Vous voulez parler -ou entendre parler de l'asexualité ? Faites-nous part de ce qui vous passe par la tête, comment vous ressentez votre asexualité, votre relation aux autres, comment tout ceci influence votre vie.
Aquila a écrit : ↑04 août 2017, 22:24 disant que je n'étais pas normal de ne rien ressentir, se disant aussi que une fois que j'aurais coucher mon caractère (trop fort parfois) changera, que je deviendrais un gentil petit agneau =.=
C'est bien connu les relations sexuelles consentante change totalement ton caractère et te rendent docile ! ... J'imagine qu'il vaux mieux entendre ça que d'être sourd mais venant de sa propre mère je trouve ça choquant, et ça me rend triste pour toi.
Pareil pour le médecin, il exerce un métier qui exige une ouverture d'esprit.
Après si j'ai mis le mot problème entre " c'était justement pour faire une citation, c'est une façon ironique de faire, ce n'était pas du premier degré.
Et oui, les pensées moyen-âgeuse hein ? xD j'ai appris à passer au dessus de tout ça, au début c'est vrai que ça fait mal mais après...boh, pas le temps de s'y arrêter
Surtout sur un examen de se style (gynéco toussa toussa xD) et d'ailleurs c'était une femme ce médecin, d'autant plus inconpréhensible ce regard de dégout, mais pareil, pas envie de m'y attarder plus que ça
ah oui j'avoue que en lisant un peu vite je n'ai pas pris les " en compte, désolée haha
L'insurrection est le plus sacré des devoirs - Marquis de Lafayette
RAlala, nous avons tous des passages étranges de notre vie, personnellement, je suis sorti avec une nympho, tu imagines deux secondes une nympho et un ace en couple? lol
Ce qui n'est pas vraiment évident avec la demi-sexualité c'est d'avoir "le cul entre deux chaises" une relation platonique peux sembler intéressante mais si le désir vient après la création d'un lien ça peux devenir problématique. A contrario, une relation avec de la sexualité peut poser problèmes au début, de plus, il n'y aura peut être jamais de désir...
Au collège, j'ai eu 2 expériences sexuelles : l'une avec une fille, l'autre avec un garçon.
Puis est venu le lycée : l'âge où l'amour se fait grandement ressentir. J'étais surtout tourné garçon, donc je me disais gay auprès de mes potes, amis, parents...
Puis, bien des années plus tard, après quelqu'années de célibat, j'ai découvert le terme de Asexualité. J'ai compris que j'étais plutôt dans cette tranche du spectrum sexuel. Mais jusqu'à très récemment, je pense être plutôt Demi-S que A.