Un poème gribouillé sur un bout de papier...
Publié : 06 août 2015, 22:06
J’aimerais m’appeler la libre différence,
Voix de minorités ou autres opprimés
Pour confier au silence un peu notre existence,
Nos vents de liberté, l’arme des désarmés…
Tel l’arbre enraciné dans un corps de statue
J’aime sans la matière, esclave de l’esprit
Déesse romantique, un nu toujours vêtue
Sur la toile du temps qu’on érige en proscrit…
Ma Sublime, elle est nue, belle, mais c’est un Ange
Éprit d’amour charnel, ce mystère à percer
Que mon âme rebute : Ô ma Dame aux losanges
Mes mains, là, sur ton corps ne peuvent t’enlacer…
J’abandonne mon âme aux jouets de tes caprices,
Ma vie, je te la cède aux portes de l’Enfer,
Ma mort, si tu l’exiges est le meilleur auspice,
Ma peau en marbre, Amour, reste libre de fer…
Mais te perdre Divine, oh folie impossible,
L’abnégation sacrée au prix de la passion
Soufflera sur nos corps ; douleur invisible
De la fleur butinée pour un léger frisson…
Voix de minorités ou autres opprimés
Pour confier au silence un peu notre existence,
Nos vents de liberté, l’arme des désarmés…
Tel l’arbre enraciné dans un corps de statue
J’aime sans la matière, esclave de l’esprit
Déesse romantique, un nu toujours vêtue
Sur la toile du temps qu’on érige en proscrit…
Ma Sublime, elle est nue, belle, mais c’est un Ange
Éprit d’amour charnel, ce mystère à percer
Que mon âme rebute : Ô ma Dame aux losanges
Mes mains, là, sur ton corps ne peuvent t’enlacer…
J’abandonne mon âme aux jouets de tes caprices,
Ma vie, je te la cède aux portes de l’Enfer,
Ma mort, si tu l’exiges est le meilleur auspice,
Ma peau en marbre, Amour, reste libre de fer…
Mais te perdre Divine, oh folie impossible,
L’abnégation sacrée au prix de la passion
Soufflera sur nos corps ; douleur invisible
De la fleur butinée pour un léger frisson…
