Pour vivre sans, il faut faire avec.
-
- Membre
- Messages : 15
- Inscription : 10 janv. 2017, 11:43
- A aimé : 0
- A été aimé : 0
Pour vivre sans, il faut faire avec.
Bonjour à toutes et à tous.
Je suis un homme de 45 ans, célibataire, marié, divorcé.
Dans cet ordre.
Pourquoi s'interroger sur le sexe quand on ne s'y intéresse pas ?
Pour tenter de comprendre pourquoi je me sens différent depuis toujours sans n'avoir jamais su mettre des mots dessus. Différent du reste de la société, qui, même si je tente de ne lui préter aucune attention, ne cesse de me renvoyer une image défectueuse. Celle d'un handicapé.
Si le handicap n'est pas pleinement perçu comme tel par les personnes concernées, c'est le rappel permanent des "valides" qui pèse sur le bien être.
Et comment ne pas se sentir invalide social lorsque comme moi, on est introverti extrême et asexuel aromantique, dans une société faite pour et par des extravertis à la recherche permanente de charnel, de contact, de relations ?
C'est feindre d'avoir des amis, des conquêtes et une vie sociale pour échapper aux interrogatoire pesants des collègues. C'est devoir être désagréable pour fuir les envahisseurs. Et finir de toute façon catalogué asocial, ermite, ou misanthrope. Ce qui n'est peut-être plus complètement faux non plus.
Je ne suis pas né avec internet, mais c'est grâce à cet outil que j'ai enfin pu mettre des mots sur cette différence d'avec les autres que j'ai toujours perçue. Et mal perçue. Sans d'abord m'y intéresser parce que "c'est comme ça." Puis sans vouloir en savoir plus, parce que ne sachant quoi chercher.
Puis enfin, tardivement des recherches occasionnelles mais régulières pour pouvoir mettre des mots petit à petit sur mes dysfonctionnements, en prenant le temps de passer en revue tout ce qui se fait en matière d'erreurs de cablage probables entre mes deux oreilles.
Or donc voilà. Si j'aime la solitude je ne peux m'empêcher de me sentir inadapté en toutes circonstances. Car tout me rappelle partout que je reste différent. Comme en fauteuil devant un escalier.
Je suis un homme de 45 ans, célibataire, marié, divorcé.
Dans cet ordre.
Pourquoi s'interroger sur le sexe quand on ne s'y intéresse pas ?
Pour tenter de comprendre pourquoi je me sens différent depuis toujours sans n'avoir jamais su mettre des mots dessus. Différent du reste de la société, qui, même si je tente de ne lui préter aucune attention, ne cesse de me renvoyer une image défectueuse. Celle d'un handicapé.
Si le handicap n'est pas pleinement perçu comme tel par les personnes concernées, c'est le rappel permanent des "valides" qui pèse sur le bien être.
Et comment ne pas se sentir invalide social lorsque comme moi, on est introverti extrême et asexuel aromantique, dans une société faite pour et par des extravertis à la recherche permanente de charnel, de contact, de relations ?
C'est feindre d'avoir des amis, des conquêtes et une vie sociale pour échapper aux interrogatoire pesants des collègues. C'est devoir être désagréable pour fuir les envahisseurs. Et finir de toute façon catalogué asocial, ermite, ou misanthrope. Ce qui n'est peut-être plus complètement faux non plus.
Je ne suis pas né avec internet, mais c'est grâce à cet outil que j'ai enfin pu mettre des mots sur cette différence d'avec les autres que j'ai toujours perçue. Et mal perçue. Sans d'abord m'y intéresser parce que "c'est comme ça." Puis sans vouloir en savoir plus, parce que ne sachant quoi chercher.
Puis enfin, tardivement des recherches occasionnelles mais régulières pour pouvoir mettre des mots petit à petit sur mes dysfonctionnements, en prenant le temps de passer en revue tout ce qui se fait en matière d'erreurs de cablage probables entre mes deux oreilles.
Or donc voilà. Si j'aime la solitude je ne peux m'empêcher de me sentir inadapté en toutes circonstances. Car tout me rappelle partout que je reste différent. Comme en fauteuil devant un escalier.
- clotaire
- Jeune Ancien(ne)
- Messages : 6066
- Inscription : 24 avr. 2016, 15:46
- Localisation : Auvergne - Rhône-Alpes
- Pronom : peut être tutoyé ;)
- A aimé : 1837 fois
- A été aimé : 1803 fois
Re: Pour vivre sans, il faut faire avec.
Bienvenue ModerFaker
Si tu as été marié c'est que tu t'es quand même un peu adapté (par rapport à d'autres ici...)
