Article Ouest-France

Comment le monde nous voit-il, comment nous voyons le monde : apparitions dans la presse, interviews, événements, etc.
Avatar de l’utilisateur
Kinou_9
Agent
Messages : 750
Inscription : 18 mai 2020, 08:56
Localisation : Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin.
Pronom : il
A aimé : 161 fois
A été aimé : 427 fois

Article Ouest-France

Message par Kinou_9 »

J'ai été curieux et j'ai cherché l'article.
La phrase de Lilly a vraiment beaucoup de succès. Tu devrais demander des royalties. ;-)

Image

Bon c'est dommage que c'est seulement réservé aux abonné·es. L'autre article aussi n'est pas en accès libre.
Dernière modification par Zimou le 10 mars 2021, 23:32, modifié 1 fois.
Raison : changement titre
Bangarang !
Guadiana
Aguerri(e)
Messages : 543
Inscription : 28 sept. 2016, 01:55
Localisation : Normandie
Pronom : Elle
A aimé : 174 fois
A été aimé : 130 fois

Re: Comment avez-vous découvert l’AVEN ?

Message par Guadiana »

Kinou_9 a écrit : 10 mars 2021, 18:11 J'ai été curieux et j'ai cherché l'article.
La phrase de Lilly a vraiment beaucoup de succès. Tu devrais demander des royalties. ;-)

Image

Bon c'est dommage que c'est seulement réservé aux abonné·es. L'autre article aussi n'est pas en accès libre.
Faut voir les commentaires sur le facebook de ouest france :roll:
Avatar de l’utilisateur
Jullianna
Allégorie de l'ataraxie
Messages : 4811
Inscription : 27 mai 2005, 21:02
Localisation : Pays de la Loire
A aimé : 380 fois
A été aimé : 401 fois

Re: Comment avez-vous découvert l’AVEN ?

Message par Jullianna »

Merci à Xav44 et Kinou9. :)
Je suppose que c'était un article seulement en ligne, et pas dans le journal papier :?

En tout cas, ça fait plaisir de voir, même si on a été cherché une sexologue jusqu'au Québec, que bon gré mal gré, cela a bien évolué depuis les premiers articles consacrés à ce sujet.
"Sans la musique, la vie serait une erreur." Nietzsche
Avatar de l’utilisateur
NotABadGuy
Assidu(e)
Messages : 852
Inscription : 10 févr. 2021, 13:50
Pronom : NABG
A aimé : 376 fois
A été aimé : 416 fois

Re: Comment avez-vous découvert l’AVEN ?

Message par NotABadGuy »

je ne sais pas si c'est legit, mais je viens de m'abonner pour... Je peux rajouter les autres articles si vous voulez

copier/coller :

« Jamais le premier soir, les suivants non plus d’ailleurs », inscrit sous sa signature une participante au forum de discussion Aven, qui regroupe 7 000 personnes asexuelles.

Derrière ce trait d’humour, elle fait partie des femmes et des hommes, de plus en plus nombreux, qui s’autorisent à être qui ils sont, en dehors des cases traditionnelles de genre et d’orientations sexuelles. Une personne asexuelle n’est peu ou pas attirée sexuellement par une autre. Contrairement à une personne abstinente, qui peut éprouver du désir, mais choisit de ne pas avoir de relations sexuelles.

« J’ai eu mes premières relations sexuelles vers 18 ans par envie d’expérimenter, explique Julien, trentenaire, qui a longtemps refoulé son asexualité. Un jour, ma copine de l’époque m’a fait remarquer que je n’allais jamais vers elle, sexuellement. C’est vrai que je n’en ressentais aucun besoin. J’ai pensé que j’étais anormal. Alors je me suis poussé. Ça ne me posait pas de problème, c’était agréable, j’avais plaisir à la satisfaire. Mais moi, je n’en avais jamais envie. »

En réalité, la sexualité n’est pas du tout la seule expression de l’amour, explique Laurence Desjardins, sexologue au Québec : « Ce n’est pas parce qu’on fait l’amour quatre fois par semaine qu’on s’aime davantage. »

