Brigadoon, on s'est visiblement mal compris car ce dont tu parle n'est pas ce que j'ai dit.
brigadoon a écrit :Excuse-moi Zimou, mais j'ignorais que tu avais eu un diplôme de docteur en psychiatrie dans les années 50.
Ton diplôme ne peut pas être plus récent car il y a déjà plusieurs années que le fait de ne pas avoir de relations sexuelles n'est plus considéré comme étant une maladie.
Je suis pas psy xD ne pas en avoir, ne pas en désirer, oui c'est parfaitement normal. en être incapable n'est pas la meme chose. je parle bien d'en être incapable, pas de ne pas en désirer ou ne pas en avoir.
brigadoon a écrit :Les législateurs sont même d'accord avec ça puisque le devoir conjugal a été retiré des obligations dans le mariage.
ça a été retiré des obligations du mariage car un rapport non consenti entre mari et femme, c'est un viol conjugal. relis moi et tu verra que j'ai précisé que je ne parlais pas de devoir se forcer à avoir des relations sexuel.
brigadoon a écrit :tu t'opposes au moins à un de mes psys auquel je disais que je suis asexuelle et qui m'a répondu Votre sexualité c'est de ne pas avoir de désir et de relations sexuelles. C'est une sexualité au même titre que n'importe quelle autre sexualité et si vous n'en souffrez pas, il n'y a aucune raison de changer cela.
Je n'en souffre pas.
Donc, je ne m'oblige pas.
je ne m’oppose absolument pas au psy, et je suis totalement d'accord avec ce qu'elle dit : ne pas avoir de désir ou de relation sexuel est une forme de sexualité parfaitement normal. pour info, je suis en couple depuis 2 ans sans avoir pratiquer de "coït". donc je suis bien placé pour savoir ça. encore une fois, je parle pas d'absence de relation sexuel, mais de refus de relation sexuel.
brigadoon a écrit :Quant à priver quelqu'un de sexualité, je ne vois pas en quoi. Il y a au moins un milliard de filles et de femmes sur la planète et autant de garçons et d'hommes. Alors, la question à se poser c'est pour quelle raison quelqu'un s'acharne à demander une relation sexuelle a quelqu'un qui a dit clairement qu'il ne pratique pas l'acte sexuel ?
quand on est seul ou en couple avec un A, il est inutile de s'obliger à... on ne fait souffrir personne. ce dont je parle n'est valable que dans un couple A/S (sujet du message). Je ne parle pas des personnes qui "s'acharne à demander du sexe", mais d'une personne qu'on aime et qui nous aime, qu'on ne veux pas faire souffrir et qui ne veut pas nous faire souffrir, qu'on respecte et qui nous respecte. et ces personnes ont des besoins parfaitement normaux inchangeable. alors que la peur, une mauvaise vision de la sexualité, etc... ça peut se changer. donc c'est à l'asexuel de faire un effort pour ne pas faire souffrir la personne qu'il aime. l'attirance se change pas, le dégout de la sexualité oui (car il y a une cause et qu'on peut aussi avoir des cause qui donne gout à la sexualité)
brigadoon a écrit :Et qu'on ne me parle pas de tendresse et de je ne sais quoi qui serait lié à l'acte sexuel.
Je vois pas pourquoi, c'est pas parce que t'as eu des expériences sexuel sans tendresse que ça n'existe pas (j'en ai vécu) et que tu ne peux pas le demander si c'est ce que tu veux... Je suis d'accord sur le fait que lors de l'acte sexuel pour certain S, ils oublient la tendresse, mais on peut très bien informer ce S sur nos besoin...
brigadoon a écrit :On peut aimer sans sexualité et avoir de la sexualité sans aimer.
Certains lient les deux, mais ce n'est pas une obligation.
j'ai pas dit le contraire, c'est l'un de mes arguments quand j'en parle aux S qui comprennent pas d'ailleurs.
brigadoon a écrit :Je vais redire une fois encore, parce qu'il semble que ce ne soit pas entendu, que je n'ai aucun blocage relatif au sexe, que je n'éprouve ni peur, ni dégoût, pour l'acte sexuel, mais l'acte sexuel m'ennuie profondément.
