Souvenir de A avant de se découvrir

[Zimou]

Je me demande quel plaisir ressent un S à mater xD j'ai un plaisir à regarder une jolie fille mais ce n'est en rien un plaisir sexuel et j'aurai un plaisir à la voir dans son ensemble, pas juste la poitrine par exemple (on m'a justement récemment demandé si je pouvais ressentir une excitation physique juste en regardant une personne, nue par exemple... bas non xD mais je peux trouver ça très jolie, surtout si je suis amoureux, juste que c'est pas physique). Pour ma part, pour ressentir un plaisir sexuel, il faut un contact. Je n'arrive pas à imaginer la possibilité de ressentir du plaisir ou de l'attirance seulement à travers la vue xD Enfin c'est tout à fait normal pour un A, je suppose ^^ j’attends pas de réponse à ma question (c'est évidemment le moins bon endroit pour la poser ^^ ) mais je suis curieux j’avoue

[Hestia]

J'avoue que je n'ai jamais compris cela. Il m'arrive certes d'être séduite par le visage et le look vestimentaire d'un individus, mais voir un corps nu m’indiffère totalement. Après je ne pense pas prendre du plaisir à mater quelqu’un, je dirais juste qu’un visage, la coupe de cheveux, voir le look en lui-même de la personne peuvent me plaire, mais cela ne va pas plus loin. Si je n’ai pas précisé de quel genre, c’est parce que mon orientation esthétique est visiblement bi.

[thailog]

Je sais que des mecs aiment bien l'été car ils vont pouvoir mater des filles "peu habillée" moi j'aime pas ça et cette excitation de leurs part reste un mystère pour moi. Cela peut paraître bizarre mais une fille, en hiver par exemple, avec un gros manteau ba je trouve ça plus "attirant" qu'une fille en bikini. Je suis plutôt comme Hestia, les visages, le look d'une fille peut me plaire mais je ne ressens pas d'envie de leurs sauter dessus ou de voir ce qu'il y a sous les vêtements.

[Baelfire]

Je vais renverser le truc du coup vu que je suis une fille qui aime les garçons.

J'apprécie de les regarder un peu (pas mater) en été comme en hiver. Une jolie silhouette, un visage lumineux ou que ne sais-je encore...peuvent me laisser rêveuse un petit moment.

L'été où ils sont un peu plus découverts (forcément) il y a un petit côté léger et plus libéré que quand on est engoncés dans nos pulls, manteaux, chaussures lourdes etc...Ca se voit même dans la démarche et l'allure générale. Je ne sais pas si ça m'excite (je déteste ce mot) mais en tous cas ça me fait bien plaisir pour sûr ! Même moi j'apprécie la sensation de vêtements tous légers sur ma peau et de faire un peu tourbillonner une jupe, robe légère.

Et parfois, mais c'est plus rare quand même, je me dis que j'aimerais bien sentir cet homme (parce que là ça marche pas avec les filles) contre moi ou être dans ses bras. Je suis quelqu'un de plutôt tactile (mais qui se retient beaucoup), sensible aux odeurs aux sensations alors ça joue j'imagine.

[Guadiana]

J'ai remarqué mon asexualité en discutant avec des camarades de classe au lycée.

Un jour, une camarade de classe m'a dit qu'elle se masturbait et que ça lui donnait du plaisir et elle disait que ça devait procurer du plaisir de faire l'amour. Je n'ai jamais compris l'intérêt de se masturber.

J'ai fait des recherches sur l'absence d'envie de sexualité et de masturbation et j'ai trouvé non-libidoiste. Ça m'allait comme un gant. Si je me pense asexuelle aussi c'est que bien que quelques hommes me font de l'effet (le coeur qui bat) ce n'est en rien sexuel mais esthétique. Quand je vois un BG, je n'ai pas envie de lui sauter dessus au contraire je suis hyper timide et je me sens mal à l'aise.

Je ne suis jamais tombée amoureuse. Je pense être aromantique. Cependant j'ai une envie d'avoir un ami garçon avec qui je serais proche.