"inadapté en toutes circonstances" ? Je ne sais pas, le sexe n'est pas partout quand même ! Enfin moi je me sens différent quand on me parle de sexualité ou de vie de couple, ou dans certaines soirées, mais pas non plus H24 non plus. Il y a tout un tas de compétences et de principes que tu as qui doivent te donner confiance et satisfaction, non ? Il faut s'appuyer là-dessus.
Si tu as été marié c'est que tu t'es quand même un peu adapté (par rapport à d'autres ici...)
"inadapté en toutes circonstances" ? Je ne sais pas, le sexe n'est pas partout quand même ! Enfin moi je me sens différent quand on me parle de sexualité ou de vie de couple, ou dans certaines soirées, mais pas non plus H24 non plus. Il y a tout un tas de compétences et de principes que tu as qui doivent te donner confiance et satisfaction, non ? Il faut s'appuyer là-dessus.
-
- Membre
- Messages : 15
- Inscription : 10 janv. 2017, 11:43
- A aimé : 0
- A été aimé : 0
Re: Pour vivre sans, il faut faire avec.
Merci Clotaire.
Adapté ... pas vraiment. Ma première fois était à 23 ans. Avec une femme qui est tombée enceinte peu de temps après parce qu'elle cherchait surtout un géniteur (sans le savoir à l'époque). Et donc bon, pour faire les choses correctement je me suis marié. Mais sans conviction, ni envie, ni amour. Donc ça compte pas.
Après avoir divorcé j'ai rencontré une autre femme avec qui ça se passait putôt bien sur le plan "pote". Mais bon je ne l'ai jamais vraiment satisfaite n'ayant jamais eu de réelles envies sous la couette. 4 fois par an sans énergie elle a fini par lacher l'affaire. C'était plutôt de la cohabitation. Je reconnais qu'elle a été plutôt patiente.
Et quand j'évoque l'inadaptation, c'est socialement surtout. Pas de phobie. Juste de l'anxiété permanente lorsque je dois sortir. Ayant un trouble du comportement fuyant, j'évite toujours les groupes. Mais quand j'y suis contraint, c'est le stress absolu.
Donc bon focément avec ce que je trimballe, ça fait toujours sociopathe de dire qu'on n'a pas d'amis. Ce qui me convient personnellement. Mais c'est toujours vu avec suspicion. Même si on se tient à l'écart du jugement de la société, on se le prend quand même dans les gencives tôt ou tard.
Adapté ... pas vraiment. Ma première fois était à 23 ans. Avec une femme qui est tombée enceinte peu de temps après parce qu'elle cherchait surtout un géniteur (sans le savoir à l'époque). Et donc bon, pour faire les choses correctement je me suis marié. Mais sans conviction, ni envie, ni amour. Donc ça compte pas.
Après avoir divorcé j'ai rencontré une autre femme avec qui ça se passait putôt bien sur le plan "pote". Mais bon je ne l'ai jamais vraiment satisfaite n'ayant jamais eu de réelles envies sous la couette. 4 fois par an sans énergie elle a fini par lacher l'affaire. C'était plutôt de la cohabitation. Je reconnais qu'elle a été plutôt patiente.
Et quand j'évoque l'inadaptation, c'est socialement surtout. Pas de phobie. Juste de l'anxiété permanente lorsque je dois sortir. Ayant un trouble du comportement fuyant, j'évite toujours les groupes. Mais quand j'y suis contraint, c'est le stress absolu.
Donc bon focément avec ce que je trimballe, ça fait toujours sociopathe de dire qu'on n'a pas d'amis. Ce qui me convient personnellement. Mais c'est toujours vu avec suspicion. Même si on se tient à l'écart du jugement de la société, on se le prend quand même dans les gencives tôt ou tard.
- Baelfire
- BadAce
- Messages : 5285
- Inscription : 01 oct. 2013, 21:01
- Localisation : Juste ici...ou ailleurs
- A aimé : 1198 fois
- A été aimé : 2033 fois
Re: Pour vivre sans, il faut faire avec.
J'ai envie de dire que si tu es heureux comme ça c'est ce qui compte
Et puis ça ne t'a pas empêché (et ça ne t'empêche toujours pas) de vivre au final.
Bienvenue parmi nous.
Et puis ça ne t'a pas empêché (et ça ne t'empêche toujours pas) de vivre au final.
Bienvenue parmi nous.
-
- Amibe
- Messages : 78
- Inscription : 29 déc. 2016, 20:58
- Localisation : Dans mon plat pays à siroter un chocolat chaud,pas piqué des hannetons,en compagnie de mes chats *-*
- A aimé : 12 fois
- A été aimé : 13 fois
Re: Pour vivre sans, il faut faire avec.
