeune âge, les A compris.
On ne dit pas qu'il est trop petit pour "savoir", on dit qu'il ne peut pas "être sur", et qu'il est pas impossible que ça change. peut être qu'il sait, mais c'est pas sur. On ne dit pas qu'il a tort, mais qu'il n'a peut être pas raison. c'est se mettre de belle oreiller et s’enfermer dans une définition que de dire le contraire. comme je l'ai mis dans l'étude plus haut, chez les adolescents seul 11% ont la même orientation entre le début de leurs adolescence et la fin (qui n'est mesuré que sur 1 ans en plus, court période pour couvrir toute l'adolescence).
Laco a écrit :j'ai fais l'effort de préciser entre guillemets : je ne parle pas de problèmes personnels ou quoi, mais pour moi au départ, le fait de ne pas ressentir d'attirance sexuelle était un problème en soi, vis à vis de mon entourage, tous S.
c'est pour avoir cette réponse que je dis ce que je dis. tu as réfléchis au pourquoi ça te posais problème, et tu as trouvé une réponse qui en effet ne peut pas impliqué que tu ne soit pas A. ce n'est pas quelque chose qui est devinable à travers ton précédent discourt, et on a même pas la possibilité de savoir si tu t'es seulement posé la question. tu te l'es posé, tu as une réponse qui a conforté le fait que tu étais A. c'est juste ce que doivent faire chaque membre qui viennent ici et qui se posent des questions, ta réponse prouve que ce que j'ai dit t'a poussé à te poser la question et à trouvé une réponse. même si tu l'as fait avant qu'on ai cette discutions, l'important c'est qu'on t'aidera mieux si on sait que tu te l'es posé, que ce soit par toi même ou en t'y poussant. si j'ai tendance à contredire ce que dira quelqu'un, c'est par parce que je sais ou je pense qu'il a tort, car je n'en sais rien, mais c'est pour le pousser à se demander lui même si il n'a pas tort.
Laco a écrit :Je me suis retrouvé dans des situations très chaude si j'ose dire, où le commun des mortels se seraient lachés (pas besoin de vous faire un dessin).
être asexuel n’empêche pas le plaisir sexuel, et n’empêche donc pas d'accepter d'avoir des relations sexuel si on nous en propose. nous sommes capable d'avoir des relations sexuel et du plaisir. le fait d’être dans une "situation chaude" et dire "non" n'est pas une caractéristique de l'asexualité et ne veux pas dire non plus que tu es A (bien que je précise quand même au cas où, ça ne veux pas dire non plus que tu ne l'es pas mais qu'il faut se poser des question pour comprendre). après ça dépend ce que t'entend par "chaud". si une femme (ou un homme) t'as fait des avances excitante (car un A est capable d'excitation, en continuant de préciser que si il n'en a pas ça ne veux pas dire qu'il n'est pas A, mais qu'il faut se poser sérieusement la question de "pourquoi") et que tu les as refusé, c'est que tu as eu une raison de le faire. et si ce fut le cas, t'es tu demandé quel était cette raison (une derniere fois, cette raison ne veux pas dire que tu n'est pas A. encore faut il la déterminer pour le savoir)?
mais tu entend peut être par "situation chaude" le fait que tu étais dans une situation où tu aurai pu profité sexuellement de femmes malgré qu'elle n'en faisait pas la demande et que tu ne l'a pas fait, c'est de l'asexualité. c'est un cas qui m'est arrivé, j'ai fini nu dans un jacusie avec 3 femmes, elle n'ont pas montré signe de vouloir aller plus loin (bien que ça ne veut pas dire qu'elle n'était pas d'accord, on peux se dire que des S ne font peut être pas ça sans aucune arrière pensé, mais on le saura jamais) et moi ça ne m'attirais pas donc j'ai rien tenté.
Laco a écrit :En ce qui concerne le "moi et le sexe on n'etait pas fais pour s'entendre", encore une fois épargne moi ta psychanalise de bazar, par pitié. C'était une façon très simple de revenir sur le fait que je n'avais pas d'attirance sexuelles, oublie ton discours, il faut le dire pas très clair et limite sectaire.
