ModerFaker a écrit :
didou a écrit :Mais à notre âge, Papy, comme dit @Onassis que je tance précédemment, il faut finir par arriver à envoyer c***r les intolérances diverses et variées
Je n'ai aucun problème pour envoyer ch*er et dire merde au reste du monde. Disons que plus j'avance en âge et plus j'ai de facilité à le faire.
J'en conviens, l'âge est a cette (rare
) bonne propriété
ModerFaker a écrit :Voire trop, ce qui porte tout de même préjudice dans les relations socio-professionnelles.
'Trop"... "trop"... Même dans le milieu professionnel, lorsque l'on est confronté à des cons, il est très bénéfiques de remettre les pendules à l'heure
Bon, certes, on est toujours le con d'un(e) autre. Cela dit, tant que l'on a des arguments (si possible fondés
) à faire valoir, remettre les gens du monde professionnel à leur place permet de ne pas s'en laisser compter. Alors certes, ça peut coûter un peu cher lorsque l'on tombe sur des cons qui refusent d'admettre qu'ils ont tort (j'ai testé pour vous), mais de l'autre côté, ça peut permettre aussi de montrer que l'on a des idées, que l'on a réfléchi ... et de se faire apprécier des gens de bon entendement (j'ai également tenté pour vous).
Après, dans le monde social (puisque ton propos était de "
socio-professionnelles", alors là... tant que ce n'est pas des gens qui auront un impact sur le fait que tu puisses payer ton loyer à la fin du mois... pfffiou, pas de contrainte ! En plus, être clair, net, franc, simple et précis, ça permet de faire un ménage souvent drastique dans les "
connaissances", et donc de ne conserver que celles avec qui on partage de réelles valeurs profondes. je suis un grand partisan du ménage dans les carnets d'adresse
Qui a dit que j'étais un asocial pathologique ? Hein ?
C'est même pas vrai, je continue à dire bonjour à des gens
ModerFaker a écrit :Parce qu'on passe entre 8 et 9h par jour avec eux et qu'au moins bien s'entendre avec facilite tout de même un peu beaucoup le passage de la journée.
D'où l'intérêt de faire de la recherche et de passer "entre 8 et 9h par jour" avec un ordi
L'ordi râle seulement à bonne raison et en plus il ne pose pas de questions chiantes
ModerFaker a écrit :Comme didou dit (mouahaha) des collègues ne sont que des collègues, mais une pause, un déjeuner et ça tourne toujours autour de certains sujets dont je me débarrasse soit en dressant un mur, soit en inventant pour clore le sujet.
Eh eh, d'où l'intérêt de ne pas manger le midi
Mais sinon, au cas où l'on aurait de l'appétit méridien, il est toujours possible de dire clairement le fond de sa pensée, sans forcément prononcer le terme "
d'asexualité". Je me souviens d'une discussion avec des collègues et des thésards ou les histoires de sexe étaient arrivées sur la table (enfin, bon, façon de parler
), moi j'avais dit très clairement que je me passais fort bien de relations sexuelles et bien au contraire. Bon, c'était dit et c'était un avis comme un autre. Ce genre de prise de position n'a pas de raison de provoquer une guerre thermonucléairéaire.
ModerFaker a écrit :Et batir un mur c'est aussi se fermer des opportunités. Bref ...
Euh, des opportunités de quoi ? Lorsqu'une discussion à la cantine du boulot tourne autour du niveau médian de l'être humain moyen, ce ne sont pas des opportunités professionnelles qui risquent d'être ratées. Ou alors, c'est que le domaine professionnel est très "
orienté"
ModerFaker a écrit :
Mr.Nya a écrit :C'est pourquoi la patience est, à mes yeux, la première des armes dont il faut se doter. La Fontaine ne dit pas moins : "patience et longueur de temps font plus que force ni que rage."
C'est la première que j'ai eue. Mais elle laisse place progressivement à la lassitude et l'agacement. Je fais souvent les choses à l'envers.
Euh, voui... La patience (enfin, "
ma"
) a des limites. au bout d'un certain temps de pédagogie, de tentatives d'explications sereines, je ne cache pas que si besoin est, je sors l'argument "
batte de baseball"
Dans une discussion je sais faire preuve de beaucoup de tolérance, de beaucoup d'écoute des arguments de l'autre. Mais si ces arguments ne sont pas fondés en terme de logique ou s'ils s'empreignent d'une intolérance patentée, je dois dire que je finis par m'épargner un ulcère en éconduisant clairement l'importun.