quand on dit "souffrir d’être asexuel dans notre société", ça sous entend que la cause est la société, donc qu'on soufre de la société. sinon, on dira "souffrir d’être asexuel". on parlerait pas de la société qui n'a pas lieu d’être abordé si elle n'est pas la cause.CLP a écrit :Oui, mais ce qui m'embête avec cette remarque, c'est que si on la pousse au maximum, il devient impossible de parler de nos souffrances en tant que personnes asexuelles. Dans n'importe quelle phrase dans laquelle je pourrais dire "souffrir d'être asexuel-le dans notre société", tu pourrais remplacer par "souffrir de la société".
pourquoi est ce que cela empêcherai de faire des action collective? je trouve au contraire que c'est parce que c'est à cause de la société que ces maux existe qu'il faut faire des actions collective. si c’était l'asexualité la cause (donc nous même), c'est là qu'aucune action n'aurai besoin d’être entreprise. on pourrait s'en prendre qu'a nous même. enfin même pas à nous même vu qu'on ne choisie pas ce qu'on est, on aurait juste rien à dire.CLP a écrit :C'est un principe qui poussé à bout empêche toute action collective. Tu ne peux plus parler de la souffrance des femmes car après tout, il s'agit de supporter la société. Tu ne peux plus parler d'homophobie ou de transphobie parce qu'après tout, il s'agit d'une certaine organisation de la société. Tu ne peux plus parler de racisme, tu ne peux plus parler d'inégalités de classe sociale...