Et quand je m'ennuie et que je ne peux rien faire d'autre, j'observe.
Et observer l'acte sexuel, ça a donné ce que j'en ai dit.
Je le redis aussi, mais un blocage est un obstacle qui nous empêche de faire. ton obstacle est ton ennuie, et ce que tu regarde pour occuper ton ennuie, ainsi que la façon dont tu l’interprète. hors l'acte sexuel n'est pas ennuyeux, pas plus que d'embrasser quelqu'un ou que de lui faire un câlin. c'est sur que pour celui qui refuse d’être embrasser ou câline, ça devient ennuyeux... mais refuser un câlin ou un bisous est un blocage car ça a une cause, tout comme de refuser la sexualité.
brigadoon a écrit :Mais, jusqu'à preuve du contraire, une observation brute de décoffrage, n'est pas une maladie.
comme l'explique très bien ethan, le terme "maladie" que j'utilise est un peu inapproprié. Je devrais plutôt parler "d'élément extérieur" (j'utilise maladie car c'est un élément extérieur fort et facilement compréhensible). cet élément extérieur, c'est ton ennuie, et ton jugement causé par cette ennuie. mais l'ennuie est un choix, tu n'es pas obliger de rester passive pendant l'acte et attendre que ça passe. t'a aussi la possibilité de voir la personne que t'aime essayer de te donner du plaisir et en prendre, lui dire que tu l'aime, par la parole, avec les yeux, ou par certain geste, etc... moi c'est ce que je vois quand je fait l'amour. toi tu te vois comme un "sac à f...." ne regardant que ce que tu es et pas ce que vous formez, alors que ce n'est pas comme ça que te considère ton partenaire (ou alors change vite de partenaire!). ce n'est donc pas une observation que tu as faite, mais une interprétation de ce que tu as vu. libre à toi de changer ton interprétation des choses qui t'es personnel et que tu as choisie! encore faut-il le vouloir... et c'est précisément de ce "vouloir" dont je parle quand je parle de faire des compromis. c'est pas de vouloir se forcer, c'est d'accepter de voir les chose différemment, idéalement de la même façon que son partenaire.
brigadoon a écrit :Et je ne vois pas pour quelle raison je devrais m'obliger à faire quelque chose qui m'ennuie juste pour me conformer au modèle préconisé par Aven, ou par les médias, ou par la société.
qui a parler de devoir se conformer à quoi que ce soit ici? on a parler de "modèle" idéal pour les média, il n'existe pas de modèle sur aven, tout le monde est bienvenue tant qu'ils se définissent pas asexuel parce qu'ils ont un traumatisme, une maladie, ou une aversion pour la sexualité. l'asexualité n'est rien de tout ça. chacun à le droit d’être malade, traumatisé, d'avoir une aversion pour la sexualité, tout comme chez les S, mais utiliser l'asexualité comme cause de ce traumatisme, cet maladie ou cet aversion, non! on a vu qu'un asexuel peut être plus sensible à certaine chose, comme la peur de la première fois dont on ne se débarrasse pas avec l'aide de l'attirance comme les S, mais cette peur est une peur de la douleur (par exemple), non provoqué et non lié avec l'asexualité. Donc un A qui a plus de difficulté pour sa première fois sera bloqué par la peur (ça reste un blocage), mais si il dit qu'il a peur parce qu'il est asexuel, alors non! il a pas de lien entre l'asexualité et la peur.
brigadoon a écrit :Jusqu'à présent, j'ai juste exposé une pensée, c'est à dire que le fait de ne pas avoir de désir pouvait entraîner le fait de ne pas envoir envie de relations sexuelles, et que le fait de ne pas avoir envie de relations sexuelles pouvait entrainer le fait qu'on pouvait refuser de s'obliger à en avoir.
je suis d'accord sur ce point, mais il y a refuser (de temps en temps) et refuser (systématiquement). refuser de temps en temps c'est normal, même chez les S d'ailleurs car dans un coupe S, les 2 n'ont pas toujours envie en même temps. mais refuser systématiquement, c'est un blocage (lié à un élément extérieur, que ce soit une maladie ou autre).
