si je puis me permettre Nikola même si je comprends tout à fait ton besoin de réponses , je pense que tu fais fausse route depuis le début de ce topic en cherchant et pensant trouver une réponse générale et commune aux femmes A. C'est comme croire que toutes les femmes sont comme ci (ou que tout les hommes sont comme ça
). On peut bien le dire en rigolant pour se charrier un peu mais il ne faut surtout pas le croire. Tu ne rencontreras pas deux A identiques. Même si là sur le forum elles te disaient globalement la même chose, sur "le terrain" il y aurait des differences sur leurs limites et autres.
Quand on rencontre quelqu'un il n'y a qu'un seul moyen : apprendre à connaitre cette personne là en effaçant ce que l'on croit déjà savoir sur l'autre sexe parce que cette connaissance se base sur d'autres personnes qui forcement étaient différentes. Et si la relation est différente et bien forcément on découvre des choses sur soi également. On se surprend soi même
Et si jamais ce n'est pas uniquement dans le bon sens, si quelque chose gène est bien il faut en parler , souvent la gène est liée au fait qu'on ne sait pas ce qu'en pense l'autre.
Cependant, je vais quand même répondre à ta question , justement pour que les differentes réponses illustrent la variété de A
Ma lignes rouge est double :
- la douleur. Ne pas ressentir de plaisir est une chose, la douleur en est une autre. La limite n'est pas la pénétration mais la douleur qui existe si ce n'est pas une "chtite biloute" puisque j'ai du vaginisme (parait que ça peut se soigner mais là j'avoue, j'ai jamais eu la patience pendant des mois de faire les exercices musculaires conseillés... )
- ne pas pouvoir agir. Je comprends un peu ta frustration de ne pas avoir généré de désir (de désir ou de plaisir d'ailleurs ?) personnellement j'aime que le corps de l'autre réagissent à mes caresses, c'est frustrant si ça ne marche pas et trop chiant (voir flippant) si ça marche sans que je ne fasse rien.
Le coup du "chien sur la jambe" je connais très bien (vu de l'autre coté du lit
) , ça ne me dérange absolument pas au contraire, tant que je participe de mes caresses et baisers. Si c'est une position où je ne peux rien faire je déteste ça , là je me sens objet devant subir. C'est pas quelque chose que je peux accepter souvent.
Pour moi il n'y a pas de plaisir sexuel certes, (du moins jusqu'à ce jour, j'ignore encore si c'est définitif, il y a des trucs encore non essayés) mais celui de partager une expérience, une forme de communication et des émotions. Ce qui est énorme ! S'il n'y a pas d'échange, ça devient inintéressant puis épreuve.
Et dans échange il y a aussi recevoir même s'il m'importe davantage de donner. Car même sans plaisir il reste le bienêtre qu'il vienne du partage ou du massage
. Le problème a être une A (enfin d'une A comme moi qui aime les calins quoi) avec quelqu'un qui ne l'est pas c'est qu'il risque fort de se lasser au fil du temps, de considérer que ça ne sert à rien et ne plus rien faire à part se soulager quand vraiment il a besoin. et là Putain c'est frustrant...
Finalement dans mon mariage bah S comme A on était frustrés tout les deux et incapables d'en parler. C'est un grand tort. Mais a l'époque je me croyais unique et anormal. n'ayant pas de mot je ne pouvais parler. Et lui préférait nier tout problème. Or, tant d’incompréhensions, de frustrations, de malentendus s'aplanissent si on en parle... Si j'ai un conseil à te donner nikola pour ta prochaine relation c'est bien celui là : qu'elle soit A, hypo ou S à toi de voir mais dans tout les cas vous aurez des différences et la solution sera dans le dialogue
une relation de collégiens.. franchement je prend vraiment mal ce genre de réflexion.. nous comparer à des collégiens c'est vraiment réducteur.
oui c'est réducteur (enfin quand c'est relatif à se tenir la main dans la rue, là c'est mignon
) et puis c'est mensonger puisque nombreux sont les collégiens à avoir une vie sexuelle..