Lire aussi : ENTRETIEN. Asexualité : « Le sexe n’est pas du tout la seule expression de l’amour »

L’impression d’être un objet
Marie, 31 ans, a fréquenté son premier copain vers 17 ans : « Je n’avais pas de désir sexuel pour lui. Pourtant je l’aimais. Ça me rendait mal à l’aise. » Marie sent autour d’elle une pression sociale « terrible » : « Dans tous les journaux, livres, films, tout le monde a envie de sexe, est attiré par les corps. Quand on n’a pas de sexualité, c’est risible, c’est la blague. »

Elle se demande alors si elle n’a pas été victime d’une violence sexuelle qu’elle aurait occultée. Mais non. « J’ai ensuite développé une mauvaise vision du sexe. Je supportais difficilement d’être désirée sexuellement. J’avais l’impression de devenir un objet, un consommable, un bout de viande. Comme si l’acte sexuel relevait plus de la pulsion que de l’amour véritable. »

Marie ne se comprend pas elle-même, elle peine donc à en parler à son copain. « On est victimes de l’imaginaire véhiculé par les films et les livres, qui ne cessent de nous parler de sexe passionnel, souligne Laurence Desjardins. Cela nous laisse croire que si l’on ne ressent pas ce feu intérieur, on ne serait pas vraiment amoureux. »

Marie convient avec son conjoint d’avoir parfois des relations sans pénétration. « Le reste du temps, je me motivais par amour pour lui. » C’est en tapant sur internet « problèmes de libido », qu’elle découvre le mot et le concept d’asexualité.

Après une expérience sexuelle peu concluante à l’adolescence, Franck (prénom modifié), désormais 53 ans, est perplexe : « Je me suis aperçu que je tombais régulièrement amoureux, mais qu’il manquait le désir sexuel. Trouvant cela étrange, j’ai arrêté de draguer. »

Vers 30 ans, il vit en couple avec une femme qu’il aime : « Les relations sexuelles m’ont vite lassé. Apparemment, j’étais un bon amant. Mais pour moi, c’était pas génial. Jusqu’aux préliminaires, ça allait. Mais pendant l’acte, j’avais l’impression de ne plus être amoureux d’elle, comme si ce n’était plus que mécanique. » Ils se séparent.

Lire aussi : Qui est Maïa Mazaurette, la journaliste qui démocratise la sexualité dans les médias ?

Câlins, baisers et mots échangés
Vers 25 ans, Julien cherche à se comprendre. « Pourquoi tous mes potes semblaient passionnés par la sexualité et moi non ? Ils me percevaient même comme accro au sexe. Alors que cela venait de ma copine. » Une émission sur l’asexualité le « délivre » : « J’ai alors compris que j’avais fait semblant d’être un autre. » Le couple se sépare puis Julien rencontre une femme asexuelle dont il partage le quotidien, sans sexualité, pendant cinq ans. : « On était très tactiles, on s’embrassait, on se faisait des câlins. »

Une relation de couple peut tout à fait être forte même sans sexe, explique Laurence Desjardins : « Une personne asexuelle ne rejette pas l’intimité ou d’autres types de rapprochements physiques. Ces contacts charnels n’ont pas moins de valeur. »

À 22 ans, Marie elle aussi se sépare et tombe amoureuse d’un homme asexuel rencontré via un forum. « Sans la tension sexuelle, la relation était plus simple pour moi, plus saine. Je me sentais considérée comme un être humain et je n’étais plus obligée de passer à la casserole. Se forcer peut être tellement destructeur. » Avec son conjoint, elle partage beaucoup de discussions, de tendresse et de caresses.

