Quels sont ceux d'entre vous qui souhaitent vivre en couple?
Moi j'allais bien quand j'étais seule... C'était le paradis...
Enfin pas tout à fait car pour reprendre l'histoire depuis le début, ça a été l'enfer pendant 15 ans (!) mais ensuite je me suis habituée, ou alors j'en ai pris mon parti, je ne sais pas, et là, j'ai vécu les cinq plus belles années de ma vie.
SEULE.
C'était MAGIQUE.
Je faisais ce que je voulais, quand je voulais, je me sentais bien chez moi, avec mes affaires A MOI, rien que POUR MOI. Je ne m'embêtais jamais: lecture, couture, télévision, repos, manucure... Je m'occupais de MOI à plein temps. MOI MOI MOI. En plus, j'avais des animaux (un chat et un chien), et le chat m'accueillait toujours quand j'arrivais (toujours devant la porte, QUEL BONHEUR!!!).
MAIS QUEL BONHEUR!!!
Malheureusement, les meilleures choses ont une fin.
La fin a débuté quand j'ai eu envie de partager tout ce bonheur. Car c'est bien le problème de la vie en solitaire, à mon avis: c'est qu'à la fin on est tellement heureux qu'on a envie de partager ce bonheur.
Et là vous recommencez tout à la case départ: 15 ans de m... (je suis volontairement cynique).
Plus exactement, j'ai rencontré quelqu'un, ça a effectivement été la m... pendant trois-quatre ans, ça commence à aller à peu près bien maintenant... mais il a fallu passer par une monstre dépression... retour des angoisses... perdu mon joli studio qui n'avait plus d'âme à force d'être déserté (je n'osais pas dire "non, j'aimerais rentrer chez moi", du coup j'y étais jamais... il n'était plus sécurisant). En résumé, j'ai TOUT PERDU.
DIEU QUE CE FUT DUR.
Depuis quelques mois je commence enfin à voir ce que j'ai gagné en parallèle à ce deuil horriblement pénible:
- j'ai appris à cuisiner et je mange (ENFIN) sainement
- j'ai vachement progressé dans mon sport favori à force de m'y réfugier pour sortir de la dépression
- j'ai trouvé dans l'énergie du désespoir la force de passer mon permis de conduire, chose que je n'aurais JAMAIS envisagée autrement
- j'épate la galerie quand je dis que je suis en couple depuis 4 ans (et paf! même si personne ne se doute qu'on ne baise même pas).
Enfin pas tout à fait car pour reprendre l'histoire depuis le début, ça a été l'enfer pendant 15 ans (!) mais ensuite je me suis habituée, ou alors j'en ai pris mon parti, je ne sais pas, et là, j'ai vécu les cinq plus belles années de ma vie.
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C'était MAGIQUE.
Je faisais ce que je voulais, quand je voulais, je me sentais bien chez moi, avec mes affaires A MOI, rien que POUR MOI. Je ne m'embêtais jamais: lecture, couture, télévision, repos, manucure... Je m'occupais de MOI à plein temps. MOI MOI MOI. En plus, j'avais des animaux (un chat et un chien), et le chat m'accueillait toujours quand j'arrivais (toujours devant la porte, QUEL BONHEUR!!!).
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Malheureusement, les meilleures choses ont une fin.
La fin a débuté quand j'ai eu envie de partager tout ce bonheur. Car c'est bien le problème de la vie en solitaire, à mon avis: c'est qu'à la fin on est tellement heureux qu'on a envie de partager ce bonheur.
Et là vous recommencez tout à la case départ: 15 ans de m... (je suis volontairement cynique).
Plus exactement, j'ai rencontré quelqu'un, ça a effectivement été la m... pendant trois-quatre ans, ça commence à aller à peu près bien maintenant... mais il a fallu passer par une monstre dépression... retour des angoisses... perdu mon joli studio qui n'avait plus d'âme à force d'être déserté (je n'osais pas dire "non, j'aimerais rentrer chez moi", du coup j'y étais jamais... il n'était plus sécurisant). En résumé, j'ai TOUT PERDU.
DIEU QUE CE FUT DUR.
Depuis quelques mois je commence enfin à voir ce que j'ai gagné en parallèle à ce deuil horriblement pénible:
- j'ai appris à cuisiner et je mange (ENFIN) sainement
- j'ai vachement progressé dans mon sport favori à force de m'y réfugier pour sortir de la dépression
- j'ai trouvé dans l'énergie du désespoir la force de passer mon permis de conduire, chose que je n'aurais JAMAIS envisagée autrement
- j'épate la galerie quand je dis que je suis en couple depuis 4 ans (et paf! même si personne ne se doute qu'on ne baise même pas).
