Autiste et asexualité
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Autiste et asexualité
Bonjour,
Je me demandais si les asexuels était souvent des gens qui avaient des traits autistes ?
Je pense à l'autisme de haut niveau comme le syndrome d'asperger ?
Merci
Je me demandais si les asexuels était souvent des gens qui avaient des traits autistes ?
Je pense à l'autisme de haut niveau comme le syndrome d'asperger ?
Merci
- Gemini21
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Re: Autiste et asexualité
J'avais jamais fait le rapprochement, mais effectivement de mon expérience et des A que j'ai pu rencontrer, il y a en tout cas un trait de l'Asperger que j'ai retrouvé chez tous ceux que je connais c'est le côté passionné par un (ou plusieurs) chose(s) et capable d'en parler des heures durant.
Après il y a un autre trait que je ne jugerai pas pour les autres, mais en mon nom propre uniquement: mais la réciprocité sociale et émotionnelle n'a jamais été innée pour moi et c'est quelque chose que j'ai du apprendre à reproduire artificiellement.
Après il y a un autre trait que je ne jugerai pas pour les autres, mais en mon nom propre uniquement: mais la réciprocité sociale et émotionnelle n'a jamais été innée pour moi et c'est quelque chose que j'ai du apprendre à reproduire artificiellement.
Dernière modification par Gemini21 le 06 août 2013, 15:35, modifié 1 fois.
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Re: Autiste et asexualité
Il y a bien une proportion plus importante de syndrome d'Asperger chez les asexuels mais j'ignore dans quelle mesure (à ce que j'en sais une étude l'a attesté)‚ mais en tout cas on en parle beaucoup sur le forum anglais. Et l'hypersensibilité sensorielle semble beaucoup plus répandue aussi y compris chez les asexuels non-autistes mais je ne sais pas si ça a déjà été mesuré par contre. Mais l'hypersensibilité sensorielle a pas mal de causes qu'elles soient neurologiques ou psychologiques.
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Re: Autiste et asexualité
Il y a tous les degrés, comme pour l'hypersensibilité sensorielle. L'hypersensibilité sensorielle sévère peut être un véritable cauchemar et être un handicap très important surtout quand elle génère de la douleur presque tout le temps : le soleil, la température, des bruits forts, une odeur prenante, le moindre contact physique que ce soit avec les autres ou les objets... Ça peut tout à fait nécessiter une carte d'invalidité. Ça peut expliquer que beaucoup de gens aient du mal à supporter des relations avec des contacts physiques, quand le toucher est physiquement douloureux (c'est mon cas surtout dans le dos, même avec les meubles ou certaines textures de vêtements, et ça me pourrit l'existence et encore plus bien sûr dans mes relations amoureuses, car j'aimerais ne plus avoir ce réflexe douloureux qui me fait même assez honte). Je précise quand même que je ne suis pas autiste, par contre j'ai d'autres troubles neurologiques de naissance.
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Re: Autiste et asexualité
Les autistes ne sont pas forcément asexuels. Beaucoup ont des envies, des comportements et même des attirances de nature sexuelle.
Seulement l'autiste a du mal à coordonner ses sentiments avec ses actes, ce qui en l'occurrence peut apparaitre comme une forme d'asexualité même s'il n'en est rien.
Seulement l'autiste a du mal à coordonner ses sentiments avec ses actes, ce qui en l'occurrence peut apparaitre comme une forme d'asexualité même s'il n'en est rien.
- Dexter
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Re: Autiste et asexualité
j'ai pu remarquer aussi quelques traits d'autisme chez certains A, mais à dire que c'est lier, je ne pense pas. En fait on peut remarquer chez tout le mondes des traits de pas mal de "maladie mentale" ça peut même aller très loin dans ce sens
ile sujet sur l'autisme est souvent abordé sur le forum, on a même eu quelques membres inscrit se disant autiste et A...
ile sujet sur l'autisme est souvent abordé sur le forum, on a même eu quelques membres inscrit se disant autiste et A...
La civilisation ne consiste pas à multiplier les besoins mais à les réduire volontairement, délibérément. Cela seul amène le vrai bonheur.
Nous vivons dans une culture où le superflu est devenu si nécessaire que nous sommes condamnés à toujours vivre dans le manque!
