Je vais essayer de ne pas faire long, je vais essayer, au moins, de ne pas m'égarer. Je pense que j'aurai tout le temps, par la suite, de développer sur des sujets qui me tiennent à coeur.
Je suis différent, atypique, neuro-atypique. Comme beaucoup de gens. Et beaucoup de gens ici. Ce n'est pas facile.
Je pense que le manque de ressenti "normal" vis à vis des autres conduit beaucoup de gens à chercher, à vouloir trouver une communauté qui leur resssemble. Surdoués, autistes asperger, dys... (dys, il y en a des dys.aines de sortes : dysprasiques, dysphoriques, dys-troy, dys-order, dys-ease
), TDA(H), trans. en tous genres, etc.Donc voilà, sans m'étendre, disons que je commence à bien connaître mes différences qui font que je suis assez éloigné des autres gens et je n'ai pas plus d'attirance sexuelle que sociale pour eux...
Je me fiche complètement d'être un homme ou une femme, même si j'ai un sexe physiologique et biologique que je ne conteste pas, je dirais qu'il ne s'implante pas dans mon cerveau. Je suis moi, une personne, avec des goûts et des intérêts qu'il ne me gêne pas d'avoir et que j'assume, qu'ils soit dits "féminins" ou "masculins".
Je suis heureux de voir les mentalités changer doucement, même si cel se traduit parfois par des abus ou des postures "ultra", comme dans beaucoup de domaines d'ailleurs (de l'éducation au féminisme, en passant par l'écologie ou la finance).
Que les humains sortent de leurs personnages dictés par leur prétendu rôle social ou culturel et soient eux-mêmes, ce qu'ils ont envie d'être, ce qu'ils sont. (on aurait moins d'ultra-féministes et de "petis-machos-à-la-con"). Mais cela prendra des générations et obligera à reconnaître qu'il y a des écarts entre genre, sexe, reproduction, amour, capacités physiques ou sociales et que ces différences ne sont pas toujours liées les unes aux autres.
qu'avec les humain s qui m'entourent !