Qu'est-ce qu"un garçon" ? qu'est-ce qu'"une fille" ? Comment les définir précisément ? Et pourquoi le faire ?Héraclite a écrit :Dire qu'un garçon est un garçon et qu'une fille est une fille c'est de l'endoctrinement ?
Le nombrilisme des hommes face au féminisme
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
Simple: tout le monde ne se reconnait pas dans les images stéréotypées d'un garçon ou d'une fille, ou bien s'y reconnait et ne les trouvent pas intéressantes.
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
Question difficile et qui demande encore de nombreuses recherches. Quel est la doctrine? Elle est l'idée, basiquement, que les différences biologiques de sexe impliquent des différences naturelles dans la psychologie et les capacités sociales des personnes. Alors qu'il est prouvé qu'il y a une naturalisation de différences qui sont socialement construites dans notre histoire. Par exemple, pourquoi les femmes sont plus attentives à la mode que les hommes? Est-ce par un sens inné de la beauté du tissus? Apparemment, il y a surtout eu un renoncement masculin à la mode entre le XVIII et le XIX siècle. La mode est devenu l'apparat féminin et un moyen, classique celui-là, de valider la force sociale du maris. Qui diffuse? A la fois tout le monde et personne. Personne car penser que des mecs se réunissent pour parler des stéréotype à diffuser serait erroné. Tout le monde car ces même stéréotypes sont intégrés durant notre vie entière via nos relations, les institutions, les discours, la culture, etc.Héraclite a écrit :Dire qu'un garçon est un garçon et qu'une fille est une fille c'est de l'endoctrinement ?Leonie a écrit :En plus d'un fameux mal de tête, ça nous a permis de réaliser à quel point nous sommes endoctrinés dès notre plus jeune âge.
Pour qu'il y ait endoctrinement il faut une doctrine, des propagateurs de cette doctrine et des moyens de la diffuser. Alors je pose la question : quelle est cette doctrine et qui sont les gens qui en feraient la promotion ?
Leonie: Merci, j'en avais entendu parler. Je vois aussi des tentatives en français mais je ne trouve pas de listes complètes.
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
Garçon : Personne de sexe masculinSven L. a écrit :Qu'est-ce qu"un garçon" ? qu'est-ce qu'"une fille" ? Comment les définir précisément ? Et pourquoi le faire ?
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
c'est vrai en biologie, mais faux en sociologie. qu'est ce qu'un homme qui prend des hormones et à subit une opération pour élever ses organes masculin pour mettre des organes féminin? Rien que là, on ne peut plus faire de généralité de ce genre homme = sexe d'homme et femme = sexe de femme. rien que ça, c'est une forme d'endoctrinement qui fait souffrir les hommes qui se sentent femmes et les femmes qui se sentent homme.Héraclite a écrit :Garçon : Personne de sexe masculinSven L. a écrit :Qu'est-ce qu"un garçon" ? qu'est-ce qu'"une fille" ? Comment les définir précisément ? Et pourquoi le faire ?
Fille : Personne du sexe féminin
C'est en réalité pas si simple et il y a que la personne elle même qui peut dire si elle est homme ou femme suivant ce qu'elle ressent.
La définition de l'asexualité est "une personne qui ne ressent d'attirance sexuelle pour personne". Cependant, vous seul pouvez décider quel terme vous convient le mieux.
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
Partir de cas extrêmement marginaux pour remettre en question des réalités aussi importantes, ce n'est pas très sérieux.Zimou a écrit :c'est vrai en biologie, mais faux en sociologie. qu'est ce qu'un homme qui prend des hormones et à subit une opération pour élever ses organes masculin pour mettre des organes féminin? Rien que là, on ne peut plus faire de généralité de ce genre homme = sexe d'homme et femme = sexe de femme. rien que ça, c'est une forme d'endoctrinement qui fait souffrir les hommes qui se sentent femmes et les femmes qui se sentent homme.Héraclite a écrit :Garçon : Personne de sexe masculinSven L. a écrit :Qu'est-ce qu"un garçon" ? qu'est-ce qu'"une fille" ? Comment les définir précisément ? Et pourquoi le faire ?
