La pénibilité serait moindre si la pression psychologique était moins abominable. Il semblerait que c'est devenue la nouvelle arme des managers. Presser le citron, menacer de virer parce qu'il "y en a plein qui attendent devant la porte, alors si ton boulot te plait pas, tu t'en vas"...Syd a écrit :Maintenir sa productivité sur un temps réduit, c'est très dur. Le problème, ce n'est pas la durée du travail mais sa pénibilité (qui sera accrue si le temps alloué est réduit).
Pas forcément, ils ont assez de main d'oeuvre pour leur organiser un planning correct et pour que ce soit ouvert sur des plages horaires raisonnables. Et les patrons font les horaires qu'ils veulent, ils n'ont pas de limite eux. C'est pour cela qu'à Partis tu trouves des petites épiceries à tout heure. J'en connais un qui disait "je ne dis pas que je vais travailler car mon travail m'amuse, je dis que je vais m'amuser". Eh bien qu'il s'amuse quelques heures en plus... Peut être que l'ouverture des grandes surfaces et des petites boutiques en horaires décalés pourrait sauver les petites boutiques...Là il faudrait viser pour faire ses courses, et j'imagine les queues aux caisses.