Bonjour, je peux entrer?
- macha mallow
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Bonjour, je peux entrer?
Après bien des lectures, après bien des questions (et des réponses), je me lance, je m'inscris.
Brève présentation :
Femme, le demi-siècle dans pas longtemps, mariée, deux enfants, re-mariée, un enfant de plus dans la foulée, me voilà "auto-diagnostiquée" asexuelle.
Merci de me faire une petite place sur un canapé, une chaise, un bout de strapontin.
Petite question "organisationnelle" : mon parcours, je le raconte ici, ou dans la rubrique appropriée?
Brève présentation :
Femme, le demi-siècle dans pas longtemps, mariée, deux enfants, re-mariée, un enfant de plus dans la foulée, me voilà "auto-diagnostiquée" asexuelle.
Merci de me faire une petite place sur un canapé, une chaise, un bout de strapontin.
Petite question "organisationnelle" : mon parcours, je le raconte ici, ou dans la rubrique appropriée?
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Re: Bonjour, je peux entrer?
Bonjour Mâcha et bienvenue !!
Je suis contente de rencontrer une bientôt quinqua comme moi ici
Raconte-nous ton parcours où tu veux, on sera très heureux de te connaître, où que ce soit !!
A bientôt
Je suis contente de rencontrer une bientôt quinqua comme moi ici
Raconte-nous ton parcours où tu veux, on sera très heureux de te connaître, où que ce soit !!
A bientôt
La vie n'est pas un long fleuve tranquille.....
Re: Bonjour, je peux entrer?
Bonsoir Macha et bienvenue .....une bienvenue en même temps que la mienne .
Comme toi je suis ici pour parler et découvrir des personne asexuel , des personne ms qui comme moi on souffert de cela alors que c'est juste une question d'incompréhension .
Au plaisir .
Comme toi je suis ici pour parler et découvrir des personne asexuel , des personne ms qui comme moi on souffert de cela alors que c'est juste une question d'incompréhension .
Au plaisir .
L'intelligence c'est comme le parachute , quand ont en a pas ont s'écrase.
- macha mallow
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Re: Bonjour, je peux entrer?
Merci Renaissance et Darkgold.
Bon, je vais donc aller raconter mon histoire ébouriffante dans la rubrique "36-15 my life"!
Bon, je vais donc aller raconter mon histoire ébouriffante dans la rubrique "36-15 my life"!
- macha mallow
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Re: Bonjour, je peux entrer?
Bon, ben finalement, la rubrique my-life, elle est ici. (et si non, et ben on me déménagera, merci les déménageurs, 'tention, c'est fragile! )
Hop, j'me lance :
Comme déjà dit, j'ai donc été mariée une fois, j'ai eu deux z'enfants, nous nous sommes séparés, j'ai vécu seule avec mes enfants. j'ai fait quelques rencontres sympas, puis j'ai fait une rencontre "spéciale", celle qui fait que t'as à nouveau 15 ans alors que t'en as presque 25 de plus!
Une sexualité normale (pour moi, ce qui se passe entre adultes consentants est normal. qu'on soit 2 ou 34 )
Je refais ('fin, pas toute seule) un enfant à 40 ans, nous essayons de lui fabriquer un petit frère ou une petite sœur, et là, patatras, c'est le drame... 3 fausses-couches en 2 ans (ça m'était jamais arrivé). Et ça commence à merder à partir de ce point critique...
on se fait tout le parcours du combattant PMA : bilans hormonaux, spermogrammes, examens invasifs et parfois douloureux physiquement (moralement, je commençais à devenir une serpillière en fin de vie), tests de survie de spermatos en milieu hostile (c'est moi le milieu hostile). Mon appareil génital tombe dans le domaine public (j'aurais demandé 1 euro à chaque blouse blanche qui a mis ses doigts et son nez dans ma foufoune, je serais riche à l'heure qu'il est! ).
Evidemment, pour mettre toutes les chances de notre côté, il fallait faire des crapuleries au "bon moment". D'où prise de température matinale pour repérer l'ovulation, d'où cachets variés afin de stimuler l'ovu. De récréative et spontanée, la sexualité est devenue mécanique et "industrielle" elle est devenue chiante et obligatoire surtout!.