Franck a 40 ans quand il tombe de nouveau amoureux d’une femme qu’il trouve belle. Un long cheminement d’échanges, de regards, de mots, de moments partagés lui donne le courage de se déclarer : « La difficulté était : quand parler de mon asexualité ? Dit trop tôt, ça bloque tout. C’est pas vendeur. J’ai fini par lui dire que, même si ça ne me dégoûte pas, je ne voulais plus d’acte sexuel. Par amour, je lui ai proposé qu’elle aille voir ailleurs pour ça. Pour moi, ce n’est pas un problème. C’est comme si elle fréquentait un club de sport. C’est son besoin. Je n’avais aucune envie de la frustrer. Mais elle a pris cela comme un manque de fidélité et donc d’amour de ma part. »

Lire aussi : La sexualité, autre charge mentale des femmes

Tout à réinventer
Julien est en couple avec une nouvelle compagne, asexuelle, depuis trois ans. « Elle a développé un peu d’attirance sexuelle pour moi. Mais nos relations sont suffisamment peu fréquentes pour que ça ne me pose aucun problème. Le désir, c’est fluide et changeant. C’est pour ça qu’il faut dédramatiser. Et elle sait que mon absence de désir n’a aucun lien avec l’amour que j’ai pour elle. » Le couple songe à avoir un enfant.

Laurence Desjardins constate qu’il y a autant de possibilités que de couples de créer une intimité sans sexualité : les autres contacts physiques, vivre dans la même maison, voyager ensemble, se marier, partager une passion.

Franck, actuellement célibataire, se sent encore obligé de se revendiquer plus d’ex qu’en réalité, « pour ne pas avoir l’air d’un extraterrestre ». Mais il se sait désormais ni impuissant, ni homosexuel refoulé, ni autiste. « Il faut qu’on réinvente le couple sur d’autres bases que le sexe : la tendresse physique, la complicité, le dialogue, la confiance, l’écoute des besoins de l’autre. Et réinventer la définition de la fidélité : partager avec la personne aimée quelque chose qu’on ne partage avec personne d’autre. »

Sa première relation asexuelle a appris à Marie à oser prendre du temps avant de devenir intime physiquement, à découvrir son corps. Désormais polyamoureuse, elle vit deux relations en parallèle, l’une avec un asexuel, l’autre avec un « sexuel » : « Je sais maintenant poser des limites, faire des choses qui me font plaisir à moi, communiquer pour que chacun se sente écouté et respecté. Les fois où on partage du sexe, c’est génial. »

L’équation « amour = amitié + sexe » ne lui parle plus du tout. « Pourquoi les relations devraient rentrer dans des cases ? On peut peut-être s’affranchir des traditions pour reconnaître que les relations amoureuses ne sont pas figées, mais multiples et vivantes. »

---------------------------------------------------------------2e article-----------------------------------------------------------------
L’asexualité propose une vision plus large de la sexualité. Laurence Desjardins est sexologue au Québec et coordinatrice du programme d’éducation à la sexualité On SEXplique ça.

Pour elle, l’intimité, même physique, ne se réduit pas à la sexualité. Elle pense que trop de couples s’imposent encore un rythme de relations ou des types de pratiques sexuelles, sous prétexte que sortir de la norme ferait d’eux un mauvais couple.

Pourquoi associe-t-on habituellement sentiment amoureux et sexualité ?

À la base, le but de l’acte sexuel était la survie de l’espèce. L’acte sexuel était alors une histoire de choix, de sélection du meilleur reproducteur. Plus tard, et c’est une construction culturelle, on a commencé à associer le plaisir du contact physique au sentiment amoureux.

La relation sexuelle a ceci de spécial qu’elle a une valeur monétaire. Elle vaut quelque chose. Si on choisit de la donner gratuitement à quelqu’un, on pense donc que c’est pour une raison particulière : par amour, par passion.

En réalité, le sexe n’est pas du tout la seule expression de l’amour et vice-versa. Ce n’est pas parce qu’on fait l’amour quatre fois par semaine qu’on s’aime davantage.

Lire aussi : TÉMOIGNAGES. L’asexualité, ou comment être amoureux même sans désir sexuel

On entend pourtant souvent que le sexe est le ciment du couple…

On est victimes de l’imaginaire véhiculé par les films et les livres, qui ne cessent de nous parler de sexe passionnel. C’est une vision biaisée de l’amour, une sorte de propagande.