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Re: Autiste et asexualité
D'après cette sexologue, les autistes ont sensiblement les mêmes besoins que la majorité de la population. Mais bon, il faudrait le livre pour lire les arguments. Peggy Sastre évoque aussi le fait que la recherche sur cette relation Asperger / Asexuels mérite d'être plus poussée.
- Natsu
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Re: Autiste et asexualité
Voici un quizz qui donne une indication sur les tendances aspies et neurotypiques.
Par ailleurs, l'autisme n'a aucun lien avec l'asexualité, puisque l'autisme relève d'une anomalie neurologique, et l'asexualité, jusqu'à preuve du contraire, ne l'est pas (ni neurologique, ni génétique). Il y aurait donc autant d'asexuels chez les autistes que pour l'ensemble de la population, de même que pour n'importe quelle orientation sexuelle.
Par ailleurs, l'autisme n'a aucun lien avec l'asexualité, puisque l'autisme relève d'une anomalie neurologique, et l'asexualité, jusqu'à preuve du contraire, ne l'est pas (ni neurologique, ni génétique). Il y aurait donc autant d'asexuels chez les autistes que pour l'ensemble de la population, de même que pour n'importe quelle orientation sexuelle.
Dernière modification par Natsu le 20 sept. 2014, 20:39, modifié 2 fois.
- Lockarius
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Re: Autiste et asexualité
Oui, à mon avis cette "convergence apparente" est plus fortuite qu'autre chose, la sexualité occupe en théorie un place importante dans la vie des gens. Logiquement bien moindre voir inexistante pour nous autres A.Natsu a écrit :Par ailleurs, l'autisme n'a aucun lien avec l'asexualité, puisque l'autisme relève d'une anomalie neurologique, et l'asexualité, jusqu'à preuve du contraire, ne l'est pas (ni neurologique, ni génétique). Il y aurait donc autant d'asexuels chez les autistes que pour l'ensemble de la population, de même que pour n'importe quelle orientation sexuelle.
Il ne serait guère étonnant que cette absence de préoccupation sur le sexe laisse la place à d'autre chose pour comblé cela dans nos "schémas mentaux" (faute de meilleur terme... je ne suis pas psy), d'ailleurs ça me rappel la présentation de rouge ( http://www.asexuality.org/fr/forum/view ... f=3&t=6387 ) qui évoquait le concept de "déplacement de l'envie".
Je sais que pour ma part quand je découvre une nouvelle chose qui m'intéresse je peut "bloquer dessus" pendant un long moment d'une façon fortement "monomaniaque".
Cela pourrait donc "mimer" quelque chose ressemblant vaguement au syndrome d'Asperger surtout si on cherche une corrélation, sans qu'il y ai besoin d'avoir un lien réel entre Autisme et Asexualité.
"Quand on cherche suffisamment fort des liens entre deux choses on fini fatalement par les distordre assez pour en trouver" petite maxime bien connu des adeptes des recherches sur les thématiques un peu "ésothériques" mais vrai pour beaucoup de chose
Edit : Juste pour préciser suite à un échange en MP que je conçoit ici ce "déplacement de l'envie" comme une conséquence ( donc inconsciente) de l'asexualité (on ne pense pas au sexe donc il y a de la place pour autre chose dans la tête à la place) et non comme une cause.
Pour faire une analogie de geek : les A auraient plus de bande passante pour penser à des trucs autres que le sexe. D'où une éventuel impression de "sur focalisation" sur différents sujets qui pourrait donner à certain des impressions de comportement de type autiste.
Après quand à savoir si le concept de "déplacement de l'envie" est pertinent ou pas... je le redit je ne suis pas psy, ni n'ai aucune formation dans le domaine. C'est juste que ce concept découvert dans la présentation de Rouge m'a parue intéressant.
Je suis certain que l'Humanité est capable du meilleur.
Reste à passer de la théorie à la pratique...
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Re: Autiste et asexualité
Je voulais ouvrir un sujet "A et syndrome d'Asperger", mais en faisant une petite recherche je retrouve celui-là, donc je le fais remonter.
