newAje a écrit :A propos des psy, c’est sûr qu’il y a de bons et de mauvais psy, comme dans tous les domaines de compétence, mais c’est assez réducteur (je ne trouve pas le mot exact… simpliste ?) de dire qu’ils sont soit incompétents, soit des escrocs.
Si tu trouves que ces gens sont compétent dans leur domaine tu es libre d'avoir une confiance aveugle et d'aller chez eux pour te faire aider avec tes problèmes perso.
De mon coté, je ne ressens aucune envie de fréquenter ces gens là.
Je suis un militant anti-psy alors inutile d'essayer de me convaincre de faire appel à eux.
Jamais de la vie, plutôt crever !
De toute façon, pour faire appel a un "professionnel" il faut vraiment être en état de souffrance, c'est vraiment un geste de désespéré.
newAje a écrit :
quand tu dis que tu es croyant et c’est pour cela que tu ne consultes pas de professionnel car ce serait une injure à Dieu, ne penses-tu pas que parfois Dieu utilise d’autres moyens (comme des médecins) pour guérir que le miracle ? Es-tu de ces chrétiens qui, comme aux Etats-Unis refusent les soins médicaux car ils pensent que Dieu seul peut guérir en Personne… cela ressemble un peu aux Témoins de Jéhovah qui refusent les transfusions sanguines ou la chirurgie, et pensent que la mort est préférable.
Les Témoins de Jéhovah c'est des grands malades mentaux, c'est une secte pseudo-chrétienne très dangereuse.
Si je suis malade je vais voir un médecin.
Pour les problèmes "psychologiques" je trouve les solutions dans la Bible.
Il m'arrive de lire des articles écrits par des psy et le plus souvent leurs idées sont carrément incompatible avec le paradigme chrétien.
Un exemple; il y a pas mal de psy qui disent que l'amour inconditionnel est une utopie.
Quelqu'un qui dit éprouver un amour inconditionnel pour une personne fait fausse route et il est peut-être "malade" !
Car selon eux, aimer quelqu'un sans arrière-pensées, de façon désintéressé est malsain et dangereux !
Le point de vue chrétien s'oppose complètement à cette idée.
Pour les chrétien aimer inconditionnellement est un pléonasme car pour eux tout amour véritable est par définition inconditionnel.
newAje a écrit :
un problème existentiel… j’ai l’impression que c’est lié à la dépression, mais c’est peut-être le mot « dépression » qui te fait peur ? Dans la dépression, il y a un sentiment de vide, l’envie de mourir, l’impossibilité d’envisager le futur, de faire des projets, on peut qualifier cela de problème existentiel, car c’est l’existence de la vie (de sa propre vie) qui est mise en cause…
Le mot dépression ne me fait pas peur.
J'ai été dépressif durant 18 mois alors je sais exactement à quoi ça ressemble !
La dépression, les symptômes;
Vie affective : être à plat
Tristesse intense : dans la dépression, la tristesse est particulièrement douloureuse, incompréhensible et envahissante, souvent accompagnée de pleurs sans motif et d’un sentiment de désespoir.
Incapacité à éprouver du plaisir : chez les personnes souffrant de dépression, les petits plaisirs de la vie (écouter de la musique, voir ses amis, lire son journal…) disparaissent. Tout paraît égal, terne, sans intérêt. La vie a perdu tout sens, tout goût, toute couleur.
Hypersensibilité émotionnelle : les personnes souffrant de dépression réagissent avec une grande sensibilité aux situations de la vie quotidienne (comme s’il manquait un « espace d’amortissement » entre elles et leur environnement). En même temps, elles peuvent avoir l’impression d’être vides, de ne plus éprouver d’émotions. C’est comme si elles étaient à la fois « anesthésiées » et hypersensibles.
Impressions d’abandon, d’inutilité, de solitude : ces impressions cohabitent avec le sentiment de ne pas être aimé des autres, de n’avoir rien à dire qui puisse les intéresser.
Fonctionnement intellectuel : voir tout en noir
Ralentissement intellectuel : en cas de dépression, il devient difficile de réfléchir, de trouver les mots, de parler avec fluidité. On a l’impression d’avoir la tête vide, que le monde est devenu trop compliqué, qu’on ne saura pas s’y adapter, y faire face. Il faut faire un effort très important pour accomplir des tâches qui, jusqu’alors, s’effectuaient naturellement, sans y penser.
Diminution de l’attention, de la concentration et de la mémoire : fixer son attention, ne pas se laisser distraire, retenir ce qu’on vient de lire… ces tâches deviennent très difficiles à accomplir lorsque l’on souffre de dépression.