Si on ne ressent pas ces grands élans, ce feu intérieur, on ne serait pas vraiment amoureux ? Je vois régulièrement des couples qui s’aiment d’amour, qui veulent faire leur vie ensemble, mais qui n’ont plus de relations sexuelles. Pour toutes sortes de raisons : cela ne les intéresse plus, leur éducation ou leur santé les en empêche, ils ne ressentent plus de libido, ils préfèrent partager d’autres éléments de leur vie intime avec leur partenaire.

Lire aussi : La sexualité, autre charge mentale des femmes

Une relation amoureuse peut-elle être forte même sans sexe ?

Oui, c’est tout à fait possible. D’abord, une personne asexuelle éprouve certes peu ou pas d’attirance sexuelle pour l’autre, mais cela ne veut pas dire qu’elle n’a pas de sexualité. Certains se masturbent.

Cela ne veut pas dire non plus que la personne rejette l’intimité ou les rapprochements physiques. Certains ne veulent pas de pénétration ni d’échanges de fluides, mais aiment beaucoup les caresses et les baisers. Ces contacts charnels n’ont pas moins de valeur.

Comment créer une intimité sans sexualité ?

Il y a autant de possibilités que de couples : les autres contacts physiques, la nudité, les jeux de rôles, dormir dans le même lit, vivre dans la même maison, voyager ensemble, se marier, cuisiner pour son ou sa conjointe. Toutes les marques d’attention pour l’autre, toutes les manières d’impliquer l’autre dans son existence.

Lire aussi : Qui est Maïa Mazaurette, la journaliste qui démocratise la sexualité dans les médias ?

Qu’est-ce qui, dans l’asexualité, peut inspirer tout le monde ?

L’asexualité propose une vision plus large de la sexualité. La pénétration, l’éjaculation et l’orgasme restent extrêmement centraux pour beaucoup de couples. Comme si tout autre contact physique qui ne finit pas par une pénétration ne vaudrait rien.

C’est problématique, car chaque corps change et vieillit. Et dès qu’une perturbation ou un dysfonctionnement survient, comme une grossesse ou des troubles érectiles par exemple, les couples ne savent plus quoi faire.

Par ailleurs, trop de couples s’imposent encore un rythme de relations, des performances ou des pratiques sexuelles sous prétexte que sortir de la norme ferait d’eux un mauvais couple. Il faut s’éloigner de ça pour exprimer l’intimité de différentes façons.
We are all NABG
Avatar de l’utilisateur
Zimou
Administrateur
Messages : 5420
Inscription : 14 oct. 2010, 14:44
Pronom : Il
A aimé : 580 fois
A été aimé : 851 fois
Contact :

Re: Article Ouest-France

Message par Zimou »

j'allai poster l'info car j'ai été informé de la parution de l'article par mail tout à l'heure, étant l'un des témoins (Julien). je vois que l'info est déjà passé, j'ai donc fait un topic dédié et mit les messages qui le concerne dedans. j'allai proposer de partager l'article par MP si certain voulait le lire, j'ai demandé à la journaliste si je peux le partager sur le forum mais je vois que ça a déjà été fait...
bref, le témoignage est pas mal retranscrit me concernant, de petit detail sans importance qui ont du etre mal noté mais globalement c'est bien. l'article fait avec la sexologue est bien aussi :)
La définition de l'asexualité est "une personne qui ne ressent d'attirance sexuelle pour personne". Cependant, vous seul pouvez décider quel terme vous convient le mieux.
Image
fiffi
Aveuglant(e)
Messages : 2918
Inscription : 04 oct. 2016, 00:07
Localisation : 77
Pronom : Il . Fiffi et tu
A aimé : 916 fois
A été aimé : 517 fois

Re: Article Ouest-France

Message par fiffi »

j' ai témoigné aussi ( Franck ) ; elle a bien retranscrit même si elle a fait de petits raccourcis , cela allège sans doute l' article , mais l' essentiel est bien là . je rejoins Zimou : l' article avec la sexologue est bien aussi .
Avatar de l’utilisateur
clotaire
Jeune Ancien(ne)
Messages : 6050
Inscription : 24 avr. 2016, 15:46
Localisation : Auvergne - Rhône-Alpes
Pronom : peut être tutoyé ;)
A aimé : 1831 fois
A été aimé : 1799 fois

Re: Article Ouest-France

Message par clotaire »

Merci pour vos témoignages les copains (et bon anniversaire fiffi ;-) ) !
Je trouve aussi que la sexologue parle très bien. Se libérer de la pseudo-norme est tellement important...
Avatar de l’utilisateur
Baelfire
BadAce
Messages : 5271
Inscription : 01 oct. 2013, 21:01
Localisation : Juste ici...ou ailleurs
A aimé : 1190 fois
A été aimé : 2030 fois

Re: Article Ouest-France

Message par Baelfire »

Ah je me demandais qui était Frank ! Merci Fifi pour ton témoignage. Et bon anniversaire dans la foulée.

PtiteMarie nous a filé les articles en coulisses hier soir et je les ai trouvé formidables.
Image
Avatar de l’utilisateur
Kinou_9
Agent
Messages : 750
Inscription : 18 mai 2020, 08:56
Localisation : Deuxième étoile à droite et tout droit jusqu'au matin.
Pronom : il
A aimé : 161 fois
A été aimé : 427 fois

Re: Article Ouest-France

Message par Kinou_9 »

Merci à vous pour le partage et vos témoignages. :-)
Ces articles sont bien complémentaires avec l'un qui laisse place aux témoignages des personnes A. Et l'autre qui offre une observation bienveillante d'une sexologue.
Bangarang !
Guadiana
Aguerri(e)
Messages : 543
Inscription : 28 sept. 2016, 01:55
Localisation : Normandie
Pronom : Elle
A aimé : 174 fois
A été aimé : 130 fois

Re: Article Ouest-France

Message par Guadiana »

Faut voir les commentaires sur la page facebook de ouest france...

Sinon vos témoignages ont dû aider d'autres à comprendre qu'ils sont ace. A notre niveau, ça permet de mieux vous connaître.
Avatar de l’utilisateur
Walther
LE roi
Messages : 2095
Inscription : 09 août 2020, 18:10
Localisation : Lorraine
Pronom : il/tu
A aimé : 945 fois
A été aimé : 680 fois

Re: Article Ouest-France

Message par Walther »

Un bel article qui va dans le bon sens. 8-)
Vive la Reine!
Avatar de l’utilisateur
Grignoteuse de bouquins
AVENant(e)
Messages : 3699
Inscription : 02 oct. 2017, 19:17
Localisation : Nice
Pronom : Ael
A aimé : 1627 fois
A été aimé : 1832 fois
Contact :

Re: Article Ouest-France

Message par Grignoteuse de bouquins »

Bon anniversaire fiffi, merci pour le copié collé NABG :wink:
♠ Why frick frack when you can snick snack ? ♠ :cake:
Avatar de l’utilisateur
Charlie14
Affilié(e)
Messages : 255
Inscription : 02 août 2020, 10:20
Localisation : Calvados
A aimé : 47 fois
A été aimé : 43 fois

Re: Article Ouest-France

Message par Charlie14 »

Merci pour votre contribution à cet article :)
Joyeux anniversaire Fiffi
Avatar de l’utilisateur
Narcissa
LA reine
Messages : 4460
Inscription : 25 nov. 2019, 16:14
Localisation : Toulouse
Pronom : elle, sa majesté
A aimé : 1220 fois
A été aimé : 1409 fois

Re: Article Ouest-France

Message par Narcissa »

J'aime beaucoup! Merci pour vos témoignages :D
Vive le roi Walther! :best:

Le roi a tous les pouvoirs... quand la reine n'est pas là :mrgreen:
Avatar de l’utilisateur
Zimou
Administrateur
Messages : 5420
Inscription : 14 oct. 2010, 14:44
Pronom : Il
A aimé : 580 fois
A été aimé : 851 fois
Contact :

Re: Article Ouest-France

Message par Zimou »

L'article a été transformé en podcast audio : https://podcasts.ouest-france.fr/broadc ... sir-sexuel
La définition de l'asexualité est "une personne qui ne ressent d'attirance sexuelle pour personne". Cependant, vous seul pouvez décider quel terme vous convient le mieux.
Image
Répondre