brigadoon a écrit :poser que j'ai peur, que j'éprouve du dégoût, et que j'ai un blocage, et plus encore, continuer à l'affirmer alors que j'ai dit plusieurs fois le contraire, juste pour pouvoir me traiter de malade et ne pas sortir de la ligne de conduite préconisée par Aven, je trouve cette attitude lamentable.
faut pas commencer à voir qu'il existe une ligne de conduite ici, t'es pas la premiere à le dire, c'est peut etre une impression qu'on peut avoir, mais une fausse impression. la seul ligne de conduite pour être asexuel, c'est de ne pas avoir d'attirance sexuel pour les autre, sans raison. c'est exactement pour cette raison qu'on souhaite être retiré du DSM, c'est parce qu'il n'y a pas de cause, que c'est naturel et que par conséquent, ça ne peut changer.
brigadoon a écrit :Mais, une fois encore, ça ne change rien au fait que je n'ai pas de blocage, que je n'éprouve pas de dégoût et pas de peur pour le sexe.
quand on se considère comme un vidoir à c..., j’appelle ça du dégout.
brigadoon a écrit :Vous pensez ce que vous voulez, vous pouvez aussi traiter les asexuels qui ne se conforment pas aux directives de pensée édictées par Aven de malades et de - là, j'hésite, est-ce que je suis considérée comme une menteuse ou comme une imbécile parce que je suis en désaccord avec le fait que j'aurais un blocage, que j'aurais peur, et que j'éprouverais du dégoût ? Bon, vous choisirez vous-même - l'asexualité ne se limite pas au forum d'Aven.
l'asexualité est, encore une fois, l'absence d'attirance sexuel pour les autre, pas une aversion, une peur ou une maladie sexuel. ce n'est pas la définition d'aven, c'est la définition de l'asexualité! c'est la même partout! si tu te reconnait pas dans cette définition, tu es exactement comme si tu étais quelqu'un qui déteste les personne de sexe opposé et qui se définit donc comme homosexuel. hors ce n'est pas la définition d'un homosexuel et ce n'est pas ce qui fait d'un homo, un homo. l'homosexualité est l'attirance pour les personne de même sexe, ce n'est pas ceux qui sont dégouté par l'hétérosexualité. un homosexuel ne dira pas "je suis homo car je déteste les personne de sexe opposé qui m'utilise et me dégoute", mais "je suis homo car je suis attiré par les personnes qui ont le même sexe que moi". c'est exactement la même chose pour toutes les orientations sexuel, asexualité comprise!
brigadoon a écrit :Avoir ou non des relations sexuelles est un choix mais qui se heurte à une sorte de pensée unique, une obligation d'être sexuellement actif pour être considéré comme normal.
un asexuel peut être sexuellement inactif et parfaitement normal... lorsqu'il est en couple avec un asexuel ou célibataire. les chose sont différent lorsqu'on est avec quelqu'un de différent de nous.
Piccolo a écrit :Entièrement d'accord avec brigadoon.
ayant admis que tu avais une aversion de la sexualité (plutôt anti-sexuel), ça me conforte dans ce que je pense, qu'elle a une aversion aussi.
Piccolo a écrit :Ca rejoint ce que je pensais par rapport au discours bien-pensant sur la sexualité: la fameuse pensée unique dont elle parle.
Quelque part je comprends qu'Aven cherche à se donner une image "sex-friendly" aux yeux des autres, mais personne ne devrait se conformer au fascisme sexuel qui règne dans la société, et que personne n'ose affronter, de peur de paraitre anormal. Remettre en cause des fondamentaux, ce n'est pas à la portée du premier venu, il faut dire.
c'est qu'il n'y a aucune raison de remettre en cause les fondamentaux, si ce n'est d'avoir une vision principalement pessimiste, négative de la sexualité, donc pas objective.