Bienvenue à toi papy :p
Installe toi confortablement dans le divan ,bien au chaud,et met ton dentier dans l'eau on s'occupe de tout :p
Hésite pas à te balader dans le forum,il y'aura surement des topic qui t’intéresseront. ^^
Installe toi confortablement dans le divan ,bien au chaud,et met ton dentier dans l'eau on s'occupe de tout :p
Hésite pas à te balader dans le forum,il y'aura surement des topic qui t’intéresseront. ^^
- Lilly
- Crème pÂtissière
- Messages : 4693
- Inscription : 19 févr. 2008, 20:14
- Localisation : 74
- A aimé : 388 fois
- A été aimé : 553 fois
Re: Pour vivre sans, il faut faire avec.
Jamais le premier soir... les suivants non plus d'ailleurs!
À ce niveau-là, c’est plus de la gastronomie, c’est de l’érotisme !
Karadoc
À ce niveau-là, c’est plus de la gastronomie, c’est de l’érotisme !
Karadoc
Re: Pour vivre sans, il faut faire avec.
C'est bien les handicapés, faut pas avoir honte d'être handicapé. Les gens qui s'en moquent ça s'exite facilement de notre vie en plus. Et puis on a le droit de mordre aussi, on s'en tape d'être vus comme des sociopathes au fond, nous ne sommes pas nés pour plaire, et nous ne le devons à personne.
Certes, il est loin d'être évident de faire le chemin vers une pleine acceptation de nous-mêmes dans une société qui a peur des différences (c'est la société qui est phobique et pathologique, pas les marginaux qui ne souffrent en réalité d'aucune pathologie), mais c'est loin d'être insurmontable. La force morale n'est pas innée a priori, elle s'acquiert, elle s'apprend, elle s'entretient.
Je ne sais quels sont tes désirs, mais il existe des portes dérobées, des moyens détournés pour les satisfaire. Pour cela il faut apprendre à reconnaître que dans un monde hostile nous avons besoin d'armes pour nous défendre, puis de trouver les armes adéquates pour faire face aux menaces qui pèsent sur nous. Rien de facile là-dedans évidemment, c'est pourquoi la patience est, à mes yeux, la première des armes dont il faut se doter. La Fontaine ne dit pas moins : "patience et longueur de temps font plus que force ni que rage."
Quoiqu'il en soi, sois le bienvenu, ici tu es valide sur le plan de la sexualité
Certes, il est loin d'être évident de faire le chemin vers une pleine acceptation de nous-mêmes dans une société qui a peur des différences (c'est la société qui est phobique et pathologique, pas les marginaux qui ne souffrent en réalité d'aucune pathologie), mais c'est loin d'être insurmontable. La force morale n'est pas innée a priori, elle s'acquiert, elle s'apprend, elle s'entretient.
Je ne sais quels sont tes désirs, mais il existe des portes dérobées, des moyens détournés pour les satisfaire. Pour cela il faut apprendre à reconnaître que dans un monde hostile nous avons besoin d'armes pour nous défendre, puis de trouver les armes adéquates pour faire face aux menaces qui pèsent sur nous. Rien de facile là-dedans évidemment, c'est pourquoi la patience est, à mes yeux, la première des armes dont il faut se doter. La Fontaine ne dit pas moins : "patience et longueur de temps font plus que force ni que rage."
Quoiqu'il en soi, sois le bienvenu, ici tu es valide sur le plan de la sexualité
- didou
- AVENturier de l'A perdu
- Messages : 2020
- Inscription : 24 oct. 2015, 19:22
- Localisation : Essonne
- Pronom : il
- A aimé : 160 fois
- A été aimé : 471 fois
Re: Pour vivre sans, il faut faire avec.
Eh l'autre' eh ... J'ai juste 1 an de moinsOnassis a écrit :Bienvenue à toi papy :p
Oui, effectivement, ça peut prendre un certain temps ou un temps certain pour mettre un mot dessus. Moi, ça m'a pris 42 ansModerFaker a écrit : Pourquoi s'interroger sur le sexe quand on ne s'y intéresse pas ?
Pour tenter de comprendre pourquoi je me sens différent depuis toujours sans n'avoir jamais su mettre des mots dessus.
Alors, étant dans le même tranche d'âge que toi, je sens que je vais me permettre une remarque. Passé un certain âge (du moins biologique, car mon âge interne est nettement moindre), il faut savoir dire "merde" à cette société qui nous renvoie tout dans la figure.ModerFaker a écrit :Différent du reste de la société, qui, même si je tente de ne lui préter aucune attention, ne cesse de me renvoyer une image défectueuse. Celle d'un handicapé.
