Sur ce dernier point, je suis tout à fait d’accord, on n’a aucun contrôle sur nos rêves, c’est d’ailleurs pour cette raison que je le précisais, ça démontre bien à quel point je n’ai aucune sexualité puisque même mon inconscient n’a jamais rien manifesté au travers des rêves. Mais pourquoi le psy semblait-il si dubitatif ?
Donc ma question est la suivante, est-ce si rare que ça de ne pas faire de rêves érotiques ? Qu’en est-il pour vous ? Y-a-t-il des A qui rêvent de sexe (ou de serpent, il paraît que ça symbolise le pénis…
) ?Personnellement, la plupart du temps, je rêve du quotidien, c’est d’ailleurs agaçant car je finis par ne plus savoir ce que j’ai réellement vécu ou rêvé... Et pour les quelques rêves loufoques dont je me souviens, je suis toujours arrivée à les interpréter et il n’y avait aucune allusion à des désirs ou sentiments refoulés !
P.S : Gianni, tu es hors concours avec tes rêves rocambolesques sur les A !
).
En fait, je me suis rendu compte que si beaucoup de psy sont ouverts, beaucoup d'autres sont coincés dans un carcan de préjugés ! Ils devraient consulter leurs collègues pour déterminer pourquoi ils sont aussi obtus et intolérants (quoiqu'il y a déjà la réponse : ils ne peuvent admettre ne pas savoir quelque chose ! Ils se trouvent soudain en situation d'échec, et ils ne le tolèrent pas ! 
)
)