Fille : Personne du sexe féminin
C'est en réalité pas si simple et il y a que la personne elle même qui peut dire si elle est homme ou femme suivant ce qu'elle ressent.
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
Ces cas permettent de démontrer que les choses ne sont pas aussi simple. Rien que la définition des sexes biologiques est plus difficile que ce que l'on croit. Car les médecins, comme tout le monde, ne sont pas en dehors de leur contexte historique spécifique. Même sans aller aussi loin que les transgenres ou les intersexes (qui, pourtant, sont des exemples très précieux pour comprendre la normalisation des sexes) il suffit d'observer comment on crée socialement des femmes et des hommes. Ceci se fait à l'école, dans les médias et, surtout pour les hommes, à l'armée. On y trouve des discours sur ce que sont les femmes et les hommes. Des discours qui naturalisent des caractères sociaux. Par exemple, les filles aiment le rose et les garçons le bleu. Les garçons sont forts et aventureux alors que les filles sont douces et prudentes. Etc...
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
J'incline vers le point de vue de Hassan, qui est presque une synthèse de mes recherches actuelles(en plus clair que je ne pourrais l'exprimer)
J'ajoute un lien pour étayer:
http://www.crepegeorgette.com/2014/03/2 ... inq-sexes/
Enfin, la phrase suivante me plonge dans une certaine perplexité.
Du coup, il est terriblement casse-gueule d'évacuer le sujet avec l'argument du nombre "marginal".
J'ajoute un lien pour étayer:
http://www.crepegeorgette.com/2014/03/2 ... inq-sexes/
Enfin, la phrase suivante me plonge dans une certaine perplexité.
Les chiffres que j'ai trouvé était qu'en évoquant les intersexes/hermaphrodites, on arrive à environ 1,7% de gens...même chiffre que pour les Asexuel.lesHéraclite a écrit :Partir de cas extrêmement marginaux pour remettre en question des réalités aussi importantes, ce n'est pas très sérieux.
Du coup, il est terriblement casse-gueule d'évacuer le sujet avec l'argument du nombre "marginal".
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
+1.Sven L. a écrit :il est terriblement casse-gueule d'évacuer le sujet avec l'argument du nombre "marginal".
On pourrait juger les asexuel de marginaux avec ce genre de mentalité, et dire que remettre en question le fait qu'on ai systématiquement de l'attirance sexuel, une réalité très importante (pour les S) ne serait pas sérieux.
Et pourtant, nous sommes là et nous remettons cette réalité en question...
D’ailleurs, en quoi c'est une réalité "importante"? c'est encore quelque chose qui ne regarde que nous même.
La définition de l'asexualité est "une personne qui ne ressent d'attirance sexuelle pour personne". Cependant, vous seul pouvez décider quel terme vous convient le mieux.
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
Il y a cette vidéo qui explique vraiment bien, les identifications de sexes, de genres, romantiques, comportementales : en 3'48 tout est dit ! Chapeau !
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
Si être "A" fait de moi un marginal alors je suis un marginal. Je n'ai aucun besoin de reconnaissance et ne suis pas du style à porter mon étendard très haut pour qu'on me reconnaisse. A ce titre je trouve totalement puérile et immature de vouloir créer des signes de reconnaissance comme je l'ai lu sur un autre fil. Encore un symptome de l'individualisme-égocentrisme radical qui caractérise notre société.Zimou a écrit :+1.Sven L. a écrit :il est terriblement casse-gueule d'évacuer le sujet avec l'argument du nombre "marginal".
On pourrait juger les asexuel de marginaux avec ce genre de mentalité, et dire que remettre en question le fait qu'on ai systématiquement de l'attirance sexuel, une réalité très importante (pour les S) ne serait pas sérieux.
Et pourtant, nous sommes là et nous remettons cette réalité en question...
D’ailleurs, en quoi c'est une réalité "importante"? c'est encore quelque chose qui ne regarde que nous même.