Pour les plus jeunes, c'est plus difficile car, effectivement, il faut arriver à se faire une place dans ce monde de brutes régi par la "normalité". Mais à notre âge, Papy, comme dit @Onassis que je tance précédemment, il faut finir par arriver à envoyer c***r les intolérances diverses et variées
Il faut le faire maintenant car nous sommes à l'âge mûr, qui précède (comme disais Desproges) l'âge pourri Donc, il faut dire "stop"
La seule solution est d'en faire fi. Ce n'est certes pas aisé, mais c'est (à mon sens, je peux me tromper) la seule solution.ModerFaker a écrit :Et comment ne pas se sentir invalide social lorsque comme moi, on est introverti extrême et asexuel aromantique, dans une société faite pour et par des extravertis à la recherche permanente de charnel, de contact, de relations ?
Oui lààààà, mais non ! Point feindre il ne faut ! Surtout pour des collègues ! Les collègues, c'est le boulot. En dehors des questions de boulot bien fait, si l'on n'a pas d'accointances envers les collègues, il ne faut leur parler que de la pluie et du beau temps ! C'est touuuut ! Après, on a des collègues avec qui on a plus d'affinités, plus ouverts, on peut discuter de choses plus profondes. Mais pas avec tous !ModerFaker a écrit :C'est feindre d'avoir des amis, des conquêtes et une vie sociale pour échapper aux interrogatoire pesants des collègues.
En même temps, "envahisseur" signifie quand même "agression". Donc être désagréable face à une agression ... il y a légitime défenseModerFaker a écrit :C'est devoir être désagréable pour fuir les envahisseurs
ModerFaker a écrit :Et finir de toute façon catalogué asocial, ermite, ou misanthrope. Ce qui n'est peut-être plus complètement faux non plus.
Bienviendue au club des "Papys" qui ont découvert ça des décennies plus tard Je me sens moins seulModerFaker a écrit :Je ne suis pas né avec internet, mais c'est grâce à cet outil que j'ai enfin pu mettre des mots sur cette différence d'avec les autres que j'ai toujours perçue.
"Dysfonctionnements", ouais, bon, tant que l'on parle de "fonctionnements" pas dans le norme de la majorité.ModerFaker a écrit :Puis enfin, tardivement des recherches occasionnelles mais régulières pour pouvoir mettre des mots petit à petit sur mes dysfonctionnements,
en prenant le temps de passer en revue tout ce qui se fait en matière d'erreurs de cablage probables entre mes deux oreilles.
Dans l'absolu, être différent n'est pas être monstrueux. C'est être autrement que la majorité des gens. Zut alors, sinon je serais vachement monstrueuxModerFaker a écrit :Car tout me rappelle partout que je reste différent.
Dernière modification par didou le 11 janv. 2017, 09:28, modifié 1 fois.
Règle n°1 : pas avant le mariage. Règle n°2 : ne pas se marier
Re: Pour vivre sans, il faut faire avec.
Bonjour à tous !ModerFaker a écrit : Pourquoi s'interroger sur le sexe quand on ne s'y intéresse pas ?
Pour tenter de comprendre pourquoi je me sens différent depuis toujours sans n'avoir jamais su mettre des mots dessus. Différent du reste de la société, qui, même si je tente de ne lui préter aucune attention, ne cesse de me renvoyer une image défectueuse. Celle d'un handicapé.
Or donc voilà. Si j'aime la solitude je ne peux m'empêcher de me sentir inadapté en toutes circonstances. Car tout me rappelle partout que je reste différent. Comme en fauteuil devant un escalier.
Je suis nouvelle sur le forum et je me pose de nombreuses questions. Voilà, j'ai 20 ans et je ne suis attirée sexuellement ni par les hommes ni par les femmes. Je peux trouver une personne très belle physiquement sans pour autant envisager d'autres choses avec elle.
Je me retrouve donc beaucoup dans ton témoignage. Quand mes amies ouvrent la discussion des petits amis, je vous avoue que je ne sais pas où me mettre. Je m'invente une vie pour paraître "normale" et ne pas partir dans toute sorte d'explications qui leur seraient incompréhensibles. Peut être n'ai je pas encore rencontré une personne qui me corresponde ? Mais en fait je sais pas ça m'étonnerait.
C'est difficile dans notre société de ne pas faire partie du moule. Peut être pourriez vous m'éclairer sur cet état d'esprit ?
Merci d'avance !
