...Je suis d'accord avec le fait que les relations (qu'elles soient mondaines, professionnelles, familiales, amicales, amoureuses) comportent toujours un fond de narcissisme, de projection, d'idéalisation et d'interdépendance...Malgré mon cynisme, je ne crois pas que l'on puisse les résumer à cela.
Les relations superficielles, sans réel engagement, peuvent paraître moins compromettantes sur le coup...mais elles ne comblent pas adéquatement nos besoins affectifs. S'investir et s'attacher impliquent inévitablement des risques. Le risque d'être déçu, trahi, blessé...Ce qu'il y a de bien, dans la vie, c'est qu'on peut tirer des leçons de nos mauvaises expériences, en profiter pour apprendre à mieux se connaître et se comprendre et, du coup, à se montrer plus intuitif et réceptif aux autres...Maintenant, je CHOISIS les gens que je laisse entrer dans ma vie, dans mon petit jardin secret...Les êtres humains sont imparfaits de nature, ils font ce qu'ils peuvent avec ce qu'ils ont, ils sont en apprentissage. Les limites, les contraintes, les frustrations et les déceptions font partie de la vie. Il n'en tient qu'à nous d'en retirer le maximum de positif.
J'ai longtemps cru que mon isolement me protégeait. Aujourd'hui, je me rends compte de toutes les belles que je me suis empêché de vivre par peur de souffrir...Ça n'en vaut pas la peine
j'ai un peu de mal à comprendre... Pour moi, l'amitié, se vit ... c'est déjà suffisant. 
Je crois qu'il est possible qu'une personne puisse combler ses besoins affectifs par le billet de relations superficielles...bien que j'ai un peu de mal à le concevoir. Voilà 
même si hélas, selon ce que tu en dis, c'est plus du fait de la personne qui se préserve que d'un rejet de l'autre ...
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. Je trouvais juste la métaphore sympathique et drôle