Je ne suis jamais sortie avec personne et je n'ai pas ce désir.

[Keerya]

Il m'as fallu énormément de temps pour comprendre ce qui "clochait" chez moi.
J'ai commencé à me poser des questions au collège, je m'étais déjà posé la question "Est-ce que je suis lesbienne ?" Et j'ai considéré que je ne l'était pas vu que je n'avais aucune envie d'avoir des relations sexuelles avec des femmes.
J'ai mis le fait que je ressentais la même choses pour les hommes sur le dos d'un traumatisme de l'enfance.

J'aurais dû me rendre compte que quelque chose n'allait pas dans mon résonnement et que mon orientation était plus complexe et tordue que ça mais j'avais déjà trouvé une explication.

Le plus difficile a été que je ne faisais pas la différence entre le désir sexuel et trouver quelqu'un beau, je pense avoir pris un concept que je connaissais et j'ai dû l'appliquer au concept de l'attirance sexuelle qui m'est toujours aujourd'hui inconnus...

Bref j'ai passé mon collège et lycée à fuir et chercher les relations amoureuses, les deux en même temps. Les relations ne marchaient pas, les bisous et les "je t'aime" à tout va c'était vraiment pas mon truc, ça manquait de sincérité à mon goût. De plus comme j'entendais ceux de mon âge parler de leurs copains/copines, que la question la plus commune c'était : "vous l'avez fait ou pas ?" Moi ça me dérangeait, surtout le fait que tout le monde jugeait ta relation. C'était comme ci le sexe était un passage obligatoire et qu'en plus tout le monde vérifiait que tu le passait, ça me faisait encore plus fuir que le reste.

C'est seulement il y a un an que j'avais commencé à décrire mes sentiments en disant que "j'aimais sans aimer" et c'est là que j'ai commencé à réaliser sans tout de fois me considérer bi ou quoi que ce soit que je pouvais "aimer" les femmes comme les hommes.
Et à force de dire que j'aimais sans aimer, à une soirée un mec avec qui j'en discutait m'as dit que j'étais coincée et que je devrais essayer des trucs, que ça m'aiderais à me libérer, que en gros c'était probablement juste une sorte de frustration sexuelle. C'est là que j'ai réalisé que je n'avais pas d'envie sexuelle.
Et une chose menant à une autre, j'ai cherché sur internet en me disant qu'il y avait forcément des gens dans le même cas que moi qui aurait une solution à mon problème, un remède pour me guérir...

Et j'ai découvert que j'étais asexuelle !
Après une fois que j'ai sût ça j'ai vraiment commencé à me demander comment je fonctionnait, avant ça c'était un sujet stressant que j'associais à des contextes négatifs donc j'évitais d'y penser.
Du coup c'est toujours un sujet stressant (peut-être même plus qu'avant mais pour des raisons bien différentes vu que mon orientation est... Disons une mauvaise pioche) mais j'essaye d'être le plus ouverte possible sur ce sujet, probablement par frustration de m'être mentis à moi-même pendant aussi longtemps et que personne ne m'ai aidé/expliqué quoi que ce soit sur l'asexualité (ou la sexualité en générale d'ailleurs, merci les cours d'éducation sexuelle).

[thailog]

Keerya : "C'était comme ci le sexe était un passage obligatoire et qu'en plus tout le monde vérifiait que tu le passait, ça me faisait encore plus fuir que le reste."

Je te comprend, moi aussi, au lycée, j'ai longtemps chercher pourquoi je n'arrivais pas à avoir une copine, pourquoi les autres garçons y arrivaient mais pas moi ? Je pensais être plus timide, plus coincé que les autres mais c'est juste que je n'avais pas les mêmes envies que les autres.

Keerya : "personne ne m'ai aidé/expliqué quoi que ce soit sur l'asexualité (ou la sexualité en générale d'ailleurs, merci les cours d'éducation sexuelle)."

Moi non plus, lorsque j'était ado, je ne savais pas que l'asexualité existait, En tout cas c'est bien que tu es réussis à découvrir ton orientation sexuelle, ça ne réglera pas tout tés problèmes mais ça t'aidera à avancer.