- didou
- AVENturier de l'A perdu
- Messages : 2020
- Inscription : 24 oct. 2015, 19:22
- Localisation : Essonne
- Pronom : il
- A aimé : 160 fois
- A été aimé : 471 fois
Re: Pour vivre sans, il faut faire avec.
Bonsoir RealHuman,RealHuman a écrit : Bonjour à tous !
Je suis nouvelle sur le forum et je me pose de nombreuses questions. Voilà, j'ai 20 ans et je ne suis attirée sexuellement ni par les hommes ni par les femmes. Je peux trouver une personne très belle physiquement sans pour autant envisager d'autres choses avec elle.
Je me retrouve donc beaucoup dans ton témoignage. Quand mes amies ouvrent la discussion des petits amis, je vous avoue que je ne sais pas où me mettre. Je m'invente une vie pour paraître "normale" et ne pas partir dans toute sorte d'explications qui leur seraient incompréhensibles. Peut être n'ai je pas encore rencontré une personne qui me corresponde ? Mais en fait je sais pas ça m'étonnerait.
C'est difficile dans notre société de ne pas faire partie du moule. Peut être pourriez vous m'éclairer sur cet état d'esprit ?
Merci d'avance !
Peut-être pourrais-tu copier/coller ton message dans un fil particulier afin que ta présentation soit un sujet à part entière. Comme ça les "gens" pourront te répondre personnellement. Les esclaves, pardon, les modérateurs se chargeront de supprimer le doublon
Mais sinon, bienvenue
Règle n°1 : pas avant le mariage. Règle n°2 : ne pas se marier
-
- Membre
- Messages : 15
- Inscription : 10 janv. 2017, 11:43
- A aimé : 0
- A été aimé : 0
Re: Pour vivre sans, il faut faire avec.
Disons pas confortablement.Baelfire a écrit : Et puis ça ne t'a pas empêché (et ça ne t'empêche toujours pas) de vivre au final.
MerciBaelfire a écrit :Bienvenue parmi nous.
-
- Membre
- Messages : 15
- Inscription : 10 janv. 2017, 11:43
- A aimé : 0
- A été aimé : 0
Re: Pour vivre sans, il faut faire avec.
Y'a des coups de déambulateur qui se perdent.Onassis a écrit :Bienvenue à toi papy :p
Installe toi confortablement dans le divan ,bien au chaud,et met ton dentier dans l'eau on s'occupe de tout :p
-
- Membre
- Messages : 15
- Inscription : 10 janv. 2017, 11:43
- A aimé : 0
- A été aimé : 0
-
- Membre
- Messages : 15
- Inscription : 10 janv. 2017, 11:43
- A aimé : 0
- A été aimé : 0
Re: Pour vivre sans, il faut faire avec.
Mr.Nya a écrit : ... Et puis on a le droit de mordre aussi, on s'en tape d'être vus comme des sociopathes au fond, nous ne sommes pas nés pour plaire, et nous ne le devons à personne.
L'inconvénient d'internet est que derrière une présentation formelle, on peut se faire une mauvaise idée de l'interlocuteur.didou a écrit :Mais à notre âge, Papy, comme dit @Onassis que je tance précédemment, il faut finir par arriver à envoyer c***r les intolérances diverses et variées
Donc, je ne suis pas le gars dans un coin qui se tient la tête entre les mains à se balancer d'avant en arrière se faisant marcher sur les pieds.
Je n'ai aucun problème pour envoyer ch*er et dire merde au reste du monde. Disons que plus j'avance en âge et plus j'ai de facilité à le faire. Voire trop, ce qui porte tout de même préjudice dans les relations socio-professionnelles. Parce qu'on passe entre 8 et 9h par jour avec eux et qu'au moins bien s'entendre avec facilite tout de même un peu beaucoup le passage de la journée.
Comme didou dit (mouahaha) des collègues ne sont que des collègues, mais une pause, un déjeuner et ça tourne toujours autour de certains sujets dont je me débarrasse soit en dressant un mur, soit en inventant pour clore le sujet.
Et batir un mur c'est aussi se fermer des opportunités. Bref ...
C'est la première que j'ai eue. Mais elle laisse place progressivement à la lassitude et l'agacement. Je fais souvent les choses à l'envers.Mr.Nya a écrit :C'est pourquoi la patience est, à mes yeux, la première des armes dont il faut se doter. La Fontaine ne dit pas moins : "patience et longueur de temps font plus que force ni que rage."
-
- Amibe
- Messages : 78
- Inscription : 29 déc. 2016, 20:58
- Localisation : Dans mon plat pays à siroter un chocolat chaud,pas piqué des hannetons,en compagnie de mes chats *-*
- A aimé : 12 fois
- A été aimé : 13 fois