J'ai fait thérapie, sexothérapie. Je devais "pardonner" ses défaillances à mon corps (j'y suis parvenue, même s'il y a encore un peu de rancune. J'ai en tout cas accepté que je n'aurais plus d'autres enfants, j'en ai fait mon deuil). Faire l'amour est devenu pénible, inutile (à partir de ce moment là, la sexualité n'était plus une source de plaisir, mais n'avait plus qu'une dimension reproductive, et puisque j'étais pas capable de porter un enfant, que mon ventre était devenu un cimetière, je ne voyais plus aucun intérêt à la sexualité. J'ai espacé les relations, je crois que mon cerveau a ordonné à mon corps de devenir "froid", de ne plus ressentir aucun plaisir. Il m'avait fait souffrir, ben il allait souffrir à son tour, comme une piètre vengeance de ce qu'il m'avait fait subir.
La thérapie et la sexothérapie ont un peu amélioré les choses (il y a des hauts, des bas, mais surtout, j'ai maintenant de l'indulgence
Le "problème", c'est que monsieur Macha est sexuel, et que pour lui, le minimum syndical, c'est une fois par jour! A un moment (quand j'avais une sexualité rigolote et spontanée), ça m'allait bien. Là, ça me pèse. Il est resté boulimique, je suis devenue anorexique.
"J'accepte" (oh my Gode, quel horrible mot, et surtout quelles funestes conséquences) 2 à 3 rapports/hebdos (plus pour son plaisir que pour le mien). Mais que c'est chiant. Je ne ressens aucun désir, aucune envie, mais dans le feu de l'action, je parviens à avoir un peu de plaisir (genre furtif, je grimpe pas aux rideaux!). Ca me fait pas de bien, mais c'est pas douloureux non plus. c'est une "non-sensation"
Monsieur Macha est compréhensif, patient, tolérant. Lui aussi doit se battre contre ses démons (chacun sa merde me direz-vous).
Nous dialoguons beaucoup. Il y a des choses insupportables pour moi qu'il sait. Chose insupportable pour moi, je plante le décor :
lui : On fait un câlin ce soir?
moi : non, pas ce soir, j'ai pas envie (comme toujours, remarquez)
A partir de là, je sais qu'il va redescendre, se coller devant l'ordi et se masturber devant un film (il le faisait déjà "avant"). De là, je me suis dit : que je dise oui ou que je dise non, de toutes façons, lui il va le prendre son pied. il s'en fout de moi, ce qui l'intéresse, c'est de prendre son pied et basta. ben qu'il se débrouille tout seul, au moins je serai peinarde. Je me suis sentie complètement dévalorisée, je n'étais plus un individu, j'étais juste un moyen de se vider et d'y prendre un peu de plaisir. Moi ou une chaussette, c'était pareil. Pour se reconstruire un égo, je vous promets qu'il n'y a pas mieux !
J'ai repris la thérapie, histoire de me re-bichonner le moral et l'égo, la sexothérapie, je sais pas... j'ai tenté des tas de trucs, sauf Lourdes et un marabout d'Afrique. Je sais aussi que pour que ça marche, il faut que je fasse tout ça pour MOI. Or c'est pas pour moi que je le fais. Moi, ça me pose aucun problème d'avoir une libido de taupe morte, mon asexualité (si tant est que ce soit vraiment ça), je la vis bien. Mais Est-ce vraiment mon "vrai moi?" Ca, c'est pas à vous de le dire, c'est à moi de trouver la réponse. là, je crois être sur une piste : quand on ne ressent rien, ni douleur, ni plaisir, quand on a anesthésié son corps, ben on souffre pas! (reste à savoir si j'ai envie de me réveiller ou de me remettre un shoot d'anesthésiant...)
Là, je me pose la question des Clash : Should I stay or should I go? On se pourrit la vie finalement. (là aussi, c'est pas à vous de me dire, mais autant que vous sachiez tout, tant qu'à faire...)