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
>Si le placard est à votre goût, soit, ça vous regarde après tout.Héraclite a écrit : Si être "A" fait de moi un marginal alors je suis un marginal. Je n'ai aucun besoin de reconnaissance et ne suis pas du style à porter mon étendard très haut pour qu'on me reconnaisse.
>Rien à voir que ça fasse du bien de ne pas se sentir seul et aller boire un verre/se promener/échanger des idées et des nouvelles avec des gens sans pression.A ce titre je trouve totalement puérile et immature de vouloir créer des signes de reconnaissance comme je l'ai lu sur un autre fil. Encore un symptome de l'individualisme-égocentrisme radical qui caractérise notre société.
Yeah, super-individuel et égocentrique...
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
Je n'ai pas du tout l'impression de vivre dans un placard c'est juste que je ne suis pas là en train de réclamer je ne sais quelle reconnaissance sociale. Demain les non footeux vont réclamer une reconnaissance face à l'horrrrrrible pression de ce sport, tellement populaire qu'il vous fait passer pour un anormal si vous ne regardez pas la coupe du monde. Je répète que c'est à l'image de l'infantilisme dans lequel baigne notre société et qui devient de plus en plus pesant.Sven L. a écrit :>Si le placard est à votre goût, soit, ça vous regarde après tout.Héraclite a écrit : Si être "A" fait de moi un marginal alors je suis un marginal. Je n'ai aucun besoin de reconnaissance et ne suis pas du style à porter mon étendard très haut pour qu'on me reconnaisse.
>Rien à voir que ça fasse du bien de ne pas se sentir seul et aller boire un verre/se promener/échanger des idées et des nouvelles avec des gens sans pression.A ce titre je trouve totalement puérile et immature de vouloir créer des signes de reconnaissance comme je l'ai lu sur un autre fil. Encore un symptome de l'individualisme-égocentrisme radical qui caractérise notre société.
Yeah, super-individuel et égocentrique...
Par ailleurs, si vos amis ou votre entourage en général vous "met la pression" c'est que vous l'avez peut-être mal choisi. J'ai beaucoup d'amis mais le sujet de la sexualité (ou de l'asexualité pour ce qui nous intéresse) n'a jamais été et ne sera jamais abordé. C'est incongru car intimement personnel.
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
il y a différente raisons pour laquelle on souhaite en parler à nos proche. déjà parce que parfois la famille nous met la pression pour trouver quelqu'un, trouvant bizarre qu'on reste seul. ça ne les regarde pas mais ça n’empêche pas que certain parents s'en préoccupe et la meilleur chose à faire est de dire la vérité pour qu'ils comprennent la difficulté qu'on peut avoir à se mettre en couple. Ensuite on peut vouloir en parler à un ou plusieurs amis, pour partager ce qu'on ressent, demander conseille, etc... oui, nous sommes humain et nous pouvons avoir besoin de partager. nous pouvons aussi aider à ce que l'asexualité se fasse connaitre pour que les asexuels qui s'ignorent puisse se comprendre et s'accepter, pour qu'ils ne se sentent plus anormaux. et ça passe souvent par des interviews, voir des passage télévisé, ce qui nécessite d'en parler aussi autour de soit avant la diffusion. J'ai été dans 2 de ces cas, j'en ai parlé dans un premier temps à une amie qui n'a pas beaucoup compris (pensait que je n'étais pas comme ça) et je n'irai surement pas dire que je l'ai mal choisie pour ce jugement, c'est une excellente amie. pour ceux qui mettent plus la pression, ça ne veut pas non plus dire que ce sont de mauvais amis mal choisi... l'ami parfait, c'est comme le conjoins parfait, il n'existe pas.Héraclite a écrit :Par ailleurs, si vos amis ou votre entourage en général vous "met la pression" c'est que vous l'avez peut-être mal choisi. J'ai beaucoup d'amis mais le sujet de la sexualité (ou de l'asexualité pour ce qui nous intéresse) n'a jamais été et ne sera jamais abordé. C'est incongru car intimement personnel.
