Mais la création d'un sujet alternatif, où tu as sélectionné les interventions... Désolé, ça ne passe pas, tu n'es pas modératrice. 1 - Il faut demander la permission avant de reproduire hors contexte initial les interventions des participants. 2 - Dans ton deuxième sujet, tu as sélectionné les interventions, sans précision, sans indication. C'est justement un
Désolé donc de faire encore un HS, mais si ça continue comme ça, créons tous des sujets alternatifs en sélectionnant les interventions qui nous plaisent ...cruel manque de respect envers les participants
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"Manquer" peut désigner une absence totale, ou un manque plus ou moins grand.Je remercie cette nuance apportée, un manque et non pas une absence
Pas étonnant. Précisons que la personnalité schizoïde ne peut se résumer à "un manque d'intérêt pour les relations sociales". . Etant donné les caractéristiques de cette personnalité schizoïde, il me semble que l'asexualité et l'aromantisme (ou bien des modes de relation particuliers) y sont statistiquement plus probables que par rapport à d'autres personnalités.il y a néanmoins un groupe important de personnalité schizoïde
Je n'utiliserais pas le terme "pathologique" dans ce contexte. A mon avis, il va de la personnalité schizoïde comme de l'asexualité : la personne qui le vit sans problème d'ordre interne, et sans poser aucun problème à l'entourage et à la société, me semble tout à fait saine. Je distingue le type de personnalité du trouble correspondant.Pour le taux de schizoïdes, avant d'aller chercher une corrélation pathologique comme ça
Oui. Apparemment les études et les sondages réalisés témoignent de la diversité des asexuels, ce qui convient à mes hypothèses exprimées dans le sujet."Ainsi, corroborant nos résultats de l'étude 1, il ne semble pas que les asexuels en général soient alexithymiques ou incapables d'expérimenter des émotions".
Le point le plus important. A discuter !En 2007, Prause et Graham concluait que le manque d'attirance sexuelle est lié à une faible excitabilité. Ils parlent d'un seuil à l'excitabilité qui serait plus élevé à dépasser chez les personnes A.