Si vous arrivez à lire tout mon pavé sans vous endormir, bravo, vous êtes des champion(ne)s
Hop, j'me lance :
Comme déjà dit, j'ai donc été mariée une fois, j'ai eu deux z'enfants, nous nous sommes séparés, j'ai vécu seule avec mes enfants. j'ai fait quelques rencontres sympas, puis j'ai fait une rencontre "spéciale", celle qui fait que t'as à nouveau 15 ans alors que t'en as presque 25 de plus!
Une sexualité normale (pour moi, ce qui se passe entre adultes consentants est normal. qu'on soit 2 ou 34 )
Je refais ('fin, pas toute seule) un enfant à 40 ans, nous essayons de lui fabriquer un petit frère ou une petite sœur, et là, patatras, c'est le drame... 3 fausses-couches en 2 ans (ça m'était jamais arrivé). Et ça commence à merder à partir de ce point critique...
on se fait tout le parcours du combattant PMA : bilans hormonaux, spermogrammes, examens invasifs et parfois douloureux physiquement (moralement, je commençais à devenir une serpillière en fin de vie), tests de survie de spermatos en milieu hostile (c'est moi le milieu hostile). Mon appareil génital tombe dans le domaine public (j'aurais demandé 1 euro à chaque blouse blanche qui a mis ses doigts et son nez dans ma foufoune, je serais riche à l'heure qu'il est! ).
Evidemment, pour mettre toutes les chances de notre côté, il fallait faire des crapuleries au "bon moment". D'où prise de température matinale pour repérer l'ovulation, d'où cachets variés afin de stimuler l'ovu. De récréative et spontanée, la sexualité est devenue mécanique et "industrielle" elle est devenue chiante et obligatoire surtout!.
J'ai fait thérapie, sexothérapie. Je devais "pardonner" ses défaillances à mon corps (j'y suis parvenue, même s'il y a encore un peu de rancune. J'ai en tout cas accepté que je n'aurais plus d'autres enfants, j'en ai fait mon deuil). Faire l'amour est devenu pénible, inutile (à partir de ce moment là, la sexualité n'était plus une source de plaisir, mais n'avait plus qu'une dimension reproductive, et puisque j'étais pas capable de porter un enfant, que mon ventre était devenu un cimetière, je ne voyais plus aucun intérêt à la sexualité. J'ai espacé les relations, je crois que mon cerveau a ordonné à mon corps de devenir "froid", de ne plus ressentir aucun plaisir. Il m'avait fait souffrir, ben il allait souffrir à son tour, comme une piètre vengeance de ce qu'il m'avait fait subir.
La thérapie et la sexothérapie ont un peu amélioré les choses (il y a des hauts, des bas, mais surtout, j'ai maintenant de l'indulgence
Le "problème", c'est que monsieur Macha est sexuel, et que pour lui, le minimum syndical, c'est une fois par jour! A un moment (quand j'avais une sexualité rigolote et spontanée), ça m'allait bien. Là, ça me pèse. Il est resté boulimique, je suis devenue anorexique.
"J'accepte" (oh my Gode, quel horrible mot, et surtout quelles funestes conséquences) 2 à 3 rapports/hebdos (plus pour son plaisir que pour le mien). Mais que c'est chiant. Je ne ressens aucun désir, aucune envie, mais dans le feu de l'action, je parviens à avoir un peu de plaisir (genre furtif, je grimpe pas aux rideaux!). Ca me fait pas de bien, mais c'est pas douloureux non plus. c'est une "non-sensation"
Monsieur Macha est compréhensif, patient, tolérant. Lui aussi doit se battre contre ses démons (chacun sa merde me direz-vous).