Dévalorisation de soi et culpabilité : la personne qui souffre de dépression ne se sent bonne à rien ; elle se pense sans valeur ; elle s’accuse d’être responsable des événements pénibles qu’elle vit et des émotions désagréables qu’elle ressent. Cette impression lui paraît tellement définitive qu’il lui est difficile de demander de l’aide et de croire qu’un traitement peut changer quelque chose.
Pensées négatives : la personne analyse les événements de sa vie et les opinions des autres sous un angle systématiquement négatif. Ce pessimisme permanent retentit sur les proches et peut les décourager.
Pensées autour de la mort (la sienne, celle de ses proches ou la mort en général) : liées au sentiment d’inutilité et à la perte de plaisir déjà décrits, ces idées noires sont en fait « fabriquées » par la dépression et disparaissent à la guérison de la maladie. Les idées de suicide méritent dans tous les cas d’être signalées à un professionnel de santé.
Mécanismes du corps : tout se dérègle
Dégradation du sommeil : le sommeil est souvent mauvais, moins profond, très court et peu réparateur. Le petit matin (de 3 à 5 heures du matin) est souvent marqué par un réveil précoce, avec impossibilité de se rendormir et une grande souffrance morale. Dans d’autres cas, le sommeil est en excès ; on parle de « sommeil refuge », comme si celui-ci correspondait à un besoin de « fuir ». Mais ce trop plein de sommeil est insatisfaisant et plutôt abrutissant.
Altération de l’appétit : l’appétit est le plus souvent diminué (les aliments semblent sans goût, l’assiette paraît trop remplie). La préparation des repas devient une corvée, leurs horaires se font irréguliers, leur composition déséquilibrée. La perte de poids est souvent un signe important pour établir le diagnostic de dépression. À l’inverse, on observe parfois une augmentation de la prise d’aliments (surtout sucrés) pouvant conduire à une prise de poids.
Problèmes sexuels : la sexualité est une fonction à la fois très biologique et très relationnelle. Ces deux dimensions étant très perturbées dans la dépression, il est logique que la vie sexuelle soit affectée. Le désir sexuel de la personne peut disparaître, son plaisir s’estomper. La réalisation de l’acte sexuel devient alors difficile. En conséquence, le conjoint a parfois l’impression d’être délaissé, ce qui accentue la tension dans la vie de couple.
Symptômes physiques : la dépression peut s’accompagner de douleurs (maux de tête, souffrances dans les articulations, problèmes digestifs…) et de dérèglements de certains indicateurs ou fonctions du corps (tension artérielle, perturbation ou interruption des règles…).
Source: http://www.info-depression.fr/
Tout ça, ça ne correspond pas avec mon état d'esprit.
Je suis d'humeur très stable et les coups de blues brillent par leur absence depuis des années.
Sur le plan émotionnel tout va très bien est c'est pareil au niveau intellectuel.
Je suis capable de bidouiller et de configurer des ordinateur du matin au soir, sinon je passe mes journées à lire des manuels techniques, je dévore des œuvres qui traitent des sujets assez lourds (géopolitique, philosophie et religions)...
newAje a écrit :
[...] les catholiques et les protestants ne sont-ils pas des chrétiens ?
Tout dépend de la définition du mot "chrétien".
Pour moi un chrétien fondamentaliste c'est quelqu'un qui croit que la Bible est la parole de Dieu et qui considère Jésus comme le fils de Dieu et comme son sauveur.
Il adhère de façon dogmatique à la doctrine biblique sans la déformer et sans y ajouter toute sorte d'inventions doctrinales extra-bibliques sous prétexte qu'il s'agit d'une "tradition religieuse"
Ses croyances et ses pratiques religieuses doivent parfaitement coller avec le doctrine du Nouveau Testament.
Cette définition exclut tous les Catholiques, les Témoins de Jéhovah, les Mormons, les autres sectes pseudo-chrétiennes et la quasi totalité des Protestants et Chrétiens évangéliques et charismatiques.
newAje a écrit :je ne sais pas ce que tu veux dire par « mangeuse d'homme polyandre »
Une mangeuse d'hommes c'est une fille qui est incapable de rester fidèle à un seul homme, qui enchaîne les rapports sexuels et les pseudo-relations amoureuses sans lendemain.
Une femme polyandre a des relations (pseudo-)amoureuses avec plusieurs hommes en même temps.
Mon ex cumulait ces deux pratiques....