Ensuite j'ai du en parlé à mon entourage et ma famille car je suis passé à la télé et dans des magazines. c'est grâce à ça, entre autre bien sur, que nous avons de plus en plus d'inscrit qui vienne nous remercier d’être là, de les rassurer sur ce qu'ils sont. Je n'ai subi de pression de personne, heureusement, mais je sais qu'on se parle de moi (et peut être se moque?) dans mon dos au boulot notamment...
Donc intimement personnel ne veut pas dire qu'on en parle pas ni que c'est incongru de le faire...
Quand à l'exemple du foot, il est totalement inapproprié, personne ne juge quelqu'un qui aime ou qui joue au foot comme anormal alors que ça l'est, qui nécessite donc reconnaissance.
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
j'ai choqué tout le monde il y a quelques temps en demandant dans quel pays se passait la Coupe du Monde de foot (d'ailleurs, je ne sais pas qui a gagné, enfin je sais que ce n'est pas la France parce qu'il y aurait eu du tapage nocturne).
Depuis, on me surnomme l'ermite ! Je pense imprimer cette image sur un T shirt (j'hésite avec un bernard-l'hermite, plus sympa qu'un ermite et plus ressemblant )
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Re: Le nombrilisme des hommes face au féminisme
N'étant pas du style à me répandre j'ai quelques difficultés à comprendre ce besoin. Au passage, sympa votre boulot si tous les célibataires sont moqués...Zimou a écrit :il y a différente raisons pour laquelle on souhaite en parler à nos proche. déjà parce que parfois la famille nous met la pression pour trouver quelqu'un, trouvant bizarre qu'on reste seul. ça ne les regarde pas mais ça n’empêche pas que certain parents s'en préoccupe et la meilleur chose à faire est de dire la vérité pour qu'ils comprennent la difficulté qu'on peut avoir à se mettre en couple. Ensuite on peut vouloir en parler à un ou plusieurs amis, pour partager ce qu'on ressent, demander conseille, etc... oui, nous sommes humain et nous pouvons avoir besoin de partager. nous pouvons aussi aider à ce que l'asexualité se fasse connaitre pour que les asexuels qui s'ignorent puisse se comprendre et s'accepter, pour qu'ils ne se sentent plus anormaux. et ça passe souvent par des interviews, voir des passage télévisé, ce qui nécessite d'en parler aussi autour de soit avant la diffusion. J'ai été dans 2 de ces cas, j'en ai parlé dans un premier temps à une amie qui n'a pas beaucoup compris (pensait que je n'étais pas comme ça) et je n'irai surement pas dire que je l'ai mal choisie pour ce jugement, c'est une excellente amie. pour ceux qui mettent plus la pression, ça ne veut pas non plus dire que ce sont de mauvais amis mal choisi... l'ami parfait, c'est comme le conjoins parfait, il n'existe pas.Héraclite a écrit :Par ailleurs, si vos amis ou votre entourage en général vous "met la pression" c'est que vous l'avez peut-être mal choisi. J'ai beaucoup d'amis mais le sujet de la sexualité (ou de l'asexualité pour ce qui nous intéresse) n'a jamais été et ne sera jamais abordé. C'est incongru car intimement personnel.
Ensuite j'ai du en parlé à mon entourage et ma famille car je suis passé à la télé et dans des magazines. c'est grâce à ça, entre autre bien sur, que nous avons de plus en plus d'inscrit qui vienne nous remercier d’être là, de les rassurer sur ce qu'ils sont. Je n'ai subi de pression de personne, heureusement, mais je sais qu'on se parle de moi (et peut être se moque?) dans mon dos au boulot notamment...
Donc intimement personnel ne veut pas dire qu'on en parle pas ni que c'est incongru de le faire...
Quand à l'exemple du foot, il est totalement inapproprié, personne ne juge quelqu'un qui aime ou qui joue au foot comme anormal alors que ça l'est, qui nécessite donc reconnaissance.