Nous dialoguons beaucoup. Il y a des choses insupportables pour moi qu'il sait. Chose insupportable pour moi, je plante le décor :
lui : On fait un câlin ce soir?
moi : non, pas ce soir, j'ai pas envie (comme toujours, remarquez)
A partir de là, je sais qu'il va redescendre, se coller devant l'ordi et se masturber devant un film (il le faisait déjà "avant"). De là, je me suis dit : que je dise oui ou que je dise non, de toutes façons, lui il va le prendre son pied. il s'en fout de moi, ce qui l'intéresse, c'est de prendre son pied et basta. ben qu'il se débrouille tout seul, au moins je serai peinarde. Je me suis sentie complètement dévalorisée, je n'étais plus un individu, j'étais juste un moyen de se vider et d'y prendre un peu de plaisir. Moi ou une chaussette, c'était pareil. Pour se reconstruire un égo, je vous promets qu'il n'y a pas mieux !
J'ai repris la thérapie, histoire de me re-bichonner le moral et l'égo, la sexothérapie, je sais pas... j'ai tenté des tas de trucs, sauf Lourdes et un marabout d'Afrique. Je sais aussi que pour que ça marche, il faut que je fasse tout ça pour MOI. Or c'est pas pour moi que je le fais. Moi, ça me pose aucun problème d'avoir une libido de taupe morte, mon asexualité (si tant est que ce soit vraiment ça), je la vis bien. Mais Est-ce vraiment mon "vrai moi?" Ca, c'est pas à vous de le dire, c'est à moi de trouver la réponse. là, je crois être sur une piste : quand on ne ressent rien, ni douleur, ni plaisir, quand on a anesthésié son corps, ben on souffre pas! (reste à savoir si j'ai envie de me réveiller ou de me remettre un shoot d'anesthésiant...)
Là, je me pose la question des Clash : Should I stay or should I go? On se pourrit la vie finalement. (là aussi, c'est pas à vous de me dire, mais autant que vous sachiez tout, tant qu'à faire...)
Si vous arrivez à lire tout mon pavé sans vous endormir, bravo, vous êtes des champion(ne)s
Re: Bonjour, je peux entrer?
Bonjour et bienvenue macha mallow
... et bien sûr que tu peux entrer !
Déjà merci pour ton "pavé" qui a été loin de m'endormir, la façon dont tu as écrit ton post était à la fois touchante mais aussi pleine d'humour.
Que ce forum t'apporte tout ce que tu souhaites, échanges, soutien, réponses à tes questions, etc... et que la vie te soit plus douce .
A bientôt
... et bien sûr que tu peux entrer !
Déjà merci pour ton "pavé" qui a été loin de m'endormir, la façon dont tu as écrit ton post était à la fois touchante mais aussi pleine d'humour.
Tu m'as trop fait riremacha mallow a écrit :Mon appareil génital tombe dans le domaine public (j'aurais demandé 1 euro à chaque blouse blanche qui a mis ses doigts et son nez dans ma foufoune, je serais riche à l'heure qu'il est! ).
Que ce forum t'apporte tout ce que tu souhaites, échanges, soutien, réponses à tes questions, etc... et que la vie te soit plus douce .
A bientôt
- Cendre de Lune
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Re: Bonjour, je peux entrer?
Bienvenue Macha, et malgré tout ce que tu as traversé, je te trouve quand même pleine d'humour. J'ai beaucoup ris à la lecture de ton post. Bon courage à toi
- Lilly
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Re: Bonjour, je peux entrer?
Jamais le premier soir... les suivants non plus d'ailleurs!
À ce niveau-là, c’est plus de la gastronomie, c’est de l’érotisme !
Karadoc
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Re: Bonjour, je peux entrer?
Effectivement Macha, ton parcours est captivant !! Tu sais raconter les histoires
Bon, bien sur c'est ton histoire, et elle n'est pas drôle.. C'est difficile de ne penser qu'à soi et d'arrêter de culpabiliser quand on ne fait pas "entièrement" plaisir a l'autre..
Je vis aussi avec un S mais pas du tout demandeur, respectueux, attentif et tout et tout. On a peu de rapports mais il s'en contente. On a fait des compromis. On s'aime, on est bien ensemble, on ne veut pas se quitter juste pour du sexe !! Je me force a avoir quelques rapports avec lui pour lui faire plaisir, et lui se force a ne pas demander pour me faire plaisir.
Voilà, ça a mis du temps a se mettre en place tout ça, mais je pense qu'on avance bien dans cette voie-la.
