Baelfire a écrit : ↑05 nov. 2019, 14:41
Je pense pas que le relationnel puisse être généralisé en aucune façon. Il n'y a pas de "prise de conscience" à avoir ni à "grandir" puisque chaque couple a sa propre définition de la tromperie.
"
Prise de conscience... qu'il existe d'autres son de cloche"
@Baelfire : je n'apprécie pas trop le procédé de sortir un mot de son contexte ! (Surtout si c'est pour suggérer le contraire de ce qui était exprimé).
D'autant que j'avais bien précisé exprimé une opinion et non quelque chose d'universel.
Arrêtons là ce ton trop sérieux, je ne suis pas fâché, sans rancune
La "prise de conscience" c'était ça justement, qu'il n'y a pas qu'un seul modèle dogmatique. Élargir sa conscience (ou champ de vision) au delà de ce qu'on veut bien vous apprendre/dicter. Mûrir sa réflexion et ne pas envisager que le truc suggéré par défaut (par vos parants, la reine ou le président de la mère patrie) applicable à tous (en marche... et au pas). Mais plutôt faire évoluer sa mentalité en direction de quelque chose de plus personnel et adapté.
Maintenant mon point de vu (qui m'est propre) expliqué différemment parce que je vois bien que parfois je manque de clarté :
Tromperie ?
La
fourberie c'est de s'arroger des droits sur le corps d'autrui. D'être décisionnaire sur la disposition d'un corps à la place de son propriétaire. Ce qui mène irrémédiablement à des abus !
Par ailleurs, la plupart des couples ne définissent même pas leur propre vision des choses. Ils adoptent une sorte de loi tacite sociale appelée "fidélité". Qui peut être interprétée différemment d'un partenaire du couple à l'autre, vu que dans la majeure des cas ils n'en parlent même pas entre eux. Ils feraient mieux de communiquer plus ouvertement, que de s'attendre à ce que l'autre adopte le comportement, qu'ils ont individuellement envisagé sans même se concerter.
La fidélité ce doit être un choix*, non quelque chose d'imposé par le partenaire. Vous êtes libre de quitter une personne qui dispose de son corps avec d'autres, mais en aucun cas cela justifie le mépris, la haine ou tout autre jugement de valeur dégradant (voir lapidaire) que la société a coutume de faire peser.
*(attention toutefois à respecter l'obligation d'assurer la sécurité de votre santé et celles de vos partenaires)
[/HS]
Note : merci de ne pas citer le texte hors sujet ci dessus.
Pour en revenir au sujet :
Concernant plus particulièrement la problématique des A, ils devraient envisager de réfléchir à différentes alternatives, plutôt que d'exiger implicitement l'intenable* pour un S que de s'abstenir à vie.
*(à moins que cela soit l'objet de sa propre démarche, auquel cas il est libre de s'y tenir ou de changer d'avis)