Je n'ai pas la prétention de me dire psychanalite. j'explique comment, à partir d'une "façon simple de revenir sur son asexualité" (ou une façon simple de l'expliquer, ce que font beaucoup de nouveau membre) on doit trouver qu'il y a des question à se poser et des réponses à trouver. tu t'es déjà probablement poser toutes ces questions et j’espère trouvé une réponse, nous n'avons pas le détail et, comme on le dit toujours, tu es donc le seul à te pouvoir te définir A. on te définira A par confiance, tout comme on définira un homosexuel parce qu'on aura confiance en lui quand il dira qu'il est attiré par les personnes de meme sexe que lui (et qu'il n'a pas un simple dégout du sexe opposé, causé par une mauvaise expérience par exemple, j'ai connu aussi quelques rare "homo" (des ados justement) qui se définissait ainsi pour ces raisons après de grosse crise avec un ou plusieurs de leur conjoint, connaissait quelques histoire avec les personnes de même sexe, puis redevenais hétéro quelques mois/année après, lorsque la colère contre le sexe opposé passait et que son orientation naturel reprenais le dessus sur la colère.
Laco a écrit :J'ai pas l'impression qu'on puissent prouver par a+b scientifiquement notre "situation", ou encore développer des théories philosophiques fumeuses.
Non, justement, on ne peut pas! je suis pleinement d'accord! mais si en élaborant tes propre théorie (qui seront forcement moins fumeuse que venant de quelqu'un que tu connais pas et qui te connais pas), si tu arrive à prouver par a+b que tu es asexuel, c'est que tu l'es pas! ce raisonnement prouve aussi que tu es très certainement A, puisque selon toi on ne peut pas définir la cause de l'asexualité. et je suppose que tu t'appuie sur tes propres réflexions pour dire ça, donc que tu as toi même aucune raison d’être A. ce qui prouve parfaitement que tu l'es si tu n'a toujours pas d'attirance sexuel malgré ça. car l'asexualité n'a pas de cause. c'est exactement ce qui fait un asexuel. et pas quelqu'un qui se définit comme tel (parce qu'il le pense, il croit), mais bien quelqu'un qui l'est, qui sait.
Laco a écrit :Maintenant ton exemple sur une personne qui est "totalement en dehors de la société" : encore une fois tes arguments sont lunaires. Pourquoi partir aussi loin? J'ai juste dis que l'on a pas besoin de l'experience de papy ou mamie pour savoir ce que l'on est
oui, elle sont lunaire, c'est aussi volontaire, je ne dit pas sans raison. mais il y a une limite qui se situe entre ce que je dis (que je met volontairement loin deriere la limite), et ce que toi tu dis. je dit qu'il faut un minimum de connaissance et d'expérience pour définir son orientation sexuel. avoir les connaissance de Papy ou Mamie n'est effectivement pas nécessaire. mais dans mon exemple, c'est trop peu. la question est ou est ce qu'on peut définir son orientation entre ces 2 extrêmes? et la, la question est bien plus corsé! chacun aura d'ailleurs surement un avis et des réponses différentes.
Laco a écrit :Donc si tu veux, il ne faut pas donner l'impression qu'on parle à quelqu'un d'égocentré(je ne t'accuse en rien, peut être que les mots sont mal choisis), parce que essayer de donner des chiffres ou des preuves pour comprendre ou faire comprendre quelque chose à quelqu'un, en l'occurrence l'asexualité, je trouve ça complétement déconnecté de la réalité (ce n'est que mon humble avis).
tout ce que je dis n'est pas égocentrique, ou voulais tu peut être dire "incontestable", car je ne fait qu'emettre des hypothèse dans le seul et unique but de pousser chacun à remettre leur certitude (qui ne peuvent pas en être, comme de dire qu'un ado de 18 ans est forcement capable de se définir A et qu'il ne faut pas le contredire) en question. en aucun cas quand je dis qu'un ado ne sera pas si il est A à 17 ans quand on me dit qu'il le saura forcement sans aucun doute veut dire que j'ai raison et que l'autre a tort, je dis justement ça pour faire comprendre que de dire que tous les ados connaissent leur orientation sexuel est un extrême, tout comme dire qu'aucun n'est capable de le définir à cet age. et comme je l'explique, la vérité se trouve entre les 2, c'est à dire que certain sauront se définir tôt (comme ce fut le cas pour David Jay), et d'autre ne sauront que tard. bien que la question de l'age, même si on en parle dans ce même sujet, soit encore autre chose.