[PassionA]

J'avoue que je n'ai jamais compris cela. Il m'arrive certes d'être séduite par le visage et le look vestimentaire d'un individus, mais voir un corps nu m’indiffère totalement. Après je ne pense pas prendre du plaisir à mater quelqu’un, je dirais juste qu’un visage, la coupe de cheveux, voir le look en lui-même de la personne peuvent me plaire, mais cela ne va pas plus loin. Si je n’ai pas précisé de quel genre, c’est parce que mon orientation esthétique est visiblement bi.

Je suis exactement comme ça. Voir les gens dénudés ça ne me fait rien de particulier, mais un visage ou une allure peuvent m'inciter à tourner la tête. Grands, petits, gros, minces, blonds, bruns, etc... Tout ça n'a aucune importance, et souvent ce qui est considéré "beau" par les autres ne me touche absolument pas. Par exemple, chez les femmes, je déteste le maquillage, ou les poitrines trop mises en avant, ce sont des choses qui me mettent mal à l'aise. De même, chez les hommes, je trouve les muscles et les poils sur le torse vraiment repoussants. J'avoue être séduit par l'androgynie plus que par n'importe quoi d'autre - surtout quand c'est assez subtil, comme un détail qui pourrait passer inaperçu mais qui me touche.

Mais ce qui est vraiment important pour moi, c'est surtout le feeling avec l'autre. La bonne entente, les atomes crochus, les échanges d'idées. Donc rien qu'on puisse voir d'un seul coup d’œil. Pour moi, ça dépasse toute considération esthétique. En fait, ça fait entièrement parti de mes critères de beauté chez une autre personne, bien plus que le visage ou l'allure, à tel point que lorsqu'on me demande si je trouve tel ou telle personne belle ma réponse est systématiquement "je ne sais pas, je ne la connais pas".

A côté de ça, au lycée et même après, je n'ai jamais ressenti une forte pression de mon entourage à me mettre en couple ni à avoir fait l'amour. C'est principalement parce que je n'ai jamais vraiment côtoyé des gens dans des conditions où ces trucs là ont de l'importance - Warhammer, Warcraft, Magic:TG, BD, Metal, c'étaient les sujets de conversation et personne ne ressentait le besoin de changer de sujet pour parler amour et petites fleurs. Quand mes potes ont commencé à se mettre en couple, j'étais content pour eux mais ça ne m'intéressait pas du tout personnellement - j'ai toujours eu un regard étranger sur les relations de couples. Ils/Elles savaient que j'étais toujours là pour eux, de toute façon, et avaient la décence de ne pas essayer de s'occuper de mes affaires relationnelles comme moi des leurs ^^ Malgré tout, j'ai été bien souvent l'épaule pour soutenir le chagrin d'amour, chose qui m'horripilait au plus au point.

J'ai remarqué mon asexualité en discutant avec des camarades de classe au lycée.

Un jour, une camarade de classe m'a dit qu'elle se masturbait et que ça lui donnait du plaisir et elle disait que ça devait procurer du plaisir de faire l'amour. Je n'ai jamais compris l'intérêt de se masturber.
[...]
Je ne suis jamais tombée amoureuse. Je pense être aromantique. Cependant j'ai une envie d'avoir un ami garçon avec qui je serais proche.

Je ne suis jamais sortie avec personne et je n'ai pas ce désir.

En ce qui me concerne, ma libido a toujours été forte et comme je ne ressens pas d'attirance sexuelle pour les autres, la masturbation est ma seule soupape.
Sinon, comme toi, je ne pense pas être jamais tombé amoureux. J'ai eu des crushs amicaux, des personnes avec lesquelles je me sentais vraiment bien et qui me rendaient heureux, mais même avec eux/elles je n'ai jamais eu envie de sexe - mais j'ai eu envie de tendresse et du coup le glissement vers le sexe était inévitable, je l'ai fait pour leur faire plaisir, mais bon, sans frisson particulier, sans envie de recommencer.

