Vous voulez parler -ou entendre parler de l'asexualité ? Faites-nous part de ce qui vous passe par la tête, comment vous ressentez votre asexualité, votre relation aux autres, comment tout ceci influence votre vie.
Merci pour laisser la place à l'évolution de notre force intérieure Ne pas aimer le jazz ne doit pas recevoir énormément d'attention étant donné qu'on peut facilement éviter les endroits jazz. Par contre, la sexualité nous y sommes pratiquement constamment confrontés, dans ce cas, il est plus intéressant pour nous-même, d'apprendre à ne pas la rejeter parce qu'on se sent pas attirés vers... Laisser la possibilité qu'on puisse un jour être attirés, ainsi on se donne les meilleures chances d'être les plus épanouis possibles. Ça retire le poids de sa presque omniprésence. Je ne dis pas que tous les A peuvent changer... mais un paquet peut évoluer
OK bah je vais essayer les plaisirs solitaires alors. Après tout personne ne parle explicitement de sexualité partagée, à deux (ou plus...hum).
Comme on peut préférer écouter du jazz tranquilou dans son coin.
L'asexualité se définissant par rapport à l'orientation sexuelle, et non par rapport à l'absence totale de sexualité.
Si on y réfléchit bien, on peut éprouver un grand plaisir sexuel tout en n'étant pas attiré par les autres. On reste asexuel quand même. Mais bon, c'est juste que ça ne nous intéresse pas forcément.
Yako, je suis parfaitement d'accord avec toi et je trouve très féconde cette idée de pulsion d'enthousiasme, qui peut prendre diverses formes chez les A et les S. En revanche, je pense qu'on peut appliquer le terme de "libido" à tous ces élans de vie. On parle bien de "libido sciendi" pour l'amour de la connaissance. Merci pour ton intéressante réflexion !