Piccolo a écrit :Mais en quoi le comportement devrait être neutre pour autant ? Rien ne dit que la vraie asexualité devrait se traduire obligatoirement par un sentiment d'indifférence.
c'est (malheureusement) pas dit clairement, probablement pour ne pas exclure les asexuels qui ont un blocage (et pas les asexuels qui le sont à cause d'un blocage), ce que je trouve normal. mais c'est fortement insinué quand on lit la FAQ, l'asexualité est l'absence d'attirance, mais pas l'absence de sexualité.
l'absence (ou la présence) de sexualité est un choix. un choix modulable pour ceux qui désire le modeler, comme tous les choix qu'on fait dans la vie (et qui ne sont pas figé).
Piccolo a écrit :Et c'est là que la notion de communauté montre ses limites, nos ressentis sont beaucoup trop uniques pour qu'ils puissent rentrer parfaitement dans une case bien précise.
ces "cases" sont faite car une majorité y correspond je pense. après, il est évident que tout le monde ne rentre pas dedans, d’où l’existence de la case "hyposexuel" par exemple, pour ceux qui ne rentre ni dans la case sexuel, ni asexuel. il n'existe pas de "case" pour les personnes qui sont antisexuel. mais c'est probablement parce que contrairement aux orientation sexuel, l'anti-sexualité est un choix (on ne choisie de voir que ce que l'ont veux voir).
Piccolo a écrit :c'est comme ça, ça me fait partie de me personnalité, et celle-ci vaut bien plus qu'une étiquette asexuelle "melting-pot" et fourre-tout.
qu'est ce que tu entend par "melting pot" et fourre tout? en quoi est ce que ça a plus de valeur?
Piccolo a écrit :Le jour où "sexualité" rimera de façon universelle et absolue avec "respect", il y a de fortes chances que je ne sois plus du tout antisexuel, mais ça c'est de l'utopie.
la sexualité rime avec ce que tu veux bien faire rimer (toi même, personnellement). si tu es influencé par la sexualité des autres (un élément extérieur dont je parlais tout à l'heure justement) pour te donner un avis sur ta propre sexualité, j’appelle ça de la gamberge (comme tout ce qui est de penser à la place des autre, pire en croyant que beaucoup pense pareille, pour les même raisons), car tu n'es pas dans la tête des autres et tu ne devrai juger ce qu'est la sexualité que sur la façon dont tu pense que devrais être les chose, et seulement exiger de ceux qui veulent avoir des relations sexuel avec toi la même chose : le respect. refuser d'avoir des relation sexuel avec quelqu'un qui en veux avec toi alors qu'elle te respecte n'a pas lieu d’être. elle ne devrai pas avoir a payer pour les autres. Il y aura toujours des personnes qui seront pas respectueux, l'important c'est que ceux que tu fréquente soit respectueux avec toi et surtout que tu le soit avec eux.
Piccolo a écrit :Après il faut voir les relations comme du petit commerce: finalement ça ressemble un peu à la loi de l'offre et de la demande version relations humaines. Il y a bien plus de personnes qui veulent des relations sexuelles que de personnes qui n'en veulent pas. De ce fait, une personne qui en veut n'a aucun intérêt de rester avec une personne qui n'en veut pas, c'est comme ça: cruel mais juste.
Je suis d'accord, n'en déplaise à ceux qui disent que seul l'amour compte. mais ne pas vouloir de relation sexuel n'est pas de l'asexualité, toi par exemple c'est à cause de l'irrespect des hommes.
ethan a écrit :Piccolo a écrit :La seule chose qui peut potentiellement évoluer, c'est mon antisexualité. Le jour où "sexualité" rimera de façon universelle et absolue avec "respect", il y a de fortes chances que je ne sois plus du tout antisexuel, mais ça c'est de l'utopie.
Et seras-tu asexuel au sens de l'absence d'attirance ? Genre : tu pourras faire l'amour avec ta partenaire parce que c'est possible mais en même temps tu n'éprouveras pas de désir ou d'attirance ?
Et du coup, si A inclus ceux qui ne le font pas par choix, est-ce que les abstinents (qui font un choix) sont asexuels pour toi ? Moi je dirais non car A n'est pas un choix - mais qu'en dis-tu ?