J'ai aussi cette envie de proximité avec quelqu'un, mais qui n'est pas une envie de couple ni de sexualité. C'est malheureusement très difficile à mettre en œuvre parce que la nature des autres est de vouloir l'évolution de la relation vers le couple et/ou le sexe. Cette proximité queer platonique ne convient malheureusement qu'à très peu de gens - surtout sur plus de quelques mois. Au final, je n'ai même plus envie d'essayer de me rapprocher de quelqu'un qui me plait parce que j'ai le sentiment que ça ne peut que lui faire perdre son temps et le faire souffrir. Heureusement, l'amitié est déjà pas mal appréciable.

[Hestia]

J'ai eu des crushs amicaux, des personnes avec lesquelles je me sentais vraiment bien et qui me rendaient heureux,

le mot crush faisant référence au coup de foudre romantique, le coup de foudre amical/amour platonique se nomme squish.

[Guadiana]

En ce qui me concerne, ma libido a toujours été forte et comme je ne ressens pas d'attirance sexuelle pour les autres, la masturbation est ma seule soupape.
Sinon, comme toi, je ne pense pas être jamais tombé amoureux. J'ai eu des crushs amicaux, des personnes avec lesquelles je me sentais vraiment bien et qui me rendaient heureux, mais même avec eux/elles je n'ai jamais eu envie de sexe - mais j'ai eu envie de tendresse et du coup le glissement vers le sexe était inévitable, je l'ai fait pour leur faire plaisir, mais bon, sans frisson particulier, sans envie de recommencer.

J'ai aussi cette envie de proximité avec quelqu'un, mais qui n'est pas une envie de couple ni de sexualité. C'est malheureusement très difficile à mettre en œuvre parce que la nature des autres est de vouloir l'évolution de la relation vers le couple et/ou le sexe. Cette proximité queer platonique ne convient malheureusement qu'à très peu de gens - surtout sur plus de quelques mois. Au final, je n'ai même plus envie d'essayer de me rapprocher de quelqu'un qui me plait parce que j'ai le sentiment que ça ne peut que lui faire perdre son temps et le faire souffrir. Heureusement, l'amitié est déjà pas mal appréciable.

Je ne pourrais pas accepter les relations sexuelles pour faire plaisir . Je préfère que les choses soient claires dès le départ. Si je rencontre un squish je préfère même qu'il ne me plaise pas physiquement mais qu'on est une vraie compatibilité de goûts et de caractères. Comme une âme frère.

[Ptite Marie]

J’ai un souvenir qui m’est revenu récemment. C’était quand j’étais avec mon premier copain, et que je commençais à me rendre compte qu’il y avait un truc de « pas normal » entre moi et le sexe.
En fait je n’arrivais pas à utiliser le terme « femme » pour me définir, parce que pour moi ce terme comprenait entre autres la dimension sexuelle, une « femme » avait des envies sexuelles, des désirs, une sensualité… J’avais coutume de dire « Je suis pas une femme je suis un alien » tellement je me sentais en décalage. J’aurais tellement aimé connaître l’asexualité à l’époque pour envoyer valser tous ces stéréotypes !

Et une petite anecdote de mon adolescence, j’avais une amie très proche, on était fusionnelles, et à un moment l’idée m’a été soufflée que je pourrais être amoureuse. Pour le vérifier je me suis demandé si j’aurais envie d’avoir des relations sexuelles avec elle, et la réponse a été non évidemment, mais à l’époque je ne connaissais pas les subtilités de la chose en plus je n’avais jamais été réellement amoureuse. Bon au final je ne pense pas avoir été amoureuse d’elle de toute façon ^^

[sehlem24]

Coucou Pt'tit Marie !
Toi tu étais un aliénation, moi j'étais un lutin ! Le concept est un peu le même au fond !
Et voilà donc 2 -3 petits details qui prennent tout leur sens maintenant :
- Camping, sous la tente avec ma cousine de mon âge 13 ans et ma petite soeur, 11 ans. Nous voilà donc à parler de maturation ( moi : ah bon, moi j'appelle ça "ratisser", tu vois, tu coincés une grosse peluche entre tes jambes ( oui, je suis un peu peluchophile, mais elles etaient consentantes!) et tu te tortilles ! C'est cool !
Cousine : bah tu mets pas tes doigts dedans ? C'est mieux pourtant, c'est comme ça qu'on fait ..
Moi : oh ? Sans blague ? (J'essaie) bah non, c'est naze, moi je mets rien dedans, ça me dérange. ..