Ton mari doit comprendre que pour te faire plaisir, il ne doit plus te "harceler"..
Pas facile tout ça hein ?
Bon, bien sur c'est ton histoire, et elle n'est pas drôle.. C'est difficile de ne penser qu'à soi et d'arrêter de culpabiliser quand on ne fait pas "entièrement" plaisir a l'autre..
Je vis aussi avec un S mais pas du tout demandeur, respectueux, attentif et tout et tout. On a peu de rapports mais il s'en contente. On a fait des compromis. On s'aime, on est bien ensemble, on ne veut pas se quitter juste pour du sexe !! Je me force a avoir quelques rapports avec lui pour lui faire plaisir, et lui se force a ne pas demander pour me faire plaisir.
Voilà, ça a mis du temps a se mettre en place tout ça, mais je pense qu'on avance bien dans cette voie-la.
Ton mari doit comprendre que pour te faire plaisir, il ne doit plus te "harceler"..
Pas facile tout ça hein ?
La vie n'est pas un long fleuve tranquille.....
Re: Bonjour, je peux entrer?
Bienvenu et beau courage pour ce pavé
Bonne recherche
euh ben complètement d'accord c'est comme un enfant qui fait un caprice au mieux il l'obtient parcequ'on est énervé et au pire il est puniRenaissance1267 a écrit :
Ton mari doit comprendre que pour te faire plaisir, il ne doit plus te "harceler"..
Pas facile tout ça hein ?
Bonne recherche
- macha mallow
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Re: Bonjour, je peux entrer?
Bonjour,
Je vous pose du café, du thé, des viennoiseries, des tartines, du beurre et de la confiture (ou ce que vous voulez, c'est un plateau spécial : vous voulez un truc, abracadabra il arrive sur le plateau. tiens, ça serait bien si on inventait un truc pareil dans la vraie vie ).
Merci de vos réponses, elles m'aident, c'est donc précieux.
Avoir jeté tout ça sur un écran, c'est aidant aussi.
Je vous souhaite une douce journée, que ce soit sur une chaise longue ou derrière un bureau.
Je vous pose du café, du thé, des viennoiseries, des tartines, du beurre et de la confiture (ou ce que vous voulez, c'est un plateau spécial : vous voulez un truc, abracadabra il arrive sur le plateau. tiens, ça serait bien si on inventait un truc pareil dans la vraie vie ).
Merci de vos réponses, elles m'aident, c'est donc précieux.
Avoir jeté tout ça sur un écran, c'est aidant aussi.
Je vous souhaite une douce journée, que ce soit sur une chaise longue ou derrière un bureau.
- macha mallow
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Re: Bonjour, je peux entrer?
Bonjour Laur4,Laur4 a écrit :Tu aimerais partir alors que vous avez des enfants ensemble ?
"j'aimerais" n'est pas le terme approprié, mais si on arrive à un point de non-retour, si on se pourrit trop la vie, si ce déséquilibre en vient à prendre le pas sur tout le reste, qu'il cristallise toutes les tensions, je vois pas comment on pourrait proposer un environnement harmonieux à notre enfant (on en a 3, dont 1 en commun).
Je l'ai déjà fait, et j'ai vu comment l'atmosphère familiale redevenait respirable.
Je vois pas en quoi voir deux parents ensemble mais complètement crispés est mieux que de les voir séparément mais sereins.
Mais chacun voit les choses selon l'idée qu'il s'en fait, et selon son vécu aussi.
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Re: Bonjour, je peux entrer?
+1 Macha !!
Je ne vois pas en quoi avoir des enfants avec lui, t'empêcherait de le quitter ??
La vie est insupportable pour des enfants quand les parents se déchirent..
Les enfants ne sont heureux que quand les parents ne le sont aussi.
Je ne vois pas en quoi avoir des enfants avec lui, t'empêcherait de le quitter ??
La vie est insupportable pour des enfants quand les parents se déchirent..
Les enfants ne sont heureux que quand les parents ne le sont aussi.
La vie n'est pas un long fleuve tranquille.....