Je suis tout à fait d'accord avec toi sur le fait que ça soit lié à l'émancipation de la femme dans la société, c'est sûr et aussi sur le fait que cela n'empêche pas d'avoir de relations. Mais après justement c'est sur la question de la stabilité, c'est justement ce qui pose problème chez ces femmes. Après je ne dis pas qu'elles sont asexuelles loin de là, je dis juste que certaines peuvent se poser la question sans que ce soit le cas.Piccolo a écrit :Oui tu as raison Sonia, excuse-nous.
Pour ma part j'interprète cette personnalité (et non "syndrome" car je trouve ça un peu idiot) comme résultante de l'émancipation des femmes et de la montée du féminisme dans les sociétés occidentales; et promet donc à chaque individu de pouvoir choisir pleinement son destin, quel que soit son sexe.
Je trouve ça assez bien car cela remet en cause l'identité masculine qui jusqu'à présent était fondée sur cette description, et place donc les hommes et les femmes sur un pied d'égalité, cassant définitivement l'image de la femme faible et soumise.
En ce qui concerne un éventuel lien avec l'asexualité ou l'aromantisme (je hais ce mot maintenant ), c'est difficile à dire. Je ne pense pas que ce type de personnalité soit incompatible avec la capacité de nouer une relation amoureuse stable. On peut tout à fait en vivre une tout en restant indépendant(e).
Enfin c'est mon avis...
Et pourquoi hais-tu le mot "aromantisme" maintenant?
Merci d'avoir donné un avis poussé en tout cas