- EyeballKid
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Etrangement, je viens juste d'y repenser, a propos de celles et ceux qui voudraient "vivre avec quelqu'un" mais pas au meme endroit... Pendant un moment, j'avais des voisins/amis qui avaient trouve un arrangement interessant. Ils vivaient dans une maison separee en deux appartements (un a chaque etage, avec entrees independantes). La fille vivait en bas, toute seule, et le type, au-dessus, avec un coloc. Du coup, ils pouvaient se voir quand ils voulaient, mais n'avaient pas a partager leur espace de vie...
Evidemment, je ne leur ai jamais demande si ils etaient A, mais ca ne me semble pas impossible du tout. Je ne les ai meme jamais vus se tenir la main ou s'embrasser.
Evidemment, je ne leur ai jamais demande si ils etaient A, mais ca ne me semble pas impossible du tout. Je ne les ai meme jamais vus se tenir la main ou s'embrasser.
"We are here to unlearn the teachings of the church, state, and our educational system. We are here to drink beer. We are here to kill war. We are here to laugh at the odds and live our lives so well that Death will tremble to take us."
-Charles Bukowski
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Euh... j'ai pas trop pose la question non plus, surtout que je passais souvent la soiree chez eux
Non, sans blague, pas de doute, c'etait un couple, avec une difference d'age assez grande, d'ailleurs, mais je sais pas si ca avait un rapport avec leur arrangement. Le coloc etait un ami encore pas mal plus jeune et probablement pas A du tout, lui
Non, sans blague, pas de doute, c'etait un couple, avec une difference d'age assez grande, d'ailleurs, mais je sais pas si ca avait un rapport avec leur arrangement. Le coloc etait un ami encore pas mal plus jeune et probablement pas A du tout, lui
Dernière modification par EyeballKid le 07 avr. 2008, 11:19, modifié 1 fois.
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Tu veux dire que tu vois pas comment je peux savoir que c'etait un couple? Parce qu'ils me l'ont dit
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La aussi, c'est techniquement deux domiciles separes, avec optimisation de la navigation Il se trouve que c'est dans une maison, mais ce serait pareil si c'etait un immeuble.
Mais c'est vrai que l'homme a emmenage la pour etre au-dessus de la femme, qui ne supporte pas de vivre avec quelqu'un. Du coup, lui je le trouve admirable, non seulement il accepte de ne pas vivre avec sa copine, mais il doit se taper un coloc quand meme
Mais c'est vrai que l'homme a emmenage la pour etre au-dessus de la femme, qui ne supporte pas de vivre avec quelqu'un. Du coup, lui je le trouve admirable, non seulement il accepte de ne pas vivre avec sa copine, mais il doit se taper un coloc quand meme
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Ceci dit, même si j'ai répondu "Je ne ressens pas le besoin d'être avec quelqu'un", je ne ferme pas la porte à l'amour.
J'admets qu'il peut y avoir quelque chose de féerique dans le fait d'admirer une personne.
En même temps, j'ai conscience que c'est cela même qui peut être porteur de bien des illusions.
J'admets qu'il peut y avoir quelque chose de féerique dans le fait d'admirer une personne.
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J'espère bien être en couple un jour.... Mais si cela ne doit pas se faire, je n'en ferai pas un drame ! advienne que pourra !
Le sexe, c'est la rencontre de deux corps. Le bonheur, c'est la rencontre de deux personnes. [Hervé Desbois]
Notre ville: http://asexuellecity.miniville.fr/env
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moi personnellement j'en ai marre d'etre celibataire et ressent une grande envie de me poser.
mais je pense que je prefere rester seule que de revivre une relation prise de tete avec un S. tot ou tard ,la question va se poser meme s' il est respectueux....
l'ideal est de rencontrer une personne As qui correspond a nos attentes.
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- Yaya
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Le problème c'est que l'amour ne tombe jamais là où on le souhaiterait...lytis a écrit :moi personnellement j'en ai marre d'etre celibataire et ressent une grande envie de me poser.
mais je pense que je prefere rester seule que de revivre une relation prise de tete avec un S. tot ou tard ,la question va se poser meme s' il est respectueux....
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Moi-même je rêvais d'un Brad Pitt et je suis tombée sur deux clones de Chabal