- Comme Aphelie, j'ai toujours trouvé ridicule cette façon dont les gens dans les films se jettent l'un sur l'autre comme s'il y avait urgence et que le lit était bien trop loin pour prendre 10 secondes pour y aller, ou prendre le temps de se déshabiller. .. Moi : c'est pas comme ça la vie, hein ? On n'est pas des animaux en rut, non ? Non ? Si ? Bin pas dans ma vie en tout cas !
- De même, je n'ai jamais eu de fantasme . Moi : un fantasme ?? Lui: un truc que tu aimerais essayer. Moi : le parapente ? Sinon, sexuellement, bah rien, ça me dit pas trop, là, pas d'idées. ..
Effectivement, c'est drôle comme ces petits moments prennent leur sens après ! Quand on se rend compte qu'effectivement on était bien à côté de la plaque !

Ah oui, et dernier truc ! Un truc dans le regard de mes ex que j'ai toujours trouvé flippant, genre il se transforme en monstre, il devient bizarre, ses yeux brillent et on dirait qu'il va me bouffer ..... c'était. .... ( allez, vous allez trouver ! ) ..........
.......
.......
Du désir ! Et ouais ! Bon sang, j'aurais dû y penser !

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[mimosa]

Je me souviens que dans une colo une fille qui n'avait jamais embrassé de gars a embrassé le premier gars qui voulait. Moi je me voyais pas embrasser un gars que j'aimais pas, je fuyait comme la peste les jeux de la bouteille et les actions vérité. Et comme bcp de personnes ici, quand je suis tombée amoureuse d'un mec et que j'étais en âge de coucher, je comprenais pas pourquoi je n'avais pas envie de coucher avec lui. J'en ai conclu à tort que je n'étais pas vraiment amoureuse. Je me suis aussi demandé si je n'étais pas lesbienne alors que je ne suis jamais tombé amoureuse dune fille.

[mimosa]

Y a aussi eu le moment où je me suis fait draguer par un mec qui n'arrêtait pas de me faire des compliments. La soirée qu'on a passés ensemble je l'ai trouvée bien plus agréable que coucher avec des mecs plus tard. Et une autre soirée quand j'étais ado un ciné où on sest fait des câlins des bisous bien plus agréable que coucher avec quelqu'un aussi.

[Zimou]

je déterre ce bien bien vieux sujet car, hier soir en évoquant de très vieux souvenir avec une ex qui a reprit contact avec moi, j'ai parcouru mon blog pour retrouver des photos de nous il y a 20 ans maintenant. Et en parcourant ce blog, je suis tombé sur un autre article qui date d'avant que je découvre l'asexualité, qui là encore sont des souvenir de A avant de me découvrir. Je met pas l'article dans sa totalité, seul le début montre le coté ace (faite pas attention à l'orthographe, qui est pas ouf aujourd'hui mais qui était pire à l'époque xD ). Quand je dis clairement que j'avais "moins de besoin que la plupart des hommes" (pour ne pas m'avouer que j'en avait pas du tout et ne pas me sentir anormal), que je faisait pas partie de ceux qui veulent coucher le 1er soir (ni les suivants d'ailleurs du coup, dédicace à la signature de Lilly ^^)... et le fait que je disent que la sexualité est mieux exploité lorsqu'il y a des sentiments, comme si je cherchais une raison ou une excuse pour accepter d'avoir une sexualité... j'ai trouvé ça drôle, ça m'a rappelé que j'avais fait ce sujet, il y a longtemps...