Tu as raison.No one a écrit : le viol va de pair avec la place de la femme, c'est un tout.
Pas la peine d'en rajouter.
Laissons les choses comme elles sont.
Tu as raison.No one a écrit : le viol va de pair avec la place de la femme, c'est un tout.
Pas la peine d'en rajouter.
On a tous un côté masculin et un côté féminin qui s'équilibrent.No one a écrit : Mouais. Enfin y a pas vraiment de comparaison possible, le viol va de pair avec la place de la femme, c'est un tout.
La seule comparaison objective c'est juste la même chose de l'autre côté : un viol aussi. Pas la peine d'en rajouter.
Peux-tu préciser ? Ces notions de « part féminine/masculine » me sont étrangères. De là, j'ai l'impression d'être d'accord avec toi dans le sens où l'on met en avant que : même lors du viol d'un homme, c'est « une part féminine » (donc un femme ?) qui l'est.No one a écrit :D'autre part je pense qu'il est plutôt contestable de penser que c'est la "part féminine" d'un homme qui est violée.
Penser ça me semble au contraire accentuer les idées que combat l'auteur sur son blog.
C'est même bien pire que ça, c'est la destruction de l'honneur, une souillure irréparable, un mal sous estimé de ce monde.brigadoon a écrit :Le viol est une castration.
Je pense avoir compris maintenant que tu as approfondi, du moins je crois.No one a écrit :Bon, c'est peut-être pas très clair ce que je raconte j'avoue désolé...
Dans tes propos je reconnais la pensée du yin et du yang. Mais je suis en accord avec le fait que violer un homme n'est pas une attaquebrigadoon a écrit :On a tous un côté masculin et un côté féminin qui s'équilibrent.
Les tenues vestimentaires sont souvent remises en cause or qu'importe ce que les gens portent, ils ne provoquent personne à la violencebrigadoon a écrit :Est-ce qu'ils iraient porter plainte pour qu'on les oblige à raconter ce qu'ils ont subi, que l'on prenne des photos de leurs parties intimes, qu'on les touche, qu'on les regarde, qu'on en discute, que ce soit public et qu'on leur dise qu'ils l'ont bien cherché, qu'ils ont sans doute provoqué, qu'ils avaient un pantalon trop large, ou trop court ?
Voilà, c'est exactement ça.Enethir a écrit : Après, c'est vrai que cela empêcherait de nier leur existence.
Non, non, non, non, non, non ,non, non, non.Enethir a écrit : Si ton propos tient seulement à mettre le violeur dans la peau de sa victime (en renversant les rôles ou en voulant lui faire subir la même chose)
Oui, je pense effectivement que c'est la part féminine d'un homme qui est violée.Enethir a écrit : Peux-tu préciser ? Ces notions de « part féminine/masculine » me sont étrangères. De là, j'ai l'impression d'être d'accord avec toi dans le sens où l'on met en avant que : même lors du viol d'un homme, c'est « une part féminine » (donc un femme ?) qui l'est.
Oui, je suis d'accord avec toi, mais déjà si bon nombre de personnes se rendaient déjà compte que c'est une destruction, ce serait déjà bien.Uiravaivahui a écrit : C'est même bien pire que ça, c'est la destruction de l'honneur, une souillure irréparable, un mal sous estimé de ce monde.
Oui, je suis d'accord, en ce sens que lorsqu'on détruit une part de quelqu'un, on le détruit obligatoirement dans son entier.Uiravaivahui a écrit : Mais je suis en accord avec le fait que violer un homme n'est pas une attaque
envers sa part de féminité mais envers l'homme tout entier.
Je ne cherchais pas à opposer les hommes et les femmes. Je voulais juste parler du fait que le viol n'est pas vraiment visible et que donc, il peut être ou nié, ou minimisé, mais aussi bien pour les hommes que pour les femmes.No one a écrit : Comme je l'ai dit on n'aura pas toutes les nuances, par contre au premier degré c'est exactement la même chose, le même drame personnel.
Je ne pense pas qu'il y ait besoin de faire des différences si on parle uniquement du ressenti des personnes et pas de l'aspect social.
Il semble, oui.No one a écrit : Dans les grandes lignes je crois que personne n'est réellement en désaccord.