Les médecins ont toutes compétence et légitimité en matière de maladie sexuelle. ces maladies reposent sur des éléments scientifique tangibles, donc les personne se disant asexuel parce qu'ils sont malade ont à se justifier bien plus que les autres, vu qu'on est pas asexuel si on est malade (l'asexualité n'étant pas une maladie ni causé par une maladie, tout comme on l'hétérosexualité et l'homosexualité).Piccolo a écrit :Les médecins n'ont aucune compétence ou légitimité en matière d'orientation sexuelle. Les autres orientations ne reposent pas sur des éléments scientifiques tangibles, donc les personnes se disant asexuelles n'ont pas à se justifier plus que les autres.
Non, JJ n'est pas asexuel, ce n'est pas son orientation, c'est simplement et uniquement une maladie. on peut se croire asexuel des années avant d'apprendre qu'on est en fait juste malade. j'ai fait un sujet avec tout un tas de maladies qui peuvent retirer l'attirance sexuel et la libido. ces maladies ne sont pas de l'asexualité, ce sont des maladies.Sleepless Knight a écrit :Dans l'absolue, la définition d'asexuelle est: "une personne qui ne ressent pas d'attirance sexuelle pour les autres", cette définition n'est pas du tout exclusif.
Elle prend donc en compte (en theorie):
-Les malades
-Les gens sous effets de medicaments
-Les enfants
-Les traumatisées etc
Maintenant, il y'a un consensus plus ou moins général que l'asexualité n'est asexualité que si l’asexualité n'a pas de cause. Je suis plus ou moins d'accord avec cette définition, mais elle à ses limites. Je vais prendre l'exemple d'un homme qu'on va appeler Jean-Jacques Dubouchon (JJ pour les intimes). JJ est un homme heureux qui n'a jamais ressenti d'attirance sexuel, JJ ne se sens pas malade et ne souffre pas de son manque d'attirance. Un jour, il fait une analyse hormonal qui lui dit que son taux de testostérone est plus bas que la normal, ce qui annihile sa libido mais il n'en souffre pas (On va dire qu'il a fait un concours avec son pote pour voir qui à la plus de testostérone, JJ est un peu con). Son manque de libido affecte son attirance sexuelle. Est-ce que JJ est asexuel?
Son asexualité à une cause, mais il en souffre pas donc il se considéré pas comme malade.
Je me pose vraiment la question, est-ce que JJ est asexuel?
Et comme bonne réponse à faire à JJ, qui n'est pas asexuel si son absence d'attirance est causé par une maladie, si il se pose la question je lui répondrais que je ne sais pas si il est A ou pas, lui seul peut le savoir. car lui seul pourra savoir si une fois sa maladie guérit, il sera toujours A ou pas (on ne guéri pas une orientation). Si il est toujours A après avoir guéri sa maladie, ça montre qu'il n'était pas seulement malade mais bien asexuel. si il n'est plus A après, ça montre qu'il n'était que malade.
à l'état "naturel", c'est à dire sans modification de fonctionnement de son corps, il n'a pas de seins. c'est donc pas un bonnet F qui s'ignore. un bonnet F qui s'ignore ce serait quelqu'un qui a des seins et qui pensait ne pas en avoir. Si il y a un manque de testostérone, c'est forcmeent pathologique, vu qu'il y a un manque (ce n'est pas un état normal, tout comme quand tu as un manque de fer, de sucre (Hypoglycémie), de globules rouges (Anémie), etc...). une baisse normal de testostérone ne supprime pas l'attirance sexuel, si il y a un manque (donc une baisse anormal) c'est une maladie (qu'il en souffre ou pas, une maladie ne se définit pas sur la souffrance). et ce manque est certainement du à quelque chose, peut être ce qui produit la testostérone qui est en panne ou ne marche pas normalement... bref, pour les détails je suis pas médecins. mais la testostérone est présent dans le fonctionnement normal du corps humain.Sleepless Knight a écrit :On peut tout à fait considérer son manque de testostérone comme une variation physiologique (et non pathologique) vu qu'il n'en pâti pas. Si tu lui donne de la testostérone, il aura de l'attirance sexuel mais si tu lui donne de l'oestrogene il aura des seins, pourtant tu vas pas dire que c'est un bonnet F qui s'ignore?
36° n'est pas tout à fait une température permettant de dire qu'on est malade (Une température corporelle normale se situe entre 36,1 °C et 37,8 °C). en dessous de 36°C, il y a surement un soucis quelque part. Enfin cela dit, on ne parle pas vraiment de quelque chose de constent, qui est depuis toujours et sera toujours, on parle surtout d'une personne qui devient perd son attirance sexuel à cause d'une maladie (et qui reviendra une fois la maladie guéri). après, pour définir qu'est ce qui est une maladie ou pas, je ne suis pas qualifié pour. se demander "quand peut on dire qu'on est malade?" est un autre sujet. on a pas besoin de le savoir pour définir si on est A ou pas quand l'attirance sexuel disparait à cause d'une maladie.Sleepless Knight a écrit :Il n'est "malade" que si l'état basale humain est le fait d’être sexuel, et si c'est le cas tout les asexuels sont des malades malgré leurs ressentit.
Tout ca pour dire que c'est pas parce que tu peux déclencher un état chez quelqu'un (ici attirance sexuelle) que tu as guéri la personne. Si quelqu'un ne souffre pas d'avoir une température de 36° constante, c'est pas en declanchant artificiellement un température basale normal de 37° que tu l'as guérie.
bas d'une part, il n'existe pas mieux pour vérifier des faits, et d'autre par la méthode scientifique est utilisé sur elle même, donc se corrige et s’améliore quand c'est nécessaire.Sleepless Knight a écrit :Et tu ne doutes pas de la méthode scientifique?