En effet, j'ai observé dans les différents témoignages qu'une part qui me semble significative (plus en tout cas que la moyenne dans la population) se présentent comme asexuels et par ailleurs aspies. D'autres comme moi sont un peu "limite" (j'ai fait plusieurs fois le test rdos l'année dernière quand je me posais la question, à chaque fois je tombe entre 100 et 130/200, soit dans la zone floue entre aspie et neurotypique ; j'ai vu au milieu d'un autre sujet qu c'était pareil pour d'autres).
Le débat ci-dessous me donne un début de réponse, mais ne tranche pas vraiment entre plusieurs hypothèses qu'on peut résumer ainsi :
- quand on est aspie on a de fortes chances d'être asexuel en raison des symptômes autistiques
- quand on est aspie on a nécessairement des traits qui ressemblent à ceux de l'asexualité, mais en fait ce n'est pas tout à fait pareil
- quand on est asexuel on a nécessairement des traits qui ressemblent au syndrome d'asperger mais en fait ça n'a rien à voir, c'est une fausse ressemblance (ce qui expliquerait qu'on soit si souvent cantonnés à la zone floue du test rdos)
- la corrélation entre asperger et asexualité n'est qu'une coïncidence fortuite (comme dit une de mes collègues : la courbe de la natalité et celle du nombre de cigognes sont parfaitement corrélées, ce n'est pas pour ça qu'il y a un lien de cause à effet, ni même une cause commune).
Si vous avez des avis ou réactions là-dessus je suis preneur !
En effet, j'ai observé dans les différents témoignages qu'une part qui me semble significative (plus en tout cas que la moyenne dans la population) se présentent comme asexuels et par ailleurs aspies. D'autres comme moi sont un peu "limite" (j'ai fait plusieurs fois le test rdos l'année dernière quand je me posais la question, à chaque fois je tombe entre 100 et 130/200, soit dans la zone floue entre aspie et neurotypique ; j'ai vu au milieu d'un autre sujet qu c'était pareil pour d'autres).
Le débat ci-dessous me donne un début de réponse, mais ne tranche pas vraiment entre plusieurs hypothèses qu'on peut résumer ainsi :
- quand on est aspie on a de fortes chances d'être asexuel en raison des symptômes autistiques
- quand on est aspie on a nécessairement des traits qui ressemblent à ceux de l'asexualité, mais en fait ce n'est pas tout à fait pareil
- quand on est asexuel on a nécessairement des traits qui ressemblent au syndrome d'asperger mais en fait ça n'a rien à voir, c'est une fausse ressemblance (ce qui expliquerait qu'on soit si souvent cantonnés à la zone floue du test rdos)
- la corrélation entre asperger et asexualité n'est qu'une coïncidence fortuite (comme dit une de mes collègues : la courbe de la natalité et celle du nombre de cigognes sont parfaitement corrélées, ce n'est pas pour ça qu'il y a un lien de cause à effet, ni même une cause commune).
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- Natsu
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Re: Autiste et asexualité
L'aspie quizz n'est pas un diagnostic d'autisme. Seul un CRA (Centre Ressources Autisme) est habilité à diagnostiquer l'autisme. Au cours du diagnostic au CRA, aucune question sur la sexualité ne m'a été posée, déduis-en ce que tu en déduiras...
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Re: Autiste et asexualité
Dans l'aspie quizz non plus, aucune question sur la sexualité n'est posée. Cela ne m'empêche pas de me poser des questions.
Je sais que le diag en CRA est le seul à pouvoir faire un diagnostic officiel qui permet d'être reconnu par les administrations (et c'est quand même normal que l’auto-diagnostic ne puisse pas avoir de caractère officiel). Mais pour ma part, n'ayant pas de difficultés spécifiques pour travailler ni besoin de traitement médical, je ne vois pas l'intérêt de le faire.
Je sais que le diag en CRA est le seul à pouvoir faire un diagnostic officiel qui permet d'être reconnu par les administrations (et c'est quand même normal que l’auto-diagnostic ne puisse pas avoir de caractère officiel). Mais pour ma part, n'ayant pas de difficultés spécifiques pour travailler ni besoin de traitement médical, je ne vois pas l'intérêt de le faire.
- Zimou
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Re: Autiste et asexualité
En effet, autisme et asexualité sont 2 chose distinctes. un autiste qui n'a pas d'attirance sexuel parce qu'il est autiste ne peut pas dire qu'il a pas d'absence d'attirance sexuel parce qu'il est asexuel. il n'en a pas parce qu'il est autiste.
