Natural born asexual

[giby]

Ado, de la curiosité, mais... pas plus...

[Zimou]

Ado, de la curiosité, mais... pas plus...

idem, si ce n'est le plaisir de donner du plaisir en plus ^^

[Piccolo]

Je ne sais pas si ça veut réellement dire quelque chose, être "né asexuel", comme s'il y avait un gène de l'asexualité...

En fait on ne fait que raisonner par rapport à la pseudo-norme pour en arriver à de telles réflexions. Si on faisait table-rase de tout ce qui nous entoure et que l'on voyait les choses sous un angle plus neutre, on ne penserait même pas à se poser ce genre de question.

Depuis que j'ai réellement ouvert les yeux, tout m'est devenu plus clair.

[Linoa]

Je pense n'avoir jamais été très portée sur le sexe , déjà la periode collège c'était les premières expériences de certaines, les filles "précoces", et ça ne m'intéressait absolument pas, au lycée non plus, ce n'est qu"à l'âge de 18 ans, presque 19 que j'ai eu ma 1ere expérience sexuelle, d'ailleurs étant vierge mon copain pensait que notre sexualité évoluerait , mais non j'étais pas plus intéressée que ça pour explorer cet univers là, me contente de peu et malheureusement pour lui mais il faut que mon partenaire se contente de peu aussi!

Les hommes S ont beau dire qu'ils aiment offrir et procurer du plaisir à leur partenaire , ( c'est tellement une fierté pour la plupart d'entre eux de faire jouir leur partenaire) mais bien souvent ils attendent qqch en retour ..

[Iléa]

c'est tellement une fierté pour la plupart d'entre eux de faire jouir leur partenaire

En même temps cela tend à l'obligation : pour leur fierté, leur virilité, leur capacité, leur crédibilité.
S'ils échouent ce n'est plus un simple handicap mais une humiliation parfois reproché par leur "tendre" moitiée.
Un S qui ne sais faire jouir une femme ne la gardera jamais, cela devient une obligation ainsi qu'une obsession.
Tout manquement à cette nécessité remet en cause tout l'édifice qu'est leur vie, un peu comme savoir nager : tu en es capable tu vis sans soucis, tu ne l'es pas tu meurs...

Personnellement je comprends mieux de ce fait leur "fierté" envers le travail accomplit.
Et l'attente de la réciproque dans ces conditions n'en est-elle pas un juste retour des choses ?

[monosis]

c'est tellement une fierté pour la plupart d'entre eux de faire jouir leur partenaire

En même temps cela tend à l'obligation : pour leur fierté, leur virilité, leur capacité, leur crédibilité.
S'ils échouent ce n'est plus un simple handicap mais une humiliation parfois reproché par leur "tendre" moitiée.
Un S qui ne sais faire jouir une femme ne la gardera jamais, cela devient une obligation ainsi qu'une obsession.
Tout manquement à cette nécessité remet en cause tout l'édifice qu'est leur vie, un peu comme savoir nager : tu en es capable tu vis sans soucis, tu ne l'es pas tu meurs...

Personnellement je comprends mieux de ce fait leur "fierté" envers le travail accomplit.
Et l'attente de la réciproque dans ces conditions n'en est-elle pas un juste retour des choses ?

Tout ce que tu dis est sensé, certes, mais quand on aime, attendons nous forcément qq chose en retour? C' est précieux ce pouvoir de rendre qqun heureux. Je pense que le fondement même du sentiment amoureux est celui de la générosité, sans aller jusqu'à l'oubli de soi bien sûr.

[Iléa]

Peut-être mais un couple n'est-il pas une synergie commune ? N'est-ce pas une construction à deux ?
Ainsi on pourrait voir cette attente comme l'acte du partenaire et non la "récompense" de l'autre.

Tu as fais un pas, il m'appartient de faire le second.
J'imagine que comme en toute chose il est normal que les 2 S soient actifs dans leur rapport.
Il est donc logique que chacun s'occupe de l'autre.

Enfin moi ce que j'en dis de tout ça....

[monosis]

C est entendu Linoa, mais le retour comme tu dis peut se faire autrement, par la tendresse, des attentions différentes...

[RValiasRV]

Je me classe volontier en tant que NBA, même si je partage en partie les réserves de Piccolo. Je dirais pour préciser ma réponse/pensée que quelqu'aurait été mon environnement/entourage/pressions/conditionnement, je serais arrivé tôt ou tard à la conclusion que je suis asexuel ou au pire que je suis "différent". Mais je pense qu'à aucun moment dans mon enfance on aurait pu le déterminer.

[Rising Sun]

J'ai toujours été ainsi, depuis le passage à l'adolescence. Même pour ce qui est d'être attirée non sexuellement ou de tomber amoureuse, ça ne m'est jamais arrivé jusqu'à assez récemment dans ma vie. Même quand j'étais petite, c'était visible, car je n'ai jamais rêvé de prince charmant ou joué à des histoires de Barbie et Ken, et mes héroïnes savaient se défendre et se battre (quoique à dire vrai, je détestais pas mal de jeux "de fille", et surtout Barbie).

[Patofeio]

Pas de curiosité étant ado, expériences sexuelles décevantes et sans plaisir physique...