Cette conversation a le mérite de m'éclairer aussi sur tout ça, car ça ne m'a jamais paru clair.
Piccolo a écrit :Le cas de brigadoon est ENTIEREMENT valide et légitime, elle n'a certainement pas à renier ce qu'elle est au plus profond d'elle-même.
C'est pas ce qui est dit. Brigadoon fait ce qu'elle veut et n'a rien à prouver à personne. L'impression que j'ai est qu'il y a une différence d'interprétation de la définition des A. D'ailleurs, faut-il dire amen à une définition qui a été donnée. N'évolue t-elle pas elle aussi au grès des recherches ? Mais je comprends aussi que si l'asexualité est un choix, les abstinents religieux rentrent dans la catégorie avec pour certain un argumentaire difficile à avaler.
Zimou reste sur celle en tête du forum, ce qui exclu les personnes A qui le sont de manière provisoire (et parfois provisoire dure toute une vie) pour des raisons collatérales - il parle de maladie, je parlerai plus de facteurs extérieurs. Ce que je comprends de Zimou c'est qu'être A est "inné" et indépendant de facteurs culturels, médicaux, etc. Néanmoins Zimou, est-ce que tout n'est pas baigné de facteurs extérieurs et donc ce qu'on pressent comme inné ne serait pas la conséquence d'un environnement (tu me répondras peut-être que c'est un choix inconscient du coup, dont on n'est pas maître comme l'homosexualité). C'est un peu philo.
Piccolo a écrit :Après il faut voir les relations comme du petit commerce: finalement ça ressemble un peu à la loi de l'offre et de la demande version relations humaines. Il y a bien plus de personnes qui veulent des relations sexuelles que de personnes qui n'en veulent pas. De ce fait, une personne qui en veut n'a aucun intérêt de rester avec une personne qui n'en veut pas, c'est comme ça: cruel mais juste.
C'est vrai. Après, il appartient à chacun de voir s'il y a une zone sur laquelle s'entendre : le fameux compromis. Il n'y a pas à imposer, mais ça coûte rien de le proposer - et si c'est pas possible de prendre les décisions qui s'imposent.
Je suis d'accord dans l'ensemble, tu comprend bien ce que j'essaye d'exprimer ^^
pour l'histoire de l'inné et de l'acquis, c'est compliqué. il faudrait commencer par définir ce qui est quelque chose d’acquis et ce qui est inné. car comme le dit wikipédia :
On oppose souvent inné et acquis mais ces deux concepts ne sont en réalité pas exclusifs l'un de l'autre
mais on va pas parler de ça, c'est totalement un autre sujet ^^
aharis a écrit :Pour ma part, c'est le désir de vivre en couple qui est totalement absent : je ne me pose pas la question du compromis. (question du compromis que je trouve étrange dans un couple car pour moi, l'amour, c'est accepter l'autre tel qu'il est et non pas tel qu'on aimerai qu'il soit). Et oui je ne désire pas vivre en couple mais je peux tomber amoureux.
au moins t'es tranquille ^^ pour les histoire de compromis, il n'existe pas de couple qui fait aucun compromis. il y a toujours quelque chose qui déplait chez l'un et plait chez l'autre ou vice et versa. le compromis, c'est de ne pas demander à l'un de changer complétement pour qu'il finisse par aimer ce qu'il aime, et c'est aussi faire des effort pour participer ou laisser faire quelque chose qui ne nous plait pas mais plait à l'autre. pour moi, un bon compromis, c'est quand celui qui n'aime pas quelque chose le fait autant de fois que celui qui aime doit s'abstenir de le faire. celui qui aime pas le fait pour faire plaisir à celui qui aime, et celui qui aime se retient de le faire pour faire plaisir à celui qui n'aime pas. par exemple, pour jouer aux jeux video, celui qui n'aime pas devrai accepter de faire, une fois sur 2 une partie avec celui qui aime, et celui qui aime dois accepter une fois sur 2 faire autre chose que jouer aux jeux video avec celui qui n'aime pas.