Après je pense qu'il y a une simple corrélation entre le plus grande nombre d'autisme et l'asexualité (et encore, faudrait une étude car j'en ai rarement vu sur le forum, sans dire qu'il y en a aucun j'en ai vu peu).
Après je pense qu'il y a une simple corrélation entre le plus grande nombre d'autisme et l'asexualité (et encore, faudrait une étude car j'en ai rarement vu sur le forum, sans dire qu'il y en a aucun j'en ai vu peu).
La définition de l'asexualité est "une personne qui ne ressent d'attirance sexuelle pour personne". Cependant, vous seul pouvez décider quel terme vous convient le mieux.
- Luciole_Kawaii
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Re: Autiste et asexualité
Hey !!
Je me suis déjà aussi posée des questions là dessus, d'autant plus qu'étant étudiant en psychologie... J'en suis bien évidemment venue à la conclusion que : l'autisme et SA étant des maladies neurologiques non on n'est pas asexuels car on est autiste ou inversement. Comme le dit Zimou il peut en revanche avoir des corrélations, ayant du mal dans les interactions sociales peut-être que justement ça peut justifier les difficultés émotionnelles au niveau de l'amour mais évidemment chaque cas du sceptre autistique est unique donc... J'essayerai de voir si je peux trouver des études dessus.
Je me suis déjà aussi posée des questions là dessus, d'autant plus qu'étant étudiant en psychologie... J'en suis bien évidemment venue à la conclusion que : l'autisme et SA étant des maladies neurologiques non on n'est pas asexuels car on est autiste ou inversement. Comme le dit Zimou il peut en revanche avoir des corrélations, ayant du mal dans les interactions sociales peut-être que justement ça peut justifier les difficultés émotionnelles au niveau de l'amour mais évidemment chaque cas du sceptre autistique est unique donc... J'essayerai de voir si je peux trouver des études dessus.
Re: Autiste et asexualité
J'ai lu une auteure qui m'avait beaucoup aidée pendant une période (c'est une conseillère en développement personnel) et elle a écrit pas mal de choses sur la sur-efficience mentale (ce qu'on appelle précocité ou surdouance en générale) en se servant notamment de beaucoup d'entretiens qu'elle a dirigé avec les personnes venues la consulter. Et elle a remarqué que beaucoup de ces patients qui étaient donc sur-efficients mentaux venaient de sexualités hors-hétérosexualité. Or comme elle le décrit, la sur-efficience mentale est accompagnée d'hyper-émotivité, d'hyper-empathie et d'hyper-esthésie (ce qui a été appelé plus haut sensibilité sensorielle) et d'ailleurs le syndrome Asperger est une forme de sur-efficience mentale. Personnellement par exemple, je suis hyper-émotive et hyper-empathique mais aussi hyper-esthésique visuelle (je remarque facilement les petits détails par exemple, ceux qu'un cerveau ordinaire passe à la trappe car jugés non importants) et hyper-esthésique auditive (certains bruits, comme les sons répétitifs tels les tics-tacs d'horloge ou les gouttes d'eau qui tombent à fréquence régulière, me rendent complètement dingue et je n'arrive pas à les faire passer en bruits de fond - j'entends d'ailleurs tous les bruits qui m'entourent au même niveau ce qui fait que j'ai souvent du mal à isoler certains bruits, ce qui est très casse-pied quand je suis en discussion et que je n'entends pas ce qui se dit à cause du bruit environnant).
Donc peut-être que c'est lié. Encore une fois ce ne sont que des hypothèses, mais dans le cas de l'asexualité, étant donné que nous ne sommes pas importunés par des désirs sexuels intempestifs, peut-être que notre cerveau est alors plus libre pour d'autres activités que nous avons alors l'occasion d'approfondir plus facilement. Et donc du coup certains de nos sens s'en trouvent alors plus développés.
Donc peut-être que c'est lié. Encore une fois ce ne sont que des hypothèses, mais dans le cas de l'asexualité, étant donné que nous ne sommes pas importunés par des désirs sexuels intempestifs, peut-être que notre cerveau est alors plus libre pour d'autres activités que nous avons alors l'occasion d'approfondir plus facilement. Et donc du coup certains de nos sens s'en trouvent alors plus développés.