Meiling a écrit :beaucoup méprisent l'asexualité qu'ils condièrent comme une maladie, ou comme un handicap…
Je le prends moi-meme comme un handicap, bien que je ne me sente pas victime de ca. Et je ne suis pas sur s'il agit d'une condition normale ou exceptionnelle de l'organisme, autrement dit, c'est peut-etre en effet une maladie. MAIS, MAIS, MAIS, cela ne veut pas dire que cette condition ne merite pas le RESPECT. J'ai pas commis de crimes abominables contre l'humanité pour avec ca
Meiling a écrit :
Ainsi, pour une femme asexuelle, on la considère comme une éternelle vieille fille, pour un homme asexuel, il est impuissant, laid…
Oui, je vois, encore une occasion de plus d'etre meprisant. C'est ca qui est le plus dur a encaisser de la part de ceux qui ne nous comprennent pas.
Impuissant? Pas tres puissant en tout cas
Laid? O mon dieu, probablement pas
Meiling a écrit :
J'ai eu de maigres aventures… Mais, je n'ai jamais manifesté l'envie, j'obéissais à la demande…
Ha la je me reconnais aussi
C'est quand j'ai remarqué je ne le faisais pas pour moi que j'ai tout simplement arreter de le faire.
Meiling a écrit :
Au début, je pensais être lesbienne, mais les femmes m'ennuient encore plus et leur corps ne m'intéresse pas du tout…
OUI, OUI, OUI. Moi aussi j'ai pensé que j'étais homo, mais les hommes ne m'interessent pas. En fait, avant de savoir que j'étais asexuel, je me qualifiais moi-meme de lesbienne (et je suis un homme), pour dire que j'aime les femmes, mais pas comme un homme normal. C'était la meilleure facon que j'avais trouvé de me décrire a moi-meme pour essayer de me comprendre.
Meiling a écrit :
Par contre, j'aimerais avoir plus d'infos sur l'hyposexualité… Car, je ne connaissais pas cette notion…
Hé, je suis loin d'etre un spécialiste, mais personnellement, je ne suis pas un asexuel pur a 100%
Des fois, j'ai des embryons fugaces de desir
Je suppose que cela me qualifie comme hyposexuel, mais tres tres hypo
J'ignore toutefois si la majorité des asexuels sont dans la meme situation que la mienne.
Fred
C'est pas tant ce que l'on fait qui